Lunch with friends | PV : Adil Maity
:: play and ally, bond. :: what the moon does :: rps
Gemma O'Neil
where do we go now ?
Fiche de présentation : https://alldelightedpeople.forumactif.com/t1482-gemma-o-neil-girl-in-flower-en-cours
Pseudo : ARCADIA/Elle
Faceclaim : Lily Collins (crédit avatar : proserpinegraphics)
Multicomptes : Lorna Hennessy & Riley McAllister & Freya Sterling
Présence : Présent.e
Âge : 34 ans
Métier : Fleuriste et Propriétaire de la boutique de fleurs "Friendly flowers". Héritage précieux de sa grand-mère.
Habitation : Une maison avec un grand jardin fleuri dans Somesville. Héritage de ses grands-parents dont elle prend soin.
Warnings : Rejet familial & Décès & Tromperie & Phobie & Alcool
Messages : 52
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01. Lunch with friends
ft. @Gemma O'Neil
L’avantage d’avoir monté mon propre cabinet, c’est que je peux arranger mes journées je le souhaite. Alors évidemment, les clients restent prioritaires à mes yeux et mes journées sont fréquemment montées comme des journées considérées comme normales, avec des horaires du genre 9h00 -18h00, mais sur certaines journées comme celles d’aujourd’hui, je m’offrais une pause déjeuner un peu plus longue que celle des autres jours. La raison ? Gemma O’Neil. Je connaissais la jeune femme depuis maintenant bien longtemps, considérant qu’elle travaillait déjà pour sa grand-mère quand cette dernière était ma « fleuriste attitrée », si je peux l’appeler ainsi. Elle avait souvent été en charge des bouquets que j’avais souhaité offrir à ma femme et, pour être honnête, je n’avais absolument jamais été déçu. De la même manière, j’avais continué d’aller chez elle quand elle avait repris le commerce de sa grand-mère et, encore une fois, je n’avais jamais été déçu. Mais avec le temps, notre relation avait dépassé une simple relation fleuriste-client, et on était devenus amis. Ca ne m’avait pas surpris, loin de là. J’avais beau ne pas facilement m’ouvrir aux autres, j’avais toujours eu conscience que je le faisais d’une manière ou d’une autre en m’adressant à des professionnels tels que les fleuristes. Et puis avec Gemma.. Il y avait cette forme de simplicité, disons, qui n’était clairement pas de refus.
Alors quand on avait discuté de la possibilité de se retrouver pour manger ensemble, j’avais directement été partant. On ne passait pas du temps ensemble si fréquemment que ça donc, quand l’opportunité se présentait, autant dire que je ne comptais pas refuser. En plus de ça, une des dates correspondait à un jour où je n’avais pas énormément de rendez-vous avec mes clients, donc me libérer du temps pour manger avec elle avait été facile. J’avais mis certains de dossiers de côté alors que j’avais beaucoup plus travaillé sur d’autres dans la semaine, simplement pour m’assurer que ce repas ne m’amènerai pas vers un quelconque retard. S’il y a bien une chose que je déteste plus que tout, c’est prendre du retard dans mon travail. J’ai beau être capable de travailler sous la pression, ça ne change rien au fait que c’est une sensation que je déteste plus que tout. Etre perfectionniste ne fonctionne pas nécessairement très bien avec le fait de prendre du retard dans mon boulot, ou en tout cas c’est ce que je ressens. Donc oui, comme toujours quand je décide de m’accorder un peu de temps personnel, je fais en sorte que ça n’impacte absolument pas mon travail.
En quittant mon lieu de travail, je fais un signe de la main à Gabriel, lui disant que je reviendrai plus tard dans la journée. Je décide d’aller jusqu’au restaurant que l’on a choisi pour manger ensemble à pied, une veste sur le dos et les écouteurs vissés dans les oreilles. Je prends mon temps pour y aller, sachant pertinemment que je suis un peu en avance -simplement parce que je préfère l’être-. J’arrive sur place et je sélectionne une table et je m’installe, indiquant à une serveuse qui passe me voir que j’attends encore quelqu’un. Je prends mon téléphone au moment où il vibre, un petit sourire s’installant sur mes lèvres face au message que Gemma m’a envoyé. Je suis loin d’être déçu qu’elle arrive en retard, je suis bien conscient que ça peut arriver à n’importe qui et, dans tous les cas, elle m’a prévenu. Je lui réponds rapidement, lui disant de prendre son temps et de ne pas trop se presser, que dans tous les cas, j’ai du temps devant moi. Bon il faut aussi qu’elle en ai mais, la connaissant, c’est surement le cas. Je ne saurais pas vraiment dire combien de temps j’attends, mais Gemma finit par arriver. Un sourire s’étend bien rapidement sur mes lèvres quand je la vois et, quand elle prend la parole, je secoue rapidement la tête dans le sens de la négation. «Absolument pas, ne t’inquiètes pas.» Un sourire s’étend rapidement sur mes lèvres face à ses paroles. Je ne peux que le comprendre, la dernière fois que j’ai pu prendre une demi-journée pour moi, ça m’a fait un bien fou. Je ne peux pas prétendre avoir ce plaisir aujourd’hui, mais je ferai en sorte que ça arrive bientôt. «Je n’ai pas pu me libérer toute l’après-midi parce que j’ai des clients qui voulaient me voir cette après-midi, mais pouvoir me libérer du temps, c’et déjà un vrai plaisir, donc je te comprends ! Qu’est-ce que tu as prévu cette après-midi ?» Probablement qu’elle comptait en profiter, mais disons que j’étais curieux de savoir ce qu’elle comptait faire de cette après-midi. «Et je vais bien, écoutes. On sort d’une période de gros rush au boulot, ça fait du bien quand ça se calme. Et toi, comment tu te sens ?»
Alors quand on avait discuté de la possibilité de se retrouver pour manger ensemble, j’avais directement été partant. On ne passait pas du temps ensemble si fréquemment que ça donc, quand l’opportunité se présentait, autant dire que je ne comptais pas refuser. En plus de ça, une des dates correspondait à un jour où je n’avais pas énormément de rendez-vous avec mes clients, donc me libérer du temps pour manger avec elle avait été facile. J’avais mis certains de dossiers de côté alors que j’avais beaucoup plus travaillé sur d’autres dans la semaine, simplement pour m’assurer que ce repas ne m’amènerai pas vers un quelconque retard. S’il y a bien une chose que je déteste plus que tout, c’est prendre du retard dans mon travail. J’ai beau être capable de travailler sous la pression, ça ne change rien au fait que c’est une sensation que je déteste plus que tout. Etre perfectionniste ne fonctionne pas nécessairement très bien avec le fait de prendre du retard dans mon boulot, ou en tout cas c’est ce que je ressens. Donc oui, comme toujours quand je décide de m’accorder un peu de temps personnel, je fais en sorte que ça n’impacte absolument pas mon travail.
En quittant mon lieu de travail, je fais un signe de la main à Gabriel, lui disant que je reviendrai plus tard dans la journée. Je décide d’aller jusqu’au restaurant que l’on a choisi pour manger ensemble à pied, une veste sur le dos et les écouteurs vissés dans les oreilles. Je prends mon temps pour y aller, sachant pertinemment que je suis un peu en avance -simplement parce que je préfère l’être-. J’arrive sur place et je sélectionne une table et je m’installe, indiquant à une serveuse qui passe me voir que j’attends encore quelqu’un. Je prends mon téléphone au moment où il vibre, un petit sourire s’installant sur mes lèvres face au message que Gemma m’a envoyé. Je suis loin d’être déçu qu’elle arrive en retard, je suis bien conscient que ça peut arriver à n’importe qui et, dans tous les cas, elle m’a prévenu. Je lui réponds rapidement, lui disant de prendre son temps et de ne pas trop se presser, que dans tous les cas, j’ai du temps devant moi. Bon il faut aussi qu’elle en ai mais, la connaissant, c’est surement le cas. Je ne saurais pas vraiment dire combien de temps j’attends, mais Gemma finit par arriver. Un sourire s’étend bien rapidement sur mes lèvres quand je la vois et, quand elle prend la parole, je secoue rapidement la tête dans le sens de la négation.
Gemma O'Neil
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Gemma avait l’air de rayonner, c’était une des premières choses que je pouvais me dire en la voyant. En même temps, il faut dire qu’elle a toujours eu ce côté solaire, ou en tout cas c’est l’impression que j’ai toujours eu face à elle. Evidemment, en apprenant à la connaître, j’avais découvert d’autres facettes d’elle et de sa personnalité, mais ça ne changeait rien au fait qu’elle continuait d’être solaire. Quand la jeune femme se montre « déçue » quant au fait que je n’ai pas pu libérer toute mon après-midi, je ne peux m’empêcher de grimacer. Evidemment, j’ai parfaitement conscience du fait qu’elle ne m’en tient pas rigueur et qu’elle ne le fera pas, mais disons que je partage sa déception. Gemma fait partie de ces personnes que j’ai la sensation de ne pas assez voir à mon goût et donc, évidemment, j’aurais préféré pouvoir passer plus de temps avec elle. Ceci dit, je ne doutais pas une seule seconde du fait que le repas serait également suffisant pour nous faire passer un bon moment ensemble. «Ca m’a manqué aussi.» Surtout que depuis le divorce, j’avais bien moins de raisons de passer dans sa boutique considérant que, tout simplement, je n’avais plus vraiment qui que ce soit à qui offrir des fleurs. Alors évidemment, il y avait toujours ma mère au moment de la fête des mères ou des occasions de ce genre-là, mais disons que les occasions se montraient quand même sacrément plus rares. J’acquiesce quand elle me parle de ses plans de l’après-midi, un sourire s’étirant sur mes lèvres alors qu’elle mentionne son frère. «Comment il va, d’ailleurs ?» J’avais beau être proche de Gemma, je l’étais bien moins de son frère. Ce n’est pas tant que je ne l’appréciais pas, loin de là, mais disons que les occasions de passer du temps avec lui étaient bien plus rares que celles qui me permettaient de passer du temps avec sa sœur. Probablement que je le connaissais plus de réputation que je ne le connaissais humainement, d’ailleurs, mais c’était aussi probablement causé par ma timidité naturelle et, par conséquent, par le fait que je ne m’ouvrais pas facilement aux autres. J’avais beau être des plus naturels avec mes amis les plus proches et avec mes amis d’enfance, je ne l’étais pas avec le reste du monde et donc, évidemment, je ne l’étais pas avec Charlie.
J’écoute finalement ce qu’elle a à me dire, acquiesçant alors qu’un sourire s’étire sur mes lèvres. Je ne doute pas une seule seconde du fait que la période des fêtes a dû être particulièrement chargée pour elle, alors qu’elle l’avait justement un peu moins été pour moi. Pendant les périodes de fête, les gens avaient moins envie de penser aux choses négatives qui traînaient souvent dans les cabinets d’avocats et, assez franchement, je ne pouvais pas les blâmer. Et puis au final, ça m’arrangeait aussi un peu, ça me permettait de pouvoir profiter de mes enfants, même si les fêtes avaient beaucoup moins de goût depuis le divorce, vu que l’on devait se partager la garde et donc, les fêtes en elles-mêmes. «Je suis quand même content de savoir que ta boutique a toujours autant de succès. C’est bien que les habitants de la ville se tournent vers toi en période de fêtes, ça prouve aussi qu’ils ont confiance.» En soi, peu importe la période pendant laquelle ils viennent, c’est une preuve de confiance, mais quand on sait la pression que certains peuvent se mettre avec les fêtes, la preuve de confiance est d’autant plus grande à mes yeux. M’enfin, ce n’est peut-être qu’un point de vue personnel, après tout. Un sourire s’étire finalement une nouvelle fois alors qu’elle mentionne qu’elle continue d’aller bien, faisant au passage référence à ses plantes et à ses fleurs. «Alors c’est le plus important. En plus de ça, le fait que ça soit le boulot qui t’amène autant de bonheur, c’est encore mieux.» Même quand je passais à la boutique et qu’elle n’était pas encore à la tête de la boutique, je n’avais pas eu de mal à remarquer qu’elle avait plus que complètement sa place dans ce domaine-là. Peut-être que c’était aussi pour ça, d’ailleurs, qu’elle était aussi rayonnante, parce qu’elle aimait ce qu’elle faisait. Je lève finalement les yeux au ciel -avec amusement-, quand elle fat référence à mes fossettes et à mon sourire. «Probablement que c’est une bonne chose que je souris facilement, alors !» J’avais toujours été du genre souriant. D’après mes parents, ça avait même toujours été le cas pendant mon enfance, même quand j’avais passé certaines passes difficiles. Alors évidemment, la période du divorce avait pas mal changé ça pendant quelques temps, mais ça n’avait pas duré trop longtemps non plus. «C’est pareil de mon côté, tu le sais bien.» Gemma, je la considérais plus ou moins comme une petite sœur. Ca n’avait pas toujours été le cas, évidemment, il avait fallu que je lui offre ma confiance avant ça, mais c’était le cas avec tout le monde. Alors s’il y avait quoique ce soit qui la faisait souffrir d’une manière ou d’une autre, je comptais bien intervenir, mais uniquement si elle me laissait faire, évidemment. «D’ailleurs tu me parlais du boulot, mais ta vie perso, comment ça se passe ?» Ceci dit, c’était ce que j’avais fait aussi, parler du boulot en premier.
J’écoute finalement ce qu’elle a à me dire, acquiesçant alors qu’un sourire s’étire sur mes lèvres. Je ne doute pas une seule seconde du fait que la période des fêtes a dû être particulièrement chargée pour elle, alors qu’elle l’avait justement un peu moins été pour moi. Pendant les périodes de fête, les gens avaient moins envie de penser aux choses négatives qui traînaient souvent dans les cabinets d’avocats et, assez franchement, je ne pouvais pas les blâmer. Et puis au final, ça m’arrangeait aussi un peu, ça me permettait de pouvoir profiter de mes enfants, même si les fêtes avaient beaucoup moins de goût depuis le divorce, vu que l’on devait se partager la garde et donc, les fêtes en elles-mêmes.
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Elle avait complètement raison. Evidemment qu’on était tous les deux occupés, c’était aussi ça la vie active mais, pour autant, le plus important restait le fait que l’on ne perde pas de vue d’autres choses importantes, telles que le temps passé avec nos proches, par exemple. Après évidemment, il fallait aussi trouver un équilibre entre les deux et ça prenait un peu de temps mais, dans le principe, ça restait faisable, et heureusement d’ailleurs ! «C’est le plus important, on est d’accord.» On parle finalement de son frère et la réponse de la jeune femme me fait légèrement grimacer. Je ne le connais pas très bien, pour ne pas dire très peu, mais pour autant, savoir qu’il n’est pas en forme n’est définitivement pas agréable, d’autant plus considérant que ça impacte sa sœur à qui je tiens beaucoup. Ce n’est pas tant que lui n’est pas important, loin de là, c’est simplement que je suis plus impacté par le mal-être d’une personne que je connais bien. «C’est bien que tu prennes le temps d’être avec lui. Et puis je suis sûr qu’il l’apprécie beaucoup, en plus.» Je ne pouvais pas prétendre connaître les détails de leur relation mais, dans tous les cas, j’avais du mal à croire qu’il puisse ne pas apprécier le fait de recevoir du soutien de la part de sa sœur. Je sais que quand je suis passé par des épreuves difficiles, comme le divorce par exemple, j’ai clairement apprécié le fait de recevoir de l’aide du reste de ma fratrie.
Finalement, on recommence à parler du boulot et, assez rapidement, on parle surtout de celui de la jeune femme. Ses propos me font acquiescer et surtout, me font sourire. J’imagine bien que dans son cas, où le travail est aussi un héritage, réussir à maintenir ce que sa grand-mère avait fait lui tenait à cœur. Au final, les clients et la densité de commandes ne font que lui confirmer qu’elle a réussi à le faire et, clairement, je ne doute pas du fait que ça puisse lui faire beaucoup de bien. Et assez franchement, vu sa manière de travailler, elle le mérite complètement. Au final, j’ai plus connu la boutique tenue par Gemma que par sa grand-mère, mais je peux clairement attester du fait qu’elle travaille vraiment bien et surtout, qu’elle respecte la volonté de ses clients. «Tu le mérites, vraiment. Tu fais un travail de dingue, ça serait vraiment dommage que ça ne soit pas récompensé.» Quat aux périodes des fêtes de fin d’année.. Oui, je ne doute pas une seule seconde du fait que ça soit sa période préférée. Au cabinet, c’est parfois plus compliqué. Certains pensent qu’avec l’approche de ce genre de fêtes, un « miracle » pourrait arriver. C’est pas un problème en soi, mais mine de rien, ça met beaucoup plus la pression. «Je suis pas souvent passé dans ta boutique au moment des fêtes, il faudra que je le fasse ! mais clairement, si ça peut te permettre de laisser ta créativité parler, tu as bien raison d’en profiter.» Dans un domaine de travail comme le sien, la créativité a toute son importance. Alors si à certaines périodes, elle en a plus qu’à d’autres et bien.. Pourquoi ne pas en profiter ? Finalement, j’acquiesce quand elle mentionne le fait qu’on aime tous les deux ce qu’on fait. C’est vrai que, comparé à ce que l’on peut penser quand on est plus jeune, ce n’est clairement pas le cas de tout le monde, ce qui est dommage d’ailleurs. Faire un travail de passion, clairement, c’est une chance, et clairement, ça aide énormément. «On a beaucoup de chance, oui.» Alors évidemment, à certaines périodes, c’était plus difficiles qu’à d’autre mais, personnellement, je n’avais jamais été dans le cas de figure où je n’avais vraiment pas envie d’aller au boulot. Il y avait eu des affaires plus difficiles que d’autres, comme celles qui m’atteignaient personnellement ne serait-ce que par leur contenu, puis il y avait aussi la période du divorce où ma santé mentale s’était détériorée mais, malgré tout, je n’étais jamais allé au travail à reculons, et j’avais bien conscience de la chance que c’était. «Y a pas de raison que ça soit pas le cas, mais je te souhaite que ça continue.» Avec le temps, certains se lassent, mais ça n’avait pas été mon cas et, clairement, je doutais que ça soit celui de Gemma.
Quand on parle, cette fois, de mes fossettes -allez savoir comment on en est arrivés là d’ailleurs-, je lève les yeux au ciel avec un air amusé. J’ai jamais été du genre à facilement recevoir les compliments et, visiblement, cette fois ne fait pas exception. Ceci dit, ses paroles me font malgré tout plaisir et, à leur manière, me réchauffent le cœur. «Promis, je le perdrai pas.» Si avec tout ce qu’il s’était passé au moment où j’avais eu 40 ans, je ne l’avais pas perdu, j’ai tendance à penser que je ne le perdrai pas de sitôt. Alors évidemment, il y avait des choses qui seraient difficiles à supporter, comme la perte des membres de ma famille, mais je n’avais absolument aucune raison d’y penser maintenant. Après tout, ce n’était pas d’actualité et, heureusement, tout le monde était en bonne santé chez les Maity, donc autant en profiter et ne pas penser à ce genre de choses négatives. Tout le monde n’avait pas cette chance mais, clairement, je comptais bien profiter de la mienne. Finalement, j’écoute les paroles de la jeune femme sur sa vie personnelle, grimaçant légèrement alors qu’elle me parle du fait que son dernier rencard a été un échec. Et finalement, elle parle de Leopold et je ne peux pas m’empêcher de réagir. «Je crois que vraiment, je m’habituerai jamais au fait que vous avez déjà eu ce genre de rendez-vous tous les deux !» Ce n’était pas négatif, au contraire, mais disons qu’à l’époque où je l’avais appris, j’avais été surpris. Encore une fois, rien de négatif, mais juste de la surprise. Finalement, j’hausse les épaules. «Je vois pas ça comme un truc dramatique, ceci dit. Que ta vie sentimentale soit désertique, je veux dire.» Alors évidemment, c’était facile venant d’un gars qui avait déjà été marié et qui avait deux enfants, mais ça restait mon point de vue malgré tout. Certains disent qu’il faut apprécier le fait d’être seul pour apprécier le fait d’être dans une relation et, clairement, c’est vrai, ou en tout cas c’est ce que je pense. Sans grande surprise, la question m’est retournée et, assez rapidement, je secoue la tête dans le sens de la négation. «Non, j’ai personne, je cherche même pas spécialement à aller à des rendez-vous ou quoi. Mais franchement, je suis bien comme ça. Et puis avec les enfants.. Je préfère me focaliser sur eux, disons.» Certains pourraient dire que je n’ai pas de raison de mettre ma vie entre parenthèses pour mes enfants alors qu’ils étaient déjà adolescents, mais je ne pouvais que difficilement m’en empêcher. Rien ne disait qu’ils vivraient nécessairement mal le fait que je me retrouve quelqu’un mais disons que pour l’instant, je n’avais aucune envie de vérifier cette théorie.
Finalement, on recommence à parler du boulot et, assez rapidement, on parle surtout de celui de la jeune femme. Ses propos me font acquiescer et surtout, me font sourire. J’imagine bien que dans son cas, où le travail est aussi un héritage, réussir à maintenir ce que sa grand-mère avait fait lui tenait à cœur. Au final, les clients et la densité de commandes ne font que lui confirmer qu’elle a réussi à le faire et, clairement, je ne doute pas du fait que ça puisse lui faire beaucoup de bien. Et assez franchement, vu sa manière de travailler, elle le mérite complètement. Au final, j’ai plus connu la boutique tenue par Gemma que par sa grand-mère, mais je peux clairement attester du fait qu’elle travaille vraiment bien et surtout, qu’elle respecte la volonté de ses clients.
Quand on parle, cette fois, de mes fossettes -allez savoir comment on en est arrivés là d’ailleurs-, je lève les yeux au ciel avec un air amusé. J’ai jamais été du genre à facilement recevoir les compliments et, visiblement, cette fois ne fait pas exception. Ceci dit, ses paroles me font malgré tout plaisir et, à leur manière, me réchauffent le cœur.
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ft. @Gemma O'Neil
Il y a ces personnes qui arrivent dans notre vie par surprise et qui, parce que ça fonctionne tellement bien, ne la quittent plus. Gemma fait incontestablement partie de ces gens-là. On s’est rencontrés par hasard mais le courant est tellement bien passé que ça fait maintenant un bon moment que l’on est devenus amis et clairement, je me sens chanceux d’avoir une personne comme elle dans ma vie. Je n’ai pas la moindre idée de si je connais tout de sa vie et franchement, je m’en fiche pas mal, à mes yeux j’en connais bien assez. Tant qu’elle sait qu’elle peut se tourner vers moi quand elle a besoin de se confier, alors c’est amplement suffisant pour moi. Enfin, évidemment, ça serait mieux qu’elle n’ai pas besoin de se confier et qu’elle aille bien en tout temps mais ça, pour le coup, c’est juste impossible, alors autant pouvoir être là pour elle quand ça ne va pas. Quand elle me parle de son frère, j’acquiesce et, rapidement, le sourire déjà présent sur mes lèvres est accompagné par un rire. « C’est exactement ce que j’allais dire, c’est l’hôpital qui se fout de la charité, attention ! » De ce qu’elle a l’air de dire, ce trait de caractère est de famille, ce qui ne me surprend pas vraiment. Toutes les familles ont ce genre de choses, ce trait de caractère que tous les membres d’une famille semblent partager. « Après, c’est pas nécessairement une mauvaise chose, d’être passionnée. Enfin d’après moi, en tout cas. » Alors évidemment, il ne faut pas que ça nous fasse faire des conneries mais, dans l’idée, être passionné, ça ne me paraît pas si négatif que ça. « Tout dépend de ce que tu fais de ta passion, évidemment, mais bon, c’est comme pour tout. » Peu importe de quoi il est question, l’excès n’est jamais bon, par contre, parce que ça peut faire faire des choses pas nécessairement très bonnes. « J’espère que tout ira bien pour lui, en tout cas. » C’est tout ce qu’il y avait à lui souhaiter -à leur souhaiter, même-.
Quand on commence à parler du boulot, on finit par discuter de la boutique de Gemma pendant la période des fêtes. J’acquiesce quand elle confirme que je devrais venir et, quand elle me dit que ça fait longtemps que je ne suis pas venu, je grimace légèrement. Avant, je venais très fréquemment pour acheter des fleurs pour Athena mais, avec le divorce, j’ai complètement arrêté de venir. Après tout, la destinataire de mes achats n’était plus dans ma vie, alors bon, pourquoi est-ce que je continuerai de venir chercher des fleurs ? Alors évidemment, je vais malgré tout à la boutique une fois de temps en temps, si ça peut me permettre d’acheter des fleurs pour ma mère ou pour ma soeur, mais c'est vraiment beaucoup plus rare. « Je passerai bientôt, c’est promis. » Je ne suis même pas certain d’avoir réellement besoin de promettre quoique ce soit mais, dans tous les cas, c’est fait. Finalement, un léger rire s’échappe d’entre mes lèvres avant que je ne lève les mains, comme pour dire que je suis innocent. « C’est promis, je voudrais pas m’attirer de problèmes, quand même ! » C’est complètement sûr que ça ne m’en attirera pas, mais bon, autant rentrer dans son jeu. Finalement, on finit en train de parler de nos vies plus personnelles et, quand elle mentionne Leopold, un rire s’échappe d’entre mes lèvres. « En même temps, j’avais aucune raison de m’y attendre ! » Autant dire que la surprise avait été là quand j’avais appris qu’il auraient pu sortir ensemble mais, après coup, ça ne m’avait pas tant surpris que ça. Tous les deux ont des points communs, l’idée qu’ils puissent finir en date n’était pas si surprenant que ça, disons. Et au final, c’est probablement pas si mal que ça n’ai pas marché, parce qu’au lieu d’une relation amoureuse, une belle amitié a vu le jour et ça, ça n’a pas de prix. « Parfois, l’amitié c’est mieux que l’amour. Au moins, ça vous a permis d’apprendre à vous connaître, c’est le plus important ! » Et franchement, c’est presque tout ce qu’il y a à retenir de cette histoire, en plus du fait que visiblement, une relation, ça marcherait pas trop entre eux.
Au final, c’est à moi de parler de ma vie sentimentale, ou plutôt de l’absence de cette dernière. Quand elle me répond, un sourire s’étend sur mes lèvres. Mes enfants sont ma plus grande fierté et pouvoir entendre que d’après elle, je suis un bon père, ça fait toujours beaucoup de bien. Alors évidemment, c’est le bonheur de mes enfants qui me rend le plus heureux mais ce genre de remarques, malgré tout, ça ne peut que me rassurer. « Merci beaucoup. » Pourtant, elle ne me voit pas avec mes enfants dans la vie de tous les jours mais malgré tout, son avis compte beaucoup pour moi. Et face à sa remarque, un grand sourire s’étire sur mes lèvres. « Franchement ? Avec plaisir ! Si un jour je peux te donner des conseils, je le ferai sans hésitation. » Personnellement, j’avais demandé beaucoup de conseils à mes propres parents et à certains amis, mais la plupart d’entre eux n’avaient pas encore d’enfants au moment où Athena était tombée enceinte. Mais le vrai défi, au final, ça a été le fait d’apprendre qu’elle attendait des jumeaux. La surprise avait été mêlée à de l’inquiétude à ce moment-là mais, avec du recul, autant dire que je ne regrette absolument rien. Finalement, elle reprend la parole, beaucoup plus sérieusement cette fois, et je ne peux qu’acquiescer face à sa remarque. J’apprécie beaucoup sa prévention mais, pourtant, je ne me sens pas complètement concerné. « Je ne vis pas que pour eux, c’est plus qu’ils passent en premier, mais ça a toujours été le cas, même quand j’étais encore marié, et Athena a toujours pensé pareil, d’ailleurs. » Même si sa façon d’agir peut parfois donner l’impression du contraire. Ceci dit, je ne douterais jamais du fait qu’elle aime nos enfants de tout son cœur et ça me suffit, peu importe à quel point les choses se sont compliquées entre nous. « Mais je ne suis pas opposé au fait de faire des rencontres, c’est plus que ce n’est pas ma priorité pour l’instant. » Je n’ai jamais été du genre à me précipiter et, en vieillissant, ça n’a absolument pas changé. Mais disons que je préfère me concentrer sur ce que j’ai déjà -tel que mon travail et ma famille- plutôt que sur ce que je pourrais avoir, le tout sans la moindre garantie. Finalement, elle me questionne sur de potentiels projets et je secoue la tête dans le sens de la négation. « Pas spécialement, non. J’ai fini des petits travaux dans le jardin y a pas très longtemps, donc pour l’instant je vais rien faire de plus. Qu’est-ce que tu as prévu pour la façade ? » Finalement, je laisse mon regard se poser sur le menu, le survolant du regard avant de m’arrêter sur un plat. « Probablement les tagliatelles végétariennes. On m’en a parlé y a pas longtemps, apparemment elles sont vraiment bonnes ! » Je suis pas nécessairement végétarien, simplement pas un immense fan de viande, disons. De base, j’ai toujours eu une préférence pour le poisson par rapport à la viande, mais un bon plat végétarien, autant dire que ça ne se refuse pas.
Quand on commence à parler du boulot, on finit par discuter de la boutique de Gemma pendant la période des fêtes. J’acquiesce quand elle confirme que je devrais venir et, quand elle me dit que ça fait longtemps que je ne suis pas venu, je grimace légèrement. Avant, je venais très fréquemment pour acheter des fleurs pour Athena mais, avec le divorce, j’ai complètement arrêté de venir. Après tout, la destinataire de mes achats n’était plus dans ma vie, alors bon, pourquoi est-ce que je continuerai de venir chercher des fleurs ? Alors évidemment, je vais malgré tout à la boutique une fois de temps en temps, si ça peut me permettre d’acheter des fleurs pour ma mère ou pour ma soeur, mais c'est vraiment beaucoup plus rare.
Au final, c’est à moi de parler de ma vie sentimentale, ou plutôt de l’absence de cette dernière. Quand elle me répond, un sourire s’étend sur mes lèvres. Mes enfants sont ma plus grande fierté et pouvoir entendre que d’après elle, je suis un bon père, ça fait toujours beaucoup de bien. Alors évidemment, c’est le bonheur de mes enfants qui me rend le plus heureux mais ce genre de remarques, malgré tout, ça ne peut que me rassurer.
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Multicomptes : Lorna Hennessy & Riley McAllister & Freya Sterling
Présence : Présent.e
Âge : 34 ans
Métier : Fleuriste et Propriétaire de la boutique de fleurs "Friendly flowers". Héritage précieux de sa grand-mère.
Habitation : Une maison avec un grand jardin fleuri dans Somesville. Héritage de ses grands-parents dont elle prend soin.
Warnings : Rejet familial & Décès & Tromperie & Phobie & Alcool
Messages : 52
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