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(ben) well.. that happened.
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01. Well.. That happened
La première chose que je ressens quand je me réveille, avant même d’ouvrir les yeux, c’est un immense mal de crâne, assez fort pour me faire plisser les yeux et, assez franchement, me faire hésiter à les ouvrir. Un léger grognement s’échappe d’entre mes lèvres alors que je bouge légèrement, dans l’espoir d’étirer mon corps qui, lui aussi, est relativement désagréable. Bordel, j’ai vraiment trop bu hier. Rapidement, quelques éléments de la soirée me reviennent en tête, soirée passée en compagnie de celui que je considère être mon meilleur ami, celui qui, d’une certaine manière, est mon confident et l’a toujours été. Cette relation, d’abord épistolaire, est parmi les meilleures choses qui me soient arrivées, c’et une évidence. Heureusement qu’il avait été là hier soir, parce qu’après ces derniers jours… Bref.

Je finis par m’étirer une dernière fois, un peu plus fortement cette fois, avant d’enfin oser ouvrir les yeux. La lumière du jour m’attaque d’abord, m’obligeant à les refermer et, finalement, à prendre mon temps pour les ouvrir. Ce n’est qu’au moment où j’ai les yeux bien ouverts que je réalise que je suis dans une chambre qui n’est pas la mienne. Un rapide coup d’œil autour de moi m’informe du fait que c’est celle de Benjamin et, l’espace d’un instant, un sourire s’étire sur mes lèvres, avant que mes sourcils ne se froncent tout aussi rapidement. Je sens les draps, je sens même beaucoup les draps. Des évènements de la veille me reviennent sous forme de flash et, après une hésitation plutôt longue, je finis par tourner la tête vers la droite, posant mon regard sur Ben qui a encore les yeux fermés. Est-ce qu’il dort ? Probablement. Mais ce n’est pas nécessairement ce sur quoi je m’arrête. Je m’arrête plutôt sur ses épaules que je remarque nues et, bien rapidement, je réalise que les flashs que je viens d’avoir sont probablement réels. Non, on n’aurait pas… ? Non, jamais. Sauf que tous les éléments semblent concorder avec le fait qu’ils soient réels. J’hésite quelques secondes de plus avant de finalement oser faire la seule chose qui me permettra d’avoir une réponse réelle à ma question : légèrement soulever le drap qui nous recouvre. A ce moment-là, la réponse est sans appel. «Merde.» Le juron sort d’entre mes lèvres sans que je ne puisse le retenir et, bien rapidement, quelques détails de la veille se retrouvent à se bousculer dans ma tête. Bordel, bordel, bordel. Qu’est-ce que je vais faire, au juste ? C’est pas comme si j’allais partir alors qu’il dormait encore de toute manière, si ? Non, c’est pas une option. Je me prends la tête entre les mains l’espace de quelques secondes, essayant de réunir mes idées comme je le peux, même si à ce stade, c’est limite impossible.
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well...that happened
La matinée était déjà bien avancée, et Benjamin n'avait toujours pas ouvert les yeux. Cette inertie ne lui ressemblait guère, lui qui se levait habituellement aux aurores. Cette journée faisait manifestement exception après la nuit qu'il venait de passer. Une nuit qui laisserait assurément des traces dans son esprit. Péniblement, Benjamin émergea enfin de son sommeil. Ses paupières semblaient peser une tonne et sa tête bourdonnait. Les excès d'alcool de la veille lui valaient désormais une gueule de bois bien méritée. Ce n'était pas la première fois, mais cette fois-ci, Ben avait clairement exagéré avec le cocktail explosif de rhum arrangé que lui avait généreusement offert son frère.

La nuit dernière il n'avait pas fait la fête, mais plutôt tenté d'apaiser la douleur de Grace, sa meilleure amie, qui peinait à se remettre de sa violente rupture avec son désormais ex. Ben connaissait trop bien cette douleur, ayant lui-même été confronté à de telles déchirures sentimentales à maintes reprises. Voir Grace dans un tel état lui brisait le cœur, elle qui d'ordinaire rayonnait de joie. Amis depuis longtemps, il savait ce qui pourrait l'aider à aller un peu mieux. C'est pourquoi Ben lui avait proposé une soirée chill chez lui, dans l'espoir de lui changer les idées. Mais les choses ne s'étaient pas terminées comme prévu.

Encore dans le brouillard, les souvenirs émergèrent peu à peu. Et il sentit une présence à ses côtés. Benjamin tourna la tête et se redressa brusquement, totalement hébété et abasourdi, si bien que les mots peinaient à sortir de sa bouche. Grace était sous les draps avec lui, tout aussi dévêtu qu'il ne l'était.  « Oh non non, je suis désolé je ne voulais pas...  » assit dans le lit, il passa une main sur son visage. Bien sûr qu'il se souvenait de tout, en grande partie, et surtout de ce qu'ils avaient fait. Le pire, c'est que ça ne lui avait pas déplu, loin de là même, mais il avait terriblement honte. Elle était sa meilleure amie, bon sang ! Ils se connaissaient depuis l'adolescence, pourquoi avait-il fallu que ça dérape entre eux ? Ben craignait maintenant de perdre celle qui avait été un véritable pilier dans sa vie à cause de ses conneries. « Je ne sais pas du tout ce qui m'a pris, je... » C'était arrivé comme ça. Aucun des deux n'avait vu les choses venir. L'effet de l'alcool, le besoin de compagnie et l'effervescence du moment avaient sûrement contribué à ce qu'ils n'arrivent plus à faire machine arrière. « Tu dois me prendre pour un gros profiteur maintenant, » lança-t-il, atterré, en tournant honteusement la tête vers Grace. C'était probablement l'une des situations les plus gênantes de toute sa vie.
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01. Well.. That happened
Je panique, dire le contraire serait mentir. Je ne peux même pas prétendre réellement me souvenir de ce qu’il s’est passé hier soir, ou plutôt de comment on en est arrivés là. Au lieu de ça, je me contente de simples flashs et, surtout, de l’inévitable réalité qui m’est imposée par la présence de nos deux corps sous les draps de Ben. Je me sens con, ça c’est une évidence et, pour le coup, je suis tellement plongée dans mes pensées -et dans mon angoisse- que je ne réalise même pas que Benjamin se réveille, lui aussi. Je ne réalise son état éveillé qu’au moment où il prend sa parole, sa voix résonnant dans mes oreilles et me ramenant, par la même occasion, à l’instant présent. Je tourne rapidement la tête vers lui, peut-être même trop rapidement, considérant la douleur qui se réveille au niveau de mon cou, puis je suis incapable de le lâcher du regard. Je fronce les sourcils face à ses propos et surtout face au fait qu’il a l’air aussi perdu que moi. Ce n’est pas tant que ça me dérange mais.. Peut-être que j’aurais préféré qu’il ait l’air moins perdu, qu’il puisse peut-être m’en dire plus, mais.. Non, ça n’a pas l’air d’être parti pour. Ceci dit, je ne peux pas le blâmer, on a tous les deux trop bu et, clairement, nos corps ont pris le dessus sur nos têtes respectives. «T’inquiètes pas.» Est-ce que je suis crédible ? Disons que je doute plus que fortement que ça soit le cas. J’ai toujours eu tendance à être un livre ouvert mais avec lui, c’est pire. Il est mon meilleur ami, on se connaît depuis ce qui semble être une éternité et, du coup, je ne peux même pas prétendre être capable de lui cacher ce que je ressens.

Quand il me dit ne pas savoir ce qui lui a pris, je ne peux qu’hausser les épaules, laissant le silence planer entre nous avant que je ne finisse par prendre la parole, la voix aussi hésitante que ce que je ressens. «Je sais pas non plus. Enfin, dans mon cas, je veux dire.» Je ne vais pas m’aventurer à essayer de comprendre ce qu’il s’est passé de son côté alors que je suis déjà incapable de savoir ce qu’il s’est passé du mien, ça serait.. Non, ça ne serait pas respectueux, je pense. C’est finalement les paroles qu’il prononce par la suite qui me font réagir, mes sourcils se fronçant directement alors que je repose mon regard sur lui. «Quoi ? Mais bien sûr que non !» Les mots ont quitté la barrière de mes lèvres sans que je n’ai besoin d’y réfléchir. Disons les choses clairement. Pour moi, son « innocence » est évidente pour moi. Evidemment, il faut être deux pour faire ce que l’on a fait hier soir mais.. Non, clairement, ce n’est pas un profiteur, pas pour moi en tout cas. «Enlèves toi cette idée de la tête, ce n’est absolument pas ce que je ressens.» Qu’est-ce que je ressens, ceci dit ? Je n’en ai pas la moindre idée. «Si tu cherches un responsable c’est.. C’est évident qu’on est deux responsables, non ?» Pour moi, en tout cas, ça l’était. Je baisse finalement les yeux vers mes mains, prenant conscience du fait que mes doigts jouent les uns avec les autres, arrêtant directement de le faire avant que je ne commence à m’arracher des ongles ou la peau. Je finis par relever la tête vers lui, honteuse de ce que je suis sur le point de lui demander. «Tu… Te te souviens d’hier soir ?» Une partie de moi avait besoin de savoir ce qu’il s’est passé et surtout, comment on en était arrivés là. Peut-être qu’il pourrait me le dire ? C’est ce que j’espérais clairement. «Je me souviens de certaines choses mais.. C’est plus des flashs qu’autre chose, tu vois ?» J’espère être claire et, surtout, j’espère ne pas être en train de profondément me ridiculiser.
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well...that happened
Benjamin avait vécu des choses folles dans sa vie, mais jamais il n'aurait imaginé se retrouver à partager les draps avec sa meilleure amie. Pourtant, c'était exactement ce qui s'était passé, et il s'en souvenait très bien. En se réveillant, sa première pensée fut la crainte que leur si belle complicité ne s'éteigne à tout jamais. Ben tenait à Grace plus que tout au monde, et l'idée de perdre cette amitié lui serrait le cœur.

Confus et honteux, le brun se confondait en excuses. Visiblement, elle ne lui en voulait pas, ce qui le rassurait en partie, mais pas complètement. Malgré ses mots apaisants, une part de lui restait inquiète, craignant que cet événement ne change irrémédiablement leur vie à tous les deux. Qui était responsable ? L'alcool à haute dose qu'ils avaient ingurgité, sans doute. « C'est clair qu'on a abusé, et pourtant je m'étais promis d'y aller mollo. Enfin, je veux dire, sur l'alcool. » Chaque mot semblait l'enfoncer davantage, rendant la situation encore plus gênante. Ils ressemblaient à deux adolescents réalisant qu'ils avaient fait une grosse bêtise. Mais en prenant du recul, Benjamin ne pouvait nier qu'au fond, l'expérience n'avait pas été désagréable pour lui et c'était ça le pire.

Pour l'heure, le brun voulait l'apaiser. Il voyait bien que la nervosité la rongeait. Naturellement, il tendit la main pour la poser sur son épaule dénudée, mais il se ravisa finalement.

« J'ai... Oui, je m'en souviens. » Sa voix était douce, bien que teintée d'incertitude. « C'est un peu flou par moments, je l'admets. Je ne suis plus très sûr de ce qu'on a pu se dire, si on s'est dit quelque chose, d'ailleurs. »

Benjamin leva les yeux vers elle, cherchant à capter son regard. « Grace, si ça peut te rassurer, ça ne changera rien de mon côté. Je ne veux juste pas te perdre, tu comptes énormément pour moi. Je sais que c'est le genre de chose qu'on ne peut pas oublier comme ça, mais sache que je serai toujours là pour toi. Pour le meilleur et pour le pire, comme je te l'ai toujours dit. » Il essaya de sourire, son optimisme naturel revenant aussitôt au galop. « Voyons au moins le bon côté des choses : on n'a plus rien à se cacher ! » tenta-t-il de plaisanter. « Tu as faim ? Tu as juste à me dire ce que tu veux manger et je te l'apporte. » Si ça pouvait lui mettre du baume au cœur, c'était tout ce qu'il souhaitait.

Il se pencha ensuite pour récupérer ses affaires éparpillées sur le sol et s'habilla rapidement. Il ramassa ensuite les vêtements de Grace, les lui donnant avec un sourire doux. « Tiens, je pense que tu vas en avoir besoin. » dit-il avec une légère pointe d'humour dans sa voix, espérant la détendre un petit peu malgré tout.
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01. Well.. That happened
Bordel, mais qu’est-ce qu’on a foutu ? Enfin non, je sais très bien ce qu’on a foutu. Enfin, très bien, c’est pas comme si j’en avais des souvenirs clairs hein, mais.. Ouais, non, j’avais bien conscience de ce qu’on avait fait. Et autant dire que pour que ça soit autant le bordel dans mes propres pensées, c’est que c’était vraiment le bordel, surtout considérant que c’était Ben à mes côtés. Il avait toujours été du genre à savoir me calmer, sans jamais réellement avoir besoin d’essayer. Sauf que là, c’était pas vraiment possible. Enfin, ça j’en savais rien, mais disons que c’était l’impression que j’avais. Parce que cette fois, mes angoisses le concernaient. Il n’était pas question du fait que ça soit de sa faute ou non -à mes yeux, ça ne l’était pas-, mais.. Ouais, ça ne changeait rien au fait que nombreuses étaient les questions qui se bousculaient dans ma tête : pourquoi est-ce qu’on avait fait ça ? Est-ce que ça allait changer quelque chose à notre relation ? Est-ce que j’avais vraiment envie d’en savoir plus sur ce qu’il s’était passé hier soir ? Et ça, encore, ce n’était que des exemples. Malgré tout, les paroles qu’il prononce me font sourire et, même, légèrement rire. «T’inquiètes, je vois ce que tu veux dire.» Alors oui, le double sens était évident, mais c’est tout ce que c’était : un double sens, alors je ne comptais clairement pas m’arrêter dessus. «Et c’est pas grave. Enfin je veux dire, on pouvait pas deviner que ça allait arriver, si ?» Probablement que si je l’avais su, j’aurais bien moins bu mais, à mes yeux, la question ne se posait pas. A nous voir tous les deux, c’était évident : on s’était tous les deux faits prendre par surprise par la situation dans laquelle on s’était nous même fourrés. Mais.. Elle ne voulait pas forcément dire quelque chose, cette situation… Si ?

Finalement, je laisse une première question s’échapper d’entre mes lèvres. C’est idiot, je ne devrais pas porter tant d’importance au fait que mes souvenirs m’échappent, mais je ne pouvais pas m’en empêcher. Et sa réponse et bien.. Je ne saurais absolument pas dire si elle me rassurait ou non. J’étais la seule à ne pas réellement me rappeler de ce qu’il s’était passé et, en soi, ce n’était pas un réel problème mais, à la fois.. Ouais, ça rendait le tout encore plus bizarre. Parce qu’une partie de moi voulait avoir plus d’informations sur hier soir mais, en même temps, je ne me voyais absolument pas lui demander quoique ce soit. Enfin si, il y avait une chose dont je voulais m’assurer. «On.. On s’est protégés, au moins ?» Non pas que j’estimais qu’il était du genre à avoir des relations non protégées, mais considérant qu’on était tous les deux sacrément désinhibés quand c’était arrivé.. Ouais, disons qu’on sait jamais, hein. Et même si j’étais sous pilule, on n’était jamais trop prudent. Finalement, il complète sa réponse d’abord positive par d’autres informations, cette fois plus teintées d’incertitude et, assez franchement, ce qu’il dit pourrait presque m’arracher un rire, même si ça n’arrive pas. J’étais tellement « omnibulée » par ce que nous avions partagé que je n’avais même pas pensé à comment c’était arrivé. Evidemment, l’alcool était le principal responsable, mais ça ne renseignait pas vraiment sur comment on en était arrivés là. Mais à la fois.. «J’sais pas si on a vraiment besoin de le savoir ?» En tout cas, je doutais du fait que ça soit mon cas. Parce que même si je voulais avoir plus d’informations sur hier soir, il restait mon meilleur ami et, clairement, je n’avais pas nécessairement envie de penser à lui de cette manière.

Quand il reprend la parole, prononçant cette fois mon nom, je relève le regard vers lui, ne réalisant qu’à ce moment-là que je fixais les draps qui me couvraient depuis pas mal de temps. Et ce qu’il dit, et bien je mentirai si je disais que ça ne me rassurait pas énormément. C’est idiot, après avoir été aussi proches pendant aussi longtemps, je ne devrais pas m’inquiéter du fait que quoique ce soit change entre nous mais, en même temps, on n’était jamais trop prudent. Mes pensées vont, l’espace d’un instant, vers mon ex-petit-ami. Il est bien la preuve que les choses peuvent assez brutalement changer, après tout. Tout se passait bien entre nous et d’un coup.. D’un coup, plus rien. Je laisse un léger sourire s’étendre sur mes lèvres, mes mains arrêtant au passage de jouer avec le drap. «Ca ne change rien pour moi non plus.» Mais en même temps, est-ce qu’on peut vraiment se promettre ce genre de choses ? Je n’en ai clairement pas la moindre idée, mais on va dire que c’est possible, oui. «Tu restes mon meilleur ami, peu importe ce qu’il s’est passé. Tu pouvais déjà compter sur moi quand on ne s’était jamais vus, ça ne risque pas de changer de sitôt.» Même quand notre amitié n’était qu’épistolaire, je l’avais vite considéré comme mon meilleur ami, alors je ne comptais clairement pas laisser ce genre de choses changer quoique ce soit à tout ça.. Enfin, si je pouvais faire en sorte que ça n’arrive pas, évidemment. Finalement, quand il reprend la parole, je grimace volontairement, le tout un peu excessivement, avant de reprendre la parole. «Je t’adore Ben mais.. Ouais, non, y a des parties de toi que j’ai pas envie de revoir de sitôt !» Parce que bordel.. Non.

Finalement, j’acquiesce face à sa question. «Je veux bien un café oui, s’il te plaît.» Comment ça, un café ça compte pas comme un petit-déjeuner digne de ce nom ? Je n’avais jamais vraiment été du genre à beaucoup manger le matin, n’ayant besoin que d’une bonne tasse de café pour pouvoir commencer ma journée. Nombreux étaient ceux qui ne trouvaient pas nécessairement ça très sain et, assez franchement, ils avaient probablement raison, mais j’avais toujours été comme ça, je pouvais pas y faire grand-chose, puis je n’en voyais pas l’intérêt, surtout. Je détourne naturellement le regard quand il se rhabille rapidement, ne tournant le regard vers lui qu’au moment où il me passe mes habits, un sourire s’étirant sur mes lèvres alors que je me saisis de la robe longue de printemps que je portais hier. «Je confirme ! Merci beaucoup.» Et sur quand est-ce que j’allais me changer et bien.. Une fois qu’il partirait me chercher mon café, je suppose ? C’est pas comme si j’étais à quelques minutes près, de toute façon. Et oui, je n’avais surement aucune raison d’être aussi timide et « pudique » considérant ce que l’on avait fait cette nuit mais.. Ouais, j’y pouvais pas grand-chose, en fait.
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