It's always better when we're together ... (Miah)
:: play and ally, bond. :: what the moon does :: rps
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Nathaniel Carter
where do we go now ?
Pseudo : Pumpkin
Faceclaim : Logan Lerman
Présence : Présent.e
Âge : 29 ans
Statut civil : Célibataire
Métier : Éducateur spécialisé
Warnings : maladie + drogue
Messages : 85
La lumière du soleil commence doucement à disparaître alors que je termine les dernières préparations pour notre repas de ce soir. Enfin, Miah va venir passer la soirée à la maison et j'ai envie de la traiter aux petits oignons. J'ai envie de lui faire vivre un beau moment en ma compagnie, quelque chose qu'elle n'oubliera pas de sitôt. J'ai donc préparé un de ses repas préférés qu'elle m'avait parlé lors d'une de nos nombreuses conversations et comme apéro, j'ai acheté du saucisson, une bonne baguette de pain fraîchement sortie du boulanger, quelques fromages pour en faire une dégustation et j'ai même fait des petits fours qui sentent délicieusement bons. Comme repas principal, j'ai décidé de lui faire un de ses repas préféré qu'elle m'avait mentionné lors d'une de nos nombreuses conversations. J'espère réellement être à la hauteur de ses attentes!
Comme il fait un peu plus frais ce soir, je m'empresse de faire un petit feu dans le foyer qui agrémente mon salon. Pour une touche un peu plus douce, j'y mets même une couverture douillette sur mon canapé dans l'idée que nous pourrons nous coller sous la couette un peu plus tard durant la soirée. Une fois le tout fait, je regarde l'ensemble de mon appartement et sourit fièrement en constatent que je ne suis pas si mal en ménage, finalement! C'est décent, ça sent bon et rien ne traîne. Je suis bon à marier, quoi! ...mais ça, ce sera à Miah de donner son opinion si jamais un jour je lui fais la grande demande! Nous connaissant, ça risque de ne pas trop tarder, vu l'évolution rapide de notre couple...
En regardant l'heure, je constate que Miah ne devrait plus trop tarder, maintenant! On s'était dit 20h et il est 19 h 30. Je m'empresse donc d'aller replacer mes cheveux, me mettre une petite couche de parfum afin de sentir bon pour elle et je me brosse les dents. Par la suite, mon regard se fige sur mon reflet dans la glace et je m'aperçois avec horreur que j'ai un peu trop maigri à mon goût. Mes joues sont creuses et j'ai des énormes cernes. Disons que ces derniers temps, le mélange de médicaments et la chymio font en sorte que je n'ai pas trop d'appétit. Je mange moins alors qu'il ne faudrait pas. Si je ne mange pas ou peu, je deviens instantanément moins fort pour subir tous ces traitements. C'est un cercle vicieux que je dois combattre et je me promet de commencer dès ce soir. Oh, je vais faire la fête à cet apéro et ce repas!
Alors que je sors de la salle de bain, j'entends toquer à la porte et un sourire vient alors rapidement se dessiner sur mon visage. Miah est là! Je m'empresse donc d'aller ouvrir et je me fige à nouveau devant sa grande beauté. Elle est magnifique. Mon coeur s'emballe, tambourine dans ma poitrine. Sans dire un mot, je prends sa main et la fait entrer avant de l'embrasser tendrement tout en refermant la porte derrière elle. Ce baiser, je l'attendais depuis la dernière fois ou l'on s'est quitté. Ses lèvres m'avait tant manqué! Tout sourire, je dis alors d'une voix enjouée Bienvenue chez moi, Miah... pour ensuite caresser tout doucement ses cheveux en la contemplant du regard avant d'ajouter "Ça va...?" Avoir été avec quelqu'un d'autre, je serais immédiatement parti en cuisine préparer à boire mais avec Miah, chaque instant ...chaque secondes étaient à savourer. Je voulais prendre mon temps ...
Mirah-Jane Lens
membre de la dream team
Pseudo : Elle
Faceclaim : Katherine McNamara
Multicomptes : Alyha Jäger / Sohan Law
Présence : Présent.e
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Messages : 62
Je suis tombée amoureuse de lui comme on s'endort, doucement. Puis tout d'un coup.
@Nathaniel Carter @Miah Snows
Mon coeur tambourine dans ma poitrine. Si ma vie était un cartoon, aucuns doutes, on verrait clairement mon petit cœur sortir de ma poitrine a chaque battement. Pourtant, je n’en suis qu’au moment de me préparer. Là devant le miroir, entrain d’essayer d’ajuster mes cheveux, entrain d’épier le moindre défaut, tentant de le dissimuler. J’ai cette envie d’être parfaite, cette envie de lui plaire vraiment… La confiance en moi, disons que c’est quelque chose de compliqué parfois. Pourtant, il paraît qu’il n’y a pas de raisons. Mais là, c’est différent. Pour la première fois, je ressens ce besoin de plaire vraiment. Je voudrais qu’il soit éblouis, qu’il me trouve belle au point de ne plus jamais vouloir me laisser. C’est enivrant autant qu’angoissant. En vérité, je fini par baisser les bras, toujours un peu insatisfaite du visage que je croise dans le miroir. Peut-être vaudrait-il mieux renoncer après tout… Je délaisse alors ce reflet avec une grimace de désapprobation et me laisser tomber sur mon lit, rêvant une nouvelle fois aux traits fins de son doux visage. J’ai tellement hâte de le retrouver.
Vêtue d’une jolie robe noire, j’enfile un trench qui cache ma tenue, et m’évitant de ressentir les quelques courant d’air du soir. En fait, j’ai dit a mes parents que j’allais chez Andy ce soir. Excuse absolument crédible pour quitter le domicile. Ma cousine est le premier alibi qui m’est venu. Pourquoi leur cacher ? Disons que… Peut-être simplement que j’ai envie de garder ce petit bonheur rien que pour moi. Je souhaite aussi surement éviter toutes leurs questions, leur potentiel désapprobations concernant notre rencontre. En fait… je ne veux rencontrer aucun imprévu. Je veux être égoïste pour une fois. Ce bonheur, ce que je ressens, je le garde juste pour moi. Alors, je descends les escaliers qui relient l’étage au grand séjour, mais surtout a la porte d’entrée. Bien qu’a l’instant T, c’est plus la sortie que je veux absolument atteindre. « J’y vais ! A demain ! Je vous aime ! » Criais-je depuis l’escalier avant de me précipiter vers la porte, non sans penser a prendre les clefs de la voiture de papa accrochée juste a coté de celle-ci.
Dans la voiture, les musiques romantiques se succèdent, toutes me faisant rêvasser, me donnant envie d’arriver plus vite a destination. J’étais clairement entrain de tomber amoureuse, c’était inutile de le nier. Cette attitude un peu niaise, cet air rêveur, et lui, son visage, sa voix, qui se refusent en permanence a sortir de mon esprit. Si je n’ai pas d’expérience en la matière, on peut dire que les séries télé en donne un aperçut, et j’en ai tous les symptôme. Puis… bien au-delà d’un diagnostic a posé : ça se ressens.
Finalement, j’arrive à l’adresse indiquée par le GPS, je gare ma voiture, et déplie un instant le par soleil pour y trouver le miroir. Un sourire enjoué et impatient semble s’être greffé sur mon visage. Je ne me souviens pas la dernière fois ou j’ai fait preuve d’autant d’impatience. Je regarde l’heure… 19h45, un peu en avance. Mais je suis bien incapable d’attendre plus longtemps avant de me rendre dans sa direction.
Arrivée devant la porte, j’inspire et expirer, pour retrouver mon calme. Comment est-il possible de ressentir des émotions aussi contradictoires que l’excitation, l’impatience et l’angoisse ? Une angoisse de ne pas être assez bien ? Celle qui ne me quitte finalement pas depuis notre premier baisé. D’où peut bien venir cette envie d’incarner sa perfection ?
Trêve de réflexion et d’attente, je frappe a la porte. Quand il ouvre la porte, mon sourire s’élargit, et instantanément, je me sens plus légère. Je me laisse alors guidé par cette main qui prends la mienne comme pour m’entraîner dans une danse que je n’oublierais jamais. La danse de ma vie très certainement. Comme pour répondre au besoin empressant que je ressentais a cet instant, avant même de prononcer le moindre mot, ses lèvres viennent trouver les miennes. Je ferme les yeux et me laisse porter par cet instant, j’en aurais presque l’impression de voler. Cette fois, lorsque le baisé prends fin, je ne ressens pas cette sensation de manque désagréable qui a pu me tordre le ventre la première fois. Cette soirée nous appartient, et j’ai l’intime conviction que ce n’est que le premier. Alors qu’il me souhaite la bienvenu, je suis bien incapable de détacher mon regard de lui pour regarder ce qui nous entoure pour l’instant. Je me laisse couver par la sensation de réconfort que m’apporte sa présence. Pourtant, hors de question de me laisser happer par la timidité ou le confort du silence. Bien qu’il me trouble toujours au plus haut point, je n’ai pas envie de perdre une seconde avec ce genre de bêtises. « Tu es là, bien-sur que je vais bien ! Et toi ? Comment tu te sens ? » Je passe alors ma main sur cette joue si douce, pour aller la perdre un instant dans ses cheveux avant de la laisser retomber le long de son bras. Comment il va émotionnellement, physiquement, globalement, tout m’intéresse. N’espérant finalement qu’une sorte de réponse, que tous les indicateurs soient au vert.
Une inspiration viendra alors conduire une délicieuse odeur jusqu’à mes narines. Entre le travail, mon excitation a l’idée de passé cette soirée ici, et la robe que j’étais allée m’acheté l’après midi même, je n’avais mangé qu’un sandwich aujourd’hui. « ça sens incroyablement bon dit moi ! Tu ne t’es pas donné trop de mal j’espère? » demandais-je un peu gêné a l’idée qu’il ai pu se donner du mal juste pour moi. Je tourne alors la tête en direction du reste de l’appartement, comme si je découvrais qu’il existe un univers au-delà de nous. Tout y est, a son image. Je n’aurais rien d’autre a dire, soigné, élégant, chaleureux. « C’est… Ton chez toi est… comme toi en fait ! » Je tourne de nouveau les yeux vers lui, et les émotions que j’ai tenté de contrôler avant de rentrer chez lui semblent décidé a mener un nouvel assaut que je ne pourrais pas contenir. Une petite pile semble s’allumer en moi, et sans crier gare je me jette a son cou, mes pieds quittant le sol pour m’accrocher a lui, le serrant fort contre moi. « Tu m’as manqué Nathaniel... » Viendrais-je alors murmurer a son oreille avant de cacher mon visage dans son cou pour profiter de son odeur délicieuse. « … merci pour ton invitation. » Cette soirée serait inoubliable, la plus belle de ma vie. J’en étais intimement persuadée. Il était devenu un véritable soleil pour moi, et ici, chez lui, je n’avais qu’une hâte. En apprendre d’avantage sur celui qui a définitivement fait chaviré mon coeur.
Vêtue d’une jolie robe noire, j’enfile un trench qui cache ma tenue, et m’évitant de ressentir les quelques courant d’air du soir. En fait, j’ai dit a mes parents que j’allais chez Andy ce soir. Excuse absolument crédible pour quitter le domicile. Ma cousine est le premier alibi qui m’est venu. Pourquoi leur cacher ? Disons que… Peut-être simplement que j’ai envie de garder ce petit bonheur rien que pour moi. Je souhaite aussi surement éviter toutes leurs questions, leur potentiel désapprobations concernant notre rencontre. En fait… je ne veux rencontrer aucun imprévu. Je veux être égoïste pour une fois. Ce bonheur, ce que je ressens, je le garde juste pour moi. Alors, je descends les escaliers qui relient l’étage au grand séjour, mais surtout a la porte d’entrée. Bien qu’a l’instant T, c’est plus la sortie que je veux absolument atteindre. « J’y vais ! A demain ! Je vous aime ! » Criais-je depuis l’escalier avant de me précipiter vers la porte, non sans penser a prendre les clefs de la voiture de papa accrochée juste a coté de celle-ci.
Dans la voiture, les musiques romantiques se succèdent, toutes me faisant rêvasser, me donnant envie d’arriver plus vite a destination. J’étais clairement entrain de tomber amoureuse, c’était inutile de le nier. Cette attitude un peu niaise, cet air rêveur, et lui, son visage, sa voix, qui se refusent en permanence a sortir de mon esprit. Si je n’ai pas d’expérience en la matière, on peut dire que les séries télé en donne un aperçut, et j’en ai tous les symptôme. Puis… bien au-delà d’un diagnostic a posé : ça se ressens.
Finalement, j’arrive à l’adresse indiquée par le GPS, je gare ma voiture, et déplie un instant le par soleil pour y trouver le miroir. Un sourire enjoué et impatient semble s’être greffé sur mon visage. Je ne me souviens pas la dernière fois ou j’ai fait preuve d’autant d’impatience. Je regarde l’heure… 19h45, un peu en avance. Mais je suis bien incapable d’attendre plus longtemps avant de me rendre dans sa direction.
Arrivée devant la porte, j’inspire et expirer, pour retrouver mon calme. Comment est-il possible de ressentir des émotions aussi contradictoires que l’excitation, l’impatience et l’angoisse ? Une angoisse de ne pas être assez bien ? Celle qui ne me quitte finalement pas depuis notre premier baisé. D’où peut bien venir cette envie d’incarner sa perfection ?
Trêve de réflexion et d’attente, je frappe a la porte. Quand il ouvre la porte, mon sourire s’élargit, et instantanément, je me sens plus légère. Je me laisse alors guidé par cette main qui prends la mienne comme pour m’entraîner dans une danse que je n’oublierais jamais. La danse de ma vie très certainement. Comme pour répondre au besoin empressant que je ressentais a cet instant, avant même de prononcer le moindre mot, ses lèvres viennent trouver les miennes. Je ferme les yeux et me laisse porter par cet instant, j’en aurais presque l’impression de voler. Cette fois, lorsque le baisé prends fin, je ne ressens pas cette sensation de manque désagréable qui a pu me tordre le ventre la première fois. Cette soirée nous appartient, et j’ai l’intime conviction que ce n’est que le premier. Alors qu’il me souhaite la bienvenu, je suis bien incapable de détacher mon regard de lui pour regarder ce qui nous entoure pour l’instant. Je me laisse couver par la sensation de réconfort que m’apporte sa présence. Pourtant, hors de question de me laisser happer par la timidité ou le confort du silence. Bien qu’il me trouble toujours au plus haut point, je n’ai pas envie de perdre une seconde avec ce genre de bêtises. « Tu es là, bien-sur que je vais bien ! Et toi ? Comment tu te sens ? » Je passe alors ma main sur cette joue si douce, pour aller la perdre un instant dans ses cheveux avant de la laisser retomber le long de son bras. Comment il va émotionnellement, physiquement, globalement, tout m’intéresse. N’espérant finalement qu’une sorte de réponse, que tous les indicateurs soient au vert.
Une inspiration viendra alors conduire une délicieuse odeur jusqu’à mes narines. Entre le travail, mon excitation a l’idée de passé cette soirée ici, et la robe que j’étais allée m’acheté l’après midi même, je n’avais mangé qu’un sandwich aujourd’hui. « ça sens incroyablement bon dit moi ! Tu ne t’es pas donné trop de mal j’espère? » demandais-je un peu gêné a l’idée qu’il ai pu se donner du mal juste pour moi. Je tourne alors la tête en direction du reste de l’appartement, comme si je découvrais qu’il existe un univers au-delà de nous. Tout y est, a son image. Je n’aurais rien d’autre a dire, soigné, élégant, chaleureux. « C’est… Ton chez toi est… comme toi en fait ! » Je tourne de nouveau les yeux vers lui, et les émotions que j’ai tenté de contrôler avant de rentrer chez lui semblent décidé a mener un nouvel assaut que je ne pourrais pas contenir. Une petite pile semble s’allumer en moi, et sans crier gare je me jette a son cou, mes pieds quittant le sol pour m’accrocher a lui, le serrant fort contre moi. « Tu m’as manqué Nathaniel... » Viendrais-je alors murmurer a son oreille avant de cacher mon visage dans son cou pour profiter de son odeur délicieuse. « … merci pour ton invitation. » Cette soirée serait inoubliable, la plus belle de ma vie. J’en étais intimement persuadée. Il était devenu un véritable soleil pour moi, et ici, chez lui, je n’avais qu’une hâte. En apprendre d’avantage sur celui qui a définitivement fait chaviré mon coeur.
Nathaniel Carter
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Warnings : maladie + drogue
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Le regard plongé dans le sien, je l’admire pendant un petit instant. Mon cœur bat si fort dans ma poitrine que j’ai l’impression qu’elle pourrait facilement l’entendre. Elle est si belle… et elle sent si bon! À cet instant, j’aurais presque encore l’envie de pleurer tant je suis heureux! Caressant tendrement sa joue du bout des doigts, je réponds en disant « Je vais bien aussi puisque tu es arrivée… avant de poser tout doucement mes lèvres contre les siennes une énième fois. Je ne pourrai plus jamais m’en passer, de ces baisers! C’est ma nouvelle drogue! Ses mots viennent toutefois me rappeler à l’ordre et je ris un peu en ajoutant « Oh, tu sais! J’adore cuisiner! Ce n’est pas un problème, pour moi! Tu verras, si tu aimes ce que je fais, il me fera plaisir de continuer à te faire des bons petits plats quand tu le voudras! » Certes, je ne lui dirai pas que ça m’a quand même un peu fatigué dû à mon manque d’énergie! Tout ce que je veux c’est de la voir heureuse …Elle est tellement ravissante avec ce beau sourire sur son visage!
Avec elle, je regarde autour de moi mon appartement et sourit Tu crois? J’espère que c’est bien! J’ai fait du ménage juste avant que tu arrr… je n’ai même pas le temps de finir ma phrase que je me retrouve avec une Miah à mon cou à la tenir tout contre moi pour ne pas qu’elle tombe. Je ris alors de stupéfaction avant de lui donner un doux bisou sur la tête en disant « Tu m’as extrêmement manqué aussi, Miah… puis je me mets à lui caresser lentement les cheveux afin de la réconforter. Elle semble émotionnelle et je ne veux pas la brusquer dans ses émotions, en ce moment. Je la comprends, disons. Pour moi aussi, ça été difficile à vivre sans elle à mes côtés depuis la dernière fois. Je souris à nouveau à ses paroles et ajoute Ça me fait plaisir… et merci à toi d’être venue, tu sais… puis tout doucement, je la dépose sur ses pieds avant de dire Tiens, enlève ton trench-coat, sinon tu vas avoir chaud… et sans tarder, je l’aide à l’enlever avant de l’accrocher dans le garde-robe de l’entrée.
Une fois fait, je me retourne vers elle et regarde sa robe en ayant des millions d’étoiles dans les yeux Wow… Tu es …magnifique… J’en ai même les jambes molles à l’instant, tant elle est à couper le souffle. Je m’approche d’elle à nouveau et, du bout des doigts, je me mets à toucher le tissus de celle-ci avant d’ajouter Elle te va à merveille… puis rougit un peu avant de sourire Pardon je … Tu me déstabilises! je ris timidement en ajoutant Okay, focus Nate! Bon …! Tu veux quelque chose à boire, peut-être? J’ai du vin ou de la bière! Je peux même te faire un cocktail, si tu en as envie! puis je m’éloigne pour aller vers la cuisine tout en détachant un bouton du collet de ma chemise. Ouf! Elle m’a donné chaud avec cette robe! Je dois retrouver une contenance!
Avec elle, je regarde autour de moi mon appartement et sourit Tu crois? J’espère que c’est bien! J’ai fait du ménage juste avant que tu arrr… je n’ai même pas le temps de finir ma phrase que je me retrouve avec une Miah à mon cou à la tenir tout contre moi pour ne pas qu’elle tombe. Je ris alors de stupéfaction avant de lui donner un doux bisou sur la tête en disant « Tu m’as extrêmement manqué aussi, Miah… puis je me mets à lui caresser lentement les cheveux afin de la réconforter. Elle semble émotionnelle et je ne veux pas la brusquer dans ses émotions, en ce moment. Je la comprends, disons. Pour moi aussi, ça été difficile à vivre sans elle à mes côtés depuis la dernière fois. Je souris à nouveau à ses paroles et ajoute Ça me fait plaisir… et merci à toi d’être venue, tu sais… puis tout doucement, je la dépose sur ses pieds avant de dire Tiens, enlève ton trench-coat, sinon tu vas avoir chaud… et sans tarder, je l’aide à l’enlever avant de l’accrocher dans le garde-robe de l’entrée.
Une fois fait, je me retourne vers elle et regarde sa robe en ayant des millions d’étoiles dans les yeux Wow… Tu es …magnifique… J’en ai même les jambes molles à l’instant, tant elle est à couper le souffle. Je m’approche d’elle à nouveau et, du bout des doigts, je me mets à toucher le tissus de celle-ci avant d’ajouter Elle te va à merveille… puis rougit un peu avant de sourire Pardon je … Tu me déstabilises! je ris timidement en ajoutant Okay, focus Nate! Bon …! Tu veux quelque chose à boire, peut-être? J’ai du vin ou de la bière! Je peux même te faire un cocktail, si tu en as envie! puis je m’éloigne pour aller vers la cuisine tout en détachant un bouton du collet de ma chemise. Ouf! Elle m’a donné chaud avec cette robe! Je dois retrouver une contenance!
Mirah-Jane Lens
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Je suis tombée amoureuse de lui comme on s'endort, doucement. Puis tout d'un coup.
@Nathaniel Carter @Miah Snows
Je n’ai jamais chercher a attendre dans le but de trouver la perle rare. Si jusque là ma vie amoureuse était absolument inexistante, c' est tout simplement la force du hasard. Alors me voilà, du haut de mes vingt six ans, découvrant ces miriandes de sensations qui se bousculent en moi comme l' ont fait tant d' adolescentes avant moi. On pourrait croire que la différence d' age en découvrant ces sentiments auraient atténué l' euphorie, et les angoisses qu' ils procurent. Mais, a cette manière incontrôlable que j' ai eu de me jeter a son cou, je suis prête a parier qu' il n' en est rien finalement. J' ai déjà entendu tellement de copines parler de l' homme de leur vie, alors qu' aujourd'hui elles ont déjà vécu plusieurs histoires.
Pourtant, je me refuse a l' idée de faire preuve de réserve, tout en moi se refuse a faire preuve de pragmatisme. Nathaniel c' est mon évidence, celui que le destin à finalement décidé de mettre sur ma route. Quand j' entre dans son appartement, quand je vois sa manière de me regarder, quand je sens son corps contre le mien, quand sa voix vient rompre le silence comme une musique merveilleuse… A tous ces instant je ne suis certaine que d' une chose. Il est celui que je veux, celui avec qui je veux apprendre à vivre ma propre vie. S' en est presque étrange, comment est-il possible de se sentir soudainement aussi dépendante de la présence d' une autre personne pour se sentir entière ?
Quand il me remercie d' être venue, j' ai presque envie de lui dire a quel point chaque minute loin de lui me paraît durer une éternité, j' aurais envie de lui dire que je ne veux plus jamais le quitter, peut importe le reste du monde. Mais… Il paraît que ça ne se passe pas comme ça dans le monde réel, et je ne voudrais pas lui faire peur. Je ne voudrais pas qu' il me prenne pour une folle qui a soudainement décidé de s' installer dans chaque minute de son quotidien. Alors, quand mes pieds touchent a nouveau le sol, je lui souris simplement, laissant éclater au grand jour tous le bonheur que je ressens, sans oser mettre sur celui-ci le moindre mot supplémentaire. J' accepte alors son invitation à enlever cette grosse veste, car après tout, il est vrai que la chaleur de son appartement n' a rien a voir avec la fraîcheur de la nuit. J' accepte silencieusement et naturellement son aide, le regardant ensuite l' installé simplement dans un placard de l' entrée. Je me surprends même a penser que celle-ci n' a jamais été autant a sa place que maintenant.
Quand il se retourne vers moi, ses mots me font rougir instantanément, évidement, j' avais choisi cette robe pour lui, et pendant ces longues minutes dans la salle de bain, c' est cette réaction que j' avais espérée. Mais le vivre est différent, sentir son regard brillant sur moi me donnerait presque l' impression de voler. Quand ses doigts viennent frôler le tissus de ma robe, je me met à frémir, un frisson me parcourant de part en part, pareil a une décharge d' électricité. Rendue muette par la timidité, je me contente de l' observer. Me disant a moi même qu' il me fallait bien cette robe pour correspondre un minimum a cet homme merveilleux.
Puis un peu hébetée, je ne comprends absolument pas l' origine de son pardon. Le déstabiliser ? Un nouveau sourire apparaît sur mon visage et un rire nerveux et discret vient alors se joindre au sien. « Qu' est ce que je devrais dire... » murmurais-je sans me rendre compte que mes mots avaient été prononcés a voix haute.
Il me propose quelque chose a boire, et dans cette liste je dois admettre que plusieurs choses me font envie. « Je ne suis pas contre un verre de vin, mais a en juger par ce que j' imagine de ta cuisine, un cocktail peut-être tentant également... » Il faut croire que je suis particulièrement bien entouré, c' est un peu le même scénario quand j' arrive chez Andy pour une de nos soirées filles. Les plats qu' elle prépare sentent divinement bon, et ses cocktails sont a tombés. Mais papa m' a également appris à apprécier un bon verre de vin de temps en temps, pour les grandes occasion. Aucuns doutes concernant le fait que cette soirée fait partit des grandes occasions. Le regardant alors s' éloigné en direction de la cuisine j' ajoute. « Alors, je te laisse faire le choix final a ma place. »
Je reste un instant là, hésitante, et me décide a lui emboîter le pas. Hors de question de rester là a attendre comme une potiche. Dans un premier temps, ce n' est pas mon genre. Il faut aussi admettre que je réagis a ses mouvements comme une sorte d' aimant. Incapable de rester trop loin de lui alors que quelques pas me permettraient de profiter de sa silhouette élancée ! A sa suite dans la cuisine, pendant qu' il sort deux verres d' un placard je pose alors doucement une main de chaque coté de ses hanches pour annoncé ma présence. Avec délicatesse pour ne pas le faire sursauter. « Je peux peut-être t' aider a faire quelque chose trésor ? » Je me place alors a coté de lui adossée a un plan de travail, non sans laisser ma main caresser le bas de son dos pour ne pas rompre le contact trop brutalement, plus pour moi que pour lui cette fois-ci. « Tu en fais beaucoup, je voudrais pas avoir l' air inutile. » Je ne suis déjà pas du genre à resté inactive, et là j' ai bien d' autres raisons qui justifie mon envie de l' aider… et puis, m' occuper les main me permettrait peut-être de résister un peu plus sainement a l' envie de le garder dans mes bras en permanence ?
Pourtant, je me refuse a l' idée de faire preuve de réserve, tout en moi se refuse a faire preuve de pragmatisme. Nathaniel c' est mon évidence, celui que le destin à finalement décidé de mettre sur ma route. Quand j' entre dans son appartement, quand je vois sa manière de me regarder, quand je sens son corps contre le mien, quand sa voix vient rompre le silence comme une musique merveilleuse… A tous ces instant je ne suis certaine que d' une chose. Il est celui que je veux, celui avec qui je veux apprendre à vivre ma propre vie. S' en est presque étrange, comment est-il possible de se sentir soudainement aussi dépendante de la présence d' une autre personne pour se sentir entière ?
Quand il me remercie d' être venue, j' ai presque envie de lui dire a quel point chaque minute loin de lui me paraît durer une éternité, j' aurais envie de lui dire que je ne veux plus jamais le quitter, peut importe le reste du monde. Mais… Il paraît que ça ne se passe pas comme ça dans le monde réel, et je ne voudrais pas lui faire peur. Je ne voudrais pas qu' il me prenne pour une folle qui a soudainement décidé de s' installer dans chaque minute de son quotidien. Alors, quand mes pieds touchent a nouveau le sol, je lui souris simplement, laissant éclater au grand jour tous le bonheur que je ressens, sans oser mettre sur celui-ci le moindre mot supplémentaire. J' accepte alors son invitation à enlever cette grosse veste, car après tout, il est vrai que la chaleur de son appartement n' a rien a voir avec la fraîcheur de la nuit. J' accepte silencieusement et naturellement son aide, le regardant ensuite l' installé simplement dans un placard de l' entrée. Je me surprends même a penser que celle-ci n' a jamais été autant a sa place que maintenant.
Quand il se retourne vers moi, ses mots me font rougir instantanément, évidement, j' avais choisi cette robe pour lui, et pendant ces longues minutes dans la salle de bain, c' est cette réaction que j' avais espérée. Mais le vivre est différent, sentir son regard brillant sur moi me donnerait presque l' impression de voler. Quand ses doigts viennent frôler le tissus de ma robe, je me met à frémir, un frisson me parcourant de part en part, pareil a une décharge d' électricité. Rendue muette par la timidité, je me contente de l' observer. Me disant a moi même qu' il me fallait bien cette robe pour correspondre un minimum a cet homme merveilleux.
Puis un peu hébetée, je ne comprends absolument pas l' origine de son pardon. Le déstabiliser ? Un nouveau sourire apparaît sur mon visage et un rire nerveux et discret vient alors se joindre au sien. « Qu' est ce que je devrais dire... » murmurais-je sans me rendre compte que mes mots avaient été prononcés a voix haute.
Il me propose quelque chose a boire, et dans cette liste je dois admettre que plusieurs choses me font envie. « Je ne suis pas contre un verre de vin, mais a en juger par ce que j' imagine de ta cuisine, un cocktail peut-être tentant également... » Il faut croire que je suis particulièrement bien entouré, c' est un peu le même scénario quand j' arrive chez Andy pour une de nos soirées filles. Les plats qu' elle prépare sentent divinement bon, et ses cocktails sont a tombés. Mais papa m' a également appris à apprécier un bon verre de vin de temps en temps, pour les grandes occasion. Aucuns doutes concernant le fait que cette soirée fait partit des grandes occasions. Le regardant alors s' éloigné en direction de la cuisine j' ajoute. « Alors, je te laisse faire le choix final a ma place. »
Je reste un instant là, hésitante, et me décide a lui emboîter le pas. Hors de question de rester là a attendre comme une potiche. Dans un premier temps, ce n' est pas mon genre. Il faut aussi admettre que je réagis a ses mouvements comme une sorte d' aimant. Incapable de rester trop loin de lui alors que quelques pas me permettraient de profiter de sa silhouette élancée ! A sa suite dans la cuisine, pendant qu' il sort deux verres d' un placard je pose alors doucement une main de chaque coté de ses hanches pour annoncé ma présence. Avec délicatesse pour ne pas le faire sursauter. « Je peux peut-être t' aider a faire quelque chose trésor ? » Je me place alors a coté de lui adossée a un plan de travail, non sans laisser ma main caresser le bas de son dos pour ne pas rompre le contact trop brutalement, plus pour moi que pour lui cette fois-ci. « Tu en fais beaucoup, je voudrais pas avoir l' air inutile. » Je ne suis déjà pas du genre à resté inactive, et là j' ai bien d' autres raisons qui justifie mon envie de l' aider… et puis, m' occuper les main me permettrait peut-être de résister un peu plus sainement a l' envie de le garder dans mes bras en permanence ?
Nathaniel Carter
where do we go now ?
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Présence : Présent.e
Âge : 29 ans
Statut civil : Célibataire
Métier : Éducateur spécialisé
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Elle est si belle, si sublime que j’ai l’impression de perdre tous mes moyens! Même l’usage de la parole qui, normalement n’est pas facile à me faire perdre, elle réussi à me faire bafouer! Ça m’intimide mais me fait rire en même temps, surtout en voyant sa réaction si mignonne. Elle non plus, elle ne semble pas savoir quoi dire en rapport à ma réaction! Amusé, je hoche non en ajoutant « T’inquiètes pas, tu n’as rien à dire, crois-moi! C’est moi qui … ouf …C’est moi qui dois reprendre mes esprits! » et je rigole tout en me dirigeant vers la cuisine. À cet instant précis, je me mets à réaliser à quel point tout ce que je vis en ce moment me semble naturel. Miah, chez moi …Elle semble réellement à sa place, ici. Ses beaux cheveux roux vont même parfaitement bien avec mon décor un peu rétro! On dirait que tout est fait pour aller ensemble …Je nous vois bien vivre ensemble, ici …Vivre de longues années ensemble dans cet environnement. J’aimerais de tout mon cœur, du moins…
Sa réponse vient me faire sourire et je dis alors « Parfait! Commençons par un cocktail, dans ce cas! sur ce, je commence à sortir les ingrédients pour lui faire le meilleur Galaxy magic mule qu’elle aura goûté de toute sa vie! Mais quelques secondes à peine après avoir entamé, je sens ses mains venir se poser tout doucement sur mes hanches. À cet instant, je sens à nouveau mon cœur accélérer comme un petit Hamster dans sa roulette. Une chaleur monte de mon bas ventre jusqu’à mes oreilles et mon regard se pose sur le sien. Elle est maintenant adossé au plan de travail à mes côtés et me caresse le bas du dos. Je sens tous mes sens se mettre en ébullition, surtout lorsqu’elle m’appelle trésor… Oh la la …
Je déglutis un peu trop fort à mon goût avant de rire un peu et dire « Je euhm… » puis je souffle pour tenter de revenir à moi-même avant de rire à nouveau « Wow mais …wow… Tu …Tu es magique, ou quoi? Je n’ai jamais perdu autant consistance devant quelqu’un que devant toi, ce soir … » J’suis amusé mais en même temps, je me rappelle tous mes films de vampires que je regardais lorsque j’étais plus jeune, et ça commençait toujours ou presque comme ça …mais je me dis aussi que si elle était une vampire, oh hell que j’accepterais de me faire mordre! Fuck ma vie, quoi! Mords moi, oui je le veux!
Toujours aussi amusé par la situation, je reprends légèrement mes esprits en disant «Si… si tu veux tu peux commencer à manger! Ou …ou tu peux me sortir des framboises! Oui …oui, pourrais-tu me sortir des framboises, stp, mon ange? Je vais en mettre dans nos cocktails! » mais lorsqu’elle s’exécute, quelque chose me pousse à aller derrière elle. Lorsqu’elle se retourne pour faire face à moi de nouveau, je l’embrasse avec tendresse et passion, n’y pouvant plus de résister à la tentation! Je l’embrasse ainsi pendant environ une minute, juste le temps pour mon corps de ressentir le froid du frigidaire ouvert et de me dire que ses fesses doivent prendre froid aussi. Je la tire donc un peu vers moi et referme la porte du frigo pour ensuite la regarder et dire « et au fait … Tu ne seras jamais inutile avec moi, d’accord…? Jamais … Tu as le droit de te faire traiter en princesse en ma présence …alors si tu veux aller t’asseoir et commencer à grignoter, tu peux … » puis je lui prends les framboises des mains avant de lui redonner un doux baiser et d’ajouter Au fait, comment s’est passé ta journée? Ta semaine…? Raconte moi tout, je veux tout savoir!
Sa réponse vient me faire sourire et je dis alors « Parfait! Commençons par un cocktail, dans ce cas! sur ce, je commence à sortir les ingrédients pour lui faire le meilleur Galaxy magic mule qu’elle aura goûté de toute sa vie! Mais quelques secondes à peine après avoir entamé, je sens ses mains venir se poser tout doucement sur mes hanches. À cet instant, je sens à nouveau mon cœur accélérer comme un petit Hamster dans sa roulette. Une chaleur monte de mon bas ventre jusqu’à mes oreilles et mon regard se pose sur le sien. Elle est maintenant adossé au plan de travail à mes côtés et me caresse le bas du dos. Je sens tous mes sens se mettre en ébullition, surtout lorsqu’elle m’appelle trésor… Oh la la …
Je déglutis un peu trop fort à mon goût avant de rire un peu et dire « Je euhm… » puis je souffle pour tenter de revenir à moi-même avant de rire à nouveau « Wow mais …wow… Tu …Tu es magique, ou quoi? Je n’ai jamais perdu autant consistance devant quelqu’un que devant toi, ce soir … » J’suis amusé mais en même temps, je me rappelle tous mes films de vampires que je regardais lorsque j’étais plus jeune, et ça commençait toujours ou presque comme ça …mais je me dis aussi que si elle était une vampire, oh hell que j’accepterais de me faire mordre! Fuck ma vie, quoi! Mords moi, oui je le veux!
Toujours aussi amusé par la situation, je reprends légèrement mes esprits en disant «Si… si tu veux tu peux commencer à manger! Ou …ou tu peux me sortir des framboises! Oui …oui, pourrais-tu me sortir des framboises, stp, mon ange? Je vais en mettre dans nos cocktails! » mais lorsqu’elle s’exécute, quelque chose me pousse à aller derrière elle. Lorsqu’elle se retourne pour faire face à moi de nouveau, je l’embrasse avec tendresse et passion, n’y pouvant plus de résister à la tentation! Je l’embrasse ainsi pendant environ une minute, juste le temps pour mon corps de ressentir le froid du frigidaire ouvert et de me dire que ses fesses doivent prendre froid aussi. Je la tire donc un peu vers moi et referme la porte du frigo pour ensuite la regarder et dire « et au fait … Tu ne seras jamais inutile avec moi, d’accord…? Jamais … Tu as le droit de te faire traiter en princesse en ma présence …alors si tu veux aller t’asseoir et commencer à grignoter, tu peux … » puis je lui prends les framboises des mains avant de lui redonner un doux baiser et d’ajouter Au fait, comment s’est passé ta journée? Ta semaine…? Raconte moi tout, je veux tout savoir!
Mirah-Jane Lens
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Je suis tombée amoureuse de lui comme on s'endort, doucement. Puis tout d'un coup.
@Nathaniel Carter @Miah Snows
C’est difficilement descriptible, c’est un peu comme si, le seul endroit ou je trouvais naturellement ma place était a ses cotés. Une sorte de système solaire semble avoir pris le contrôle de mon corps, comme si mon univers tournait autour d’une étoile, et je serais voué a graviter autour. Je me sens inévitablement déstabilisé avec lui, a faire connaissance avec une nouvelle version de moi même. D’ailleurs pendant un instant, je me laisse surprendre par sa réaction, sans vraiment envisager tout ce qui pouvait se passer dans la tête de Nathaniel a cet instant. Pour autant, il me semble déceler en moi une sorte de sentiment de satisfaction. Comme si le fait d’être une trop grande distraction pour son esprit avait été un fin en soit… et si c’était le cas ? Car après tout, voilà plusieurs semaines maintenant, que même en son absence, son visage ou sa voix me reviennent continuellement en tête. Un peu comme un explorateur en plein désert, qui imaginerais de l’eau là où il n’y en a jamais eue. Alors, peut-être qu’au fond, cette réaction me plaît plus que je ne pourrais bien l’admettre, ou même que je n’aurais pu le prévoir. Et pour autant, mes joues se teintent a nouveau d’une légère couleur rosée accompagnée d’une onde de chaleur. Un rire qui ressemble plus a un petit gloussement finira par se faire entendre alors qu’a peut de chose je mordillais la lèvre pour ne pas céder a l’envie de répondre par un autre baisé. Oui en fait, il faudrait que je commence à envisager que ce n’est pas la seule manière de communiquer avec lui.
J’admets m’amuser de sa manière de perdre ses mots, ou le fil de ses pensées. Ici, dans sa cuisine, a cet instant : je le trouve plus séduisant que jamais. Commencer a manger sans lui me semblait totalement inenvisageable, je risquerais de manquer quelques minutes de sa présence. Là ou, aller lui chercher quelques framboise pour l’aider me paraissait déjà beaucoup plus envisageable. « Je vais faire ça. » soufflais-je a demi-mots en retirant ma main de son dos non sans faire durer le contact jusqu’au dernier instant. Un ange ? Son ange ? Je ne sais pas, mais là tout de suite j’avais l’impression de voler. Je me dirige vers son réfrigérateur le pas léger. Ouvre la porte et observe dans les rayons.Rapidement j’aperçois les baies roses dans une petite boite. Je l’attrape rapidement et me retourne en direction de Nate, pensant lui tendre mon butin.
Je m’aperçois alors qu’il a quitté nos verres des yeux, me faisant face au moment ou je me retourne. En une fraction de seconde c’est comme si tout devenait électrique autour de nous, nos regards ont a peine le temps de se croiser que je me retrouve les bras passés a son cou, lui rendant son baisé avec un plaisir non dissimulé, mes mains finissant par retrouver sa taille avant que ce baisé ne prenne fin. Ce n’est que lorsqu’il referme la porte du frigo que je me rappelle de l’existence de celui-ci. J’écoute ensuite ces mots qui me touchent en plein cœur,et me font me blottir contre lui un instant de plus. «Merci... » murmurais-je alors tout contre lui, véritablement touché de l’attention qu’il me porte. «Mais je suis pas du genre à jouer les princesses tu sais... » ajoutais-je sur le même ton, avant qu’il ne se décide a me prendre la boite de framboise toujours vissée dans ma main. Ah oui… Les framboises. « Promis, j’arrête de te déconcentrer » ajoutais-je avec un petit sourire innocent. » avant de lui faire un petit bisous au coin de la bouche.
Alors qu’il reprends ses préparatif je reste bien sage à l’observer réaliser avec soin notre apéritif. En plus de tout le reste, il était doué en cuisine de toute évidence. On m’avait pourtant dit que la perfection n’existait pas, et pourtant je commençais à en douter. « Ma semaine... » commençais-je en réfléchissant. Quand soudain je suis frappée par une anecdote difficilement oubliable. « Deux jours de gardes aux urgences, la routine en soit, si ce n’est que je suis tombée sur un cousin, dont je n’avais qu’entendu parlé jusque là. Mon père et son frère sont brouillés depuis avant ma naissance c’est dire. Et là : surprise, je suis tombé sur lui. Alors ok, ma grand-mère m’avait prévenu qu’il allait sûrement venir dans les environs… Mais je m’attendais pas à le croiser pour des points de suture. » Je ris de la coïncidence, même si sur le coup Gadriel lui avait eu l’air de trouver ça moins marrant. « Pour le reste de la semaine Oncologie, rien de nouveau à l’horizon. » En nommant le nom du service je ne peux m’empêcher de repenser à cette fameuse matinée qui elle non plus n’annonçait pourtant rien de bien différent. « En même temps, faut dire qu’on est pas censé rencontrer un beau brun, gentil, courageux, tendre et attentionné toutes les semaines... » annonçais-je en jouant de ma voie la faisant paraître plus songeuse. « Non, définitivement je crois que ça, ça n’arrive qu’aux plus chanceuses, une fois dans une vie ! » Et oui, je dois avouer que la notion d’une fois dans une vie était mieux choisie que jamais. Car dans un premier temps, je me voyais parfaitement vivre le compte de la princesse et son prince charmant. Puis dans un second temps il faut admette que le revoir sur un lit d’hôpital n’aurait rien d’une partie de plaisir. « Pour le reste, la routine ! Ou rien dont tu ne sois pas au courant. A part la soirée cinéma que mes parents semblaient vouloir programmé que j’ai esquivé brillamment ! » Car oui, a l’inverse de Nate je vivais encore chez mes parents, pas de super appartement ou l’accueillir comme il le faisait pour moi ce soir. Jusqu’à présent ça ne m’avait jamais vraiment dérangé, car j’étais libre d’aller et venir comme bon me semblait tout en épargnant pour plus tard comme le disais mon père. Qui comme ma mère d’ailleurs ne semblait pas pressé de me voir quitter le nid familial. Mais je dois admettre que cette fois je lui aurais bien rendu la pareille à l’occasion. Et a peu de choses j’aurais pu rougir de ce fait. Alors comme si je voulais balayer d’un revers de main la phrase que je venais d’achever je fais une petite moue un peu gênée et enchaîne rapidement sur autre chose. « Et toi alors ? Cette semaine ? Ça se passe bien ? » J’en étais réellement intéressée, arriver dans un nouvel hopital n’était pas forcément simple j’imaginais. S’intégrer dans un nouvel établissement, prendre ses habitudes. Son équipe lui plaisait-il ? Et surtout, n’étais-ce pas trop dur a gérer après ce qui s’est passé…
J’admets m’amuser de sa manière de perdre ses mots, ou le fil de ses pensées. Ici, dans sa cuisine, a cet instant : je le trouve plus séduisant que jamais. Commencer a manger sans lui me semblait totalement inenvisageable, je risquerais de manquer quelques minutes de sa présence. Là ou, aller lui chercher quelques framboise pour l’aider me paraissait déjà beaucoup plus envisageable. « Je vais faire ça. » soufflais-je a demi-mots en retirant ma main de son dos non sans faire durer le contact jusqu’au dernier instant. Un ange ? Son ange ? Je ne sais pas, mais là tout de suite j’avais l’impression de voler. Je me dirige vers son réfrigérateur le pas léger. Ouvre la porte et observe dans les rayons.Rapidement j’aperçois les baies roses dans une petite boite. Je l’attrape rapidement et me retourne en direction de Nate, pensant lui tendre mon butin.
Je m’aperçois alors qu’il a quitté nos verres des yeux, me faisant face au moment ou je me retourne. En une fraction de seconde c’est comme si tout devenait électrique autour de nous, nos regards ont a peine le temps de se croiser que je me retrouve les bras passés a son cou, lui rendant son baisé avec un plaisir non dissimulé, mes mains finissant par retrouver sa taille avant que ce baisé ne prenne fin. Ce n’est que lorsqu’il referme la porte du frigo que je me rappelle de l’existence de celui-ci. J’écoute ensuite ces mots qui me touchent en plein cœur,et me font me blottir contre lui un instant de plus. «Merci... » murmurais-je alors tout contre lui, véritablement touché de l’attention qu’il me porte. «Mais je suis pas du genre à jouer les princesses tu sais... » ajoutais-je sur le même ton, avant qu’il ne se décide a me prendre la boite de framboise toujours vissée dans ma main. Ah oui… Les framboises. « Promis, j’arrête de te déconcentrer » ajoutais-je avec un petit sourire innocent. » avant de lui faire un petit bisous au coin de la bouche.
Alors qu’il reprends ses préparatif je reste bien sage à l’observer réaliser avec soin notre apéritif. En plus de tout le reste, il était doué en cuisine de toute évidence. On m’avait pourtant dit que la perfection n’existait pas, et pourtant je commençais à en douter. « Ma semaine... » commençais-je en réfléchissant. Quand soudain je suis frappée par une anecdote difficilement oubliable. « Deux jours de gardes aux urgences, la routine en soit, si ce n’est que je suis tombée sur un cousin, dont je n’avais qu’entendu parlé jusque là. Mon père et son frère sont brouillés depuis avant ma naissance c’est dire. Et là : surprise, je suis tombé sur lui. Alors ok, ma grand-mère m’avait prévenu qu’il allait sûrement venir dans les environs… Mais je m’attendais pas à le croiser pour des points de suture. » Je ris de la coïncidence, même si sur le coup Gadriel lui avait eu l’air de trouver ça moins marrant. « Pour le reste de la semaine Oncologie, rien de nouveau à l’horizon. » En nommant le nom du service je ne peux m’empêcher de repenser à cette fameuse matinée qui elle non plus n’annonçait pourtant rien de bien différent. « En même temps, faut dire qu’on est pas censé rencontrer un beau brun, gentil, courageux, tendre et attentionné toutes les semaines... » annonçais-je en jouant de ma voie la faisant paraître plus songeuse. « Non, définitivement je crois que ça, ça n’arrive qu’aux plus chanceuses, une fois dans une vie ! » Et oui, je dois avouer que la notion d’une fois dans une vie était mieux choisie que jamais. Car dans un premier temps, je me voyais parfaitement vivre le compte de la princesse et son prince charmant. Puis dans un second temps il faut admette que le revoir sur un lit d’hôpital n’aurait rien d’une partie de plaisir. « Pour le reste, la routine ! Ou rien dont tu ne sois pas au courant. A part la soirée cinéma que mes parents semblaient vouloir programmé que j’ai esquivé brillamment ! » Car oui, a l’inverse de Nate je vivais encore chez mes parents, pas de super appartement ou l’accueillir comme il le faisait pour moi ce soir. Jusqu’à présent ça ne m’avait jamais vraiment dérangé, car j’étais libre d’aller et venir comme bon me semblait tout en épargnant pour plus tard comme le disais mon père. Qui comme ma mère d’ailleurs ne semblait pas pressé de me voir quitter le nid familial. Mais je dois admettre que cette fois je lui aurais bien rendu la pareille à l’occasion. Et a peu de choses j’aurais pu rougir de ce fait. Alors comme si je voulais balayer d’un revers de main la phrase que je venais d’achever je fais une petite moue un peu gênée et enchaîne rapidement sur autre chose. « Et toi alors ? Cette semaine ? Ça se passe bien ? » J’en étais réellement intéressée, arriver dans un nouvel hopital n’était pas forcément simple j’imaginais. S’intégrer dans un nouvel établissement, prendre ses habitudes. Son équipe lui plaisait-il ? Et surtout, n’étais-ce pas trop dur a gérer après ce qui s’est passé…
Nathaniel Carter
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Alors que je la sens se blottir tout contre moi, j’entoure sa taille de mes bras et dépose ma tête tout doucement contre la sienne en caressant lentement son dos. J’aime cette proximité …en fait, c’est étrange mais ce n’est qu’en étant blottit ainsi contre elle que je me sens véritablement complet. Je n’avais jamais vécu cela par le passé… C’est une impression étrange… si étrange que s’en est même un peu effrayant par moment. C’est dingue de se dire qu’une personne peut, juste en étant elle même et présente, bouleverser ta vie au point de te dire que tu n’étais pas complet avant de connaître son existence… et pourtant, c’est la vérité. L’avoir dans mes bras en ce moment, ressentir son souffle contre ma peau …tout se confirme. C’est elle que j’attendais depuis le tout début …elle et personne d’autre.
Voulant la débarrasser du contenant froid, je prends alors les framboises de ses mains et rit un peu de ses paroles en ajoutant « Oh, tu sais …Je n’ai pas de toute là-dessus! Mais n’empêche que j’aimerais bien continuer à te traiter comme tel, si tu me le permets! Et … ne t’excuse jamais pour ça, d’accord? J’aime bien être déconcentré, si c’est pour me donner de l’affection…» puis lui fait un petit clin d’œil en continuant ma cuisine. J’aime cette dynamique. C’est doux et sans stress…Ça fait du bien. C’est loin d’être comme mon ex qui me narguait sans arrêt …
Son anecdote me fait hausser des sourcils et je dis en souriant « Wow! D’accord …et pour des points de suture? Je la regarde alors, un sourcil levé, sourire en coin Il s’est battu ou …c’était un accident? J’aimerais bien savoir car bon …Un nouveau cousin dans les parages … S’il est violent, je vais devoir surveiller ça de près. Connaissant Miah, je sais qu’elle ferait tout pour sauver les autres …et je veux être celui qui l’a protègera au besoin. De plus, s’il est violent, il risque de devenir un de mes clients éventuellement. Autant en apprendre sur lui d’avance!
Lorsqu’elle poursuit la conversation, je ne peux m’empêcher de rougir un peu et rire en même temps. « Tu sais … Comme patient, je n’aurais pas pu rêver mieux! Tomber sur une ravissante infirmière, drôle, empathique, douce et avec un sourire à faire tomber …T’imagines pas à quel point je vis le rêve de beaucoup d’hommes, en ce moment! puis je hoche oui comme pour appuyer mes propos. Notre relation serait digne d’un épisode de Grey’s anatomy… sans contredit! En l’entendant parler de la soirée cinéma que ses parents voulaient programmer, je souris en ajoutant Ils ont l’air quand même adorables, tes parents … J’aimerais bien les rencontrer un jour! en vrai, j’aimerais beaucoup les rencontrer. Pour ma part, je n’aurais que mon frère Deagan à lui présenter et je suis certain qu’il en serait ravi! Peut-être un jour?
En réalité, ma semaine ne s’était pas aussi bien déroulé que j’avais envie de lui laisser paraître. Je racle ma gorge et dit Ma semaine! En fait, je m’adapte bien à mon nouveau milieu de travail! Mes collègues sont adorables… trop même… puis je ris un peu Ils voudraient que je reste assis la plupart du temps mais tu me connais! Je ne peux pas rester en place, surtout si je peux aider! Et c’est mon travail, d’aider les gens … puis je finalise le cocktail avant de lui mettre devant elle « Sinon …J’ai eu deux jours de repos qui m’ont fait du bien … » par repos, je voulais dire des traitements mais je n’ai pas su l’assumer sur le coup. Je ne veux pas l’inquiéter même si elle doit se douter que j’ai des traitements à faire quotidiennement. J’essaie d’y aller en tenant compte de son horaire, de peur qu’elle me voit…
Comme pour effacer le petit nuage gris qui s’est formé au dessus de ma tête à l’instant, je souris en disant « Voilà! J’espère que tu vas aimer, sinon tu me le dis et je change! Sans problème! pour l’accompagner, je prends le miens et ajoute À nous! tout en souriant avant de prendre ma première gorgée en même temps qu’elle. Le goût est bon, selon moi… je suis satisfait! Mais n’empêche que j’attends avec impatience sa réaction! J’ai peur qu’elle soit déçue!
Voulant la débarrasser du contenant froid, je prends alors les framboises de ses mains et rit un peu de ses paroles en ajoutant « Oh, tu sais …Je n’ai pas de toute là-dessus! Mais n’empêche que j’aimerais bien continuer à te traiter comme tel, si tu me le permets! Et … ne t’excuse jamais pour ça, d’accord? J’aime bien être déconcentré, si c’est pour me donner de l’affection…» puis lui fait un petit clin d’œil en continuant ma cuisine. J’aime cette dynamique. C’est doux et sans stress…Ça fait du bien. C’est loin d’être comme mon ex qui me narguait sans arrêt …
Son anecdote me fait hausser des sourcils et je dis en souriant « Wow! D’accord …et pour des points de suture? Je la regarde alors, un sourcil levé, sourire en coin Il s’est battu ou …c’était un accident? J’aimerais bien savoir car bon …Un nouveau cousin dans les parages … S’il est violent, je vais devoir surveiller ça de près. Connaissant Miah, je sais qu’elle ferait tout pour sauver les autres …et je veux être celui qui l’a protègera au besoin. De plus, s’il est violent, il risque de devenir un de mes clients éventuellement. Autant en apprendre sur lui d’avance!
Lorsqu’elle poursuit la conversation, je ne peux m’empêcher de rougir un peu et rire en même temps. « Tu sais … Comme patient, je n’aurais pas pu rêver mieux! Tomber sur une ravissante infirmière, drôle, empathique, douce et avec un sourire à faire tomber …T’imagines pas à quel point je vis le rêve de beaucoup d’hommes, en ce moment! puis je hoche oui comme pour appuyer mes propos. Notre relation serait digne d’un épisode de Grey’s anatomy… sans contredit! En l’entendant parler de la soirée cinéma que ses parents voulaient programmer, je souris en ajoutant Ils ont l’air quand même adorables, tes parents … J’aimerais bien les rencontrer un jour! en vrai, j’aimerais beaucoup les rencontrer. Pour ma part, je n’aurais que mon frère Deagan à lui présenter et je suis certain qu’il en serait ravi! Peut-être un jour?
En réalité, ma semaine ne s’était pas aussi bien déroulé que j’avais envie de lui laisser paraître. Je racle ma gorge et dit Ma semaine! En fait, je m’adapte bien à mon nouveau milieu de travail! Mes collègues sont adorables… trop même… puis je ris un peu Ils voudraient que je reste assis la plupart du temps mais tu me connais! Je ne peux pas rester en place, surtout si je peux aider! Et c’est mon travail, d’aider les gens … puis je finalise le cocktail avant de lui mettre devant elle « Sinon …J’ai eu deux jours de repos qui m’ont fait du bien … » par repos, je voulais dire des traitements mais je n’ai pas su l’assumer sur le coup. Je ne veux pas l’inquiéter même si elle doit se douter que j’ai des traitements à faire quotidiennement. J’essaie d’y aller en tenant compte de son horaire, de peur qu’elle me voit…
Comme pour effacer le petit nuage gris qui s’est formé au dessus de ma tête à l’instant, je souris en disant « Voilà! J’espère que tu vas aimer, sinon tu me le dis et je change! Sans problème! pour l’accompagner, je prends le miens et ajoute À nous! tout en souriant avant de prendre ma première gorgée en même temps qu’elle. Le goût est bon, selon moi… je suis satisfait! Mais n’empêche que j’attends avec impatience sa réaction! J’ai peur qu’elle soit déçue!
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Je suis tombée amoureuse de lui comme on s'endort, doucement. Puis tout d'un coup.
@Nathaniel Carter @Miah Snows
Quoi qu’il puisse arriver sur cette terre, je pense qu’il n’y a pas un endroit ou je me sentirais plus a ma place qu’ici. C’est assez dingue d’ailleurs, de se dire que je ne me suis jamais sentie autant en confiance auparavant. Je dirais même plus, il est devenu un reperds pour moi. Pas de masque, pas de mensonges, avec lui je peux simplement me permettre d’être moi, tout simplement. Des petites pensées futiles au cour d’une journée, a ma vision du monde. Tout a une raison d’arriver dans l’une de nos discussions, par ce qu’une sensation démesurée me pousse a lui faire confiance, a me confier sans difficulté. Puis, il me le rends bien, son attitude, sa bienveillance, sa douceur. Cette manière même de vouloir me traiter comme une princesse… Un idée pas désagréable en somme a laquelle je fini pas répondre d’un simple petit sourire entendu. Tout simplement touchée par ses mots tendres a mon attention.
Il en est donc de même pour cette rencontre inattendu avec Gadriel. Je fini par parlé de ce moment comme si de rien n’était. J’ai bien entendu parler de ce cousin avant notre rencontre, mamie l’ayant mentionné quelques fois au téléphone. Et si sa présence en ville est hasardeuse et n’a aucun rapport avec un quelconque envie de consolider les liens familiaux, je reste intrigué par l’idée de sa présence. Une part de mon ayant inévitablement envie d’en savoir plus sur cette partie de la famille dont je ne sais rien. Mais, même si j’en ai parlé, je ne pense pas forcément ressentir le besoin de m’épandre sur le sujet. Je n’ai jamais ressentit de manque particulier concernant cette partie de ma famille, peut-être par ce que j’en ignorais jusqu’à l’existence.
Par contre une fois de plus l’attention que me porte Nate de faillit pas, s’intéressant a cette histoire jusqu’à en demander les causes. Je souris d’ailleurs en repensant a cet épisode aux urgences. Un patient des plus… particulier. « Pour les points de suture… on va dire que ça c’est bien passé, même si je ne m’explique pas pourquoi, mais il semble avoir une aversion pour les aiguilles et le domaine hospitalier. Tu sais genre… Comme si il y avait déjà passé trop de temps. » Je suis un peu songeuse a ce sujet mais passe vite a la réponse suivante. « Un accident de la vie quotidienne. Je crois que c’est un placard de cuisine qui a eu raison de son arcade. Six points en tout ! » Je me tourne en direction d’un des meubles qui nous entoure en le pointant du doigts. « De toute évidence, c’est plus féroce que ce qu’on crois ces petites bêtes là ! »
Des frissons me parcourent de part en part quand a son tour il fait référence a notre rencontre. J’ai toujours du mal a comprendre ce qui s’est réellement passé dans ma tête ce matin là, comme si tout était irréel, hors du temps. L’entendre en parler donne une dynamique plus réel a ce souvenir qui a marqué mon existence a jamais. Cependant j’ai du mal à imaginer représenter le rêve de « beaucoup d’hommes ». Celà dit être le sien représente un compliment au dessus de toute communes mesures, et je me met de nouveau a rougir a cette simple idée. Une nuée de papillon semblant vouloir s’échapper de mon estomac a cette instant. Tant pis pour ma pseudo promesse de ne plus le déranger, mais avec des mots pareils il me rends totalement incapable de résister. Je me rapproche de lui et pose doucement ma tête contre son épaule en le regardant terminer nos boissons avec soin. Quand il mentionne mes parents je me redresse et souris, c’est vrai je ne peux pas dire le contraire mes parents son exceptionnelles. Quand a l’idée de cette rencontre je n’y suis évidement pas fermée même si je découvre tout de même cette sensation désagréable qui dit « pitiés qu’elles ne disent pas de bêtises. » Il faut dire que ma mère et son coté excentrique seraient capable de sortir les albums de famille dès la première rencontre, et peut être même de parler de la même chose que la dernières fois… « Euh mes parents… on peut dire que t’as pas peur toi ! » déclarais-je en riant nerveusement pour le coup. « Enfin, si t’as pas peur d’un accueil digne de ceux réservé a un saint pour être le premier a franchir les portes de leur maison sous l’étiquette de potentiel gendre, que tu craint pas l’excentricité de ma mère et la possible mise a jour de TOUS mes souvenirs d’enfance potentiellement gênant, et que tu n’as pas peur non plus qu’on te parle de mariage et/ou de potentiel petits-enfants au bout de dix minutes, alors oui tu pourrais les rencontrer ! » A vrai dire elles n’ont pas encore entendu parlé de Nate, souhaitant gardé ce bonheur rien que pour moi. Une manière égoïste de découvrir ces sensations sans leur laissé la possibilité de donner leur avis. Mais dans le cas ou c’est lui qui en parle, les choses deviennent évidement plus logiques, et officielle aux yeux du monde. « Mais attention… hors de question que le fait de les rencontrer ne fasse changer ce regard adorable que tu pose sur moi hein ! » Je joins a ces mots une petite moue attendrissante.
On en vient alors a sa semaine, son travail. Et j’avoue que sa réponse correspond a l’identique a ce que j’avais imaginé. Son malaise a eu lieu au travail, et je ne doute pas que ses collègues aient eu vent du service dans lequel il a été transféré après les urgences. Je retiens une petite grimace de désapprobation. Moi aussi je peux comprendre cette réaction, moi aussi je voudrais lui dire de se reposer, de me laisser faire. Mais je sais au fond de moi que ce n’est pas une solution, pas une manière de faire. On empêche pas les gens de vivre pour les protéger, ça ne fonctionne pas comme ça. Alors j’ai choisi de vivre cette histoire comme si de rien n’était, en lui faisant entièrement confiance. J’ai espoir que de cette manière, il n’hésite pas a se confier a moi concernant l’avancé de son ressentit vis a vis de cette saloperie de cancer. Sans me laisser le temps d’ajouter quoi que ce soit il place un verre devant moi et je reste stupéfaite devant sa magnifique couleur laissant apparaître un dégradé de couleurs bleues violines.
« A nous.. » Luis répondis-je avec un sourire pétillant, tellement ces deux simple mots me rappellent a quel point j’ai de la chance de partager ce moment avec lui. Puis je porte le verre a mes lèvres tout en laissant échappé un « mmmmh » de plaisir. « Nathaniel Carter… Il faut que tu arrêtes, si tout ce que tu as fait ce soir et aussi parfait, je vais refuser de passer une soirée de plus hors de cet appartement tu en es bien conscient j’espère ! » J’essaie de faire comme si je le disputais, chose totalement sans crédibilité quand on lit dans mes yeux toute l’admiration que je lui porte. Admiration le mot est faible, appelons un chat un chat, il s’agit purement et simplement d’amour.
Je repense évidement un instant a l’attitude de ses collègues, et hésite donc a lui proposer d’aller s’asseoir, bien que dans ces conditions j’espère simplement en vérité pouvoir passé un moment plus confortable en sa compagnie. Mais finalement je me dit que ne rien dire de cette manière serait un comportement proche du leur alors… « Si tu as fini en cuisine, on pourrait peut-être aller profité du feu dans la cheminée ? » Il y a peut-être aussi une petite part de gène car c’est la première fois que je vis ce genre de soirée et ne voudrait pas paraître impolie en imposant une quelconque suite au déroulement de la soirée. Mais je tente cependant doucement d’attraper sa main qui ne tient pas de verre pour l’entraîner dans ma direction. Très égoïstement je ne serais pas contre l’idée de boire ce délicieux nectar dans ses bras, et profitant du spectacle des flammes qui vacillent dans l’âtre. Je lui souris et dépose un baisé malicieux sur la commissure de ses lèvres, une manière silencieuse de l’invité a me suivre si il veut pouvoir bénéficier de se baisé dans son entièreté.
Arrivé a destination de mon petit jeu, je dépose mon verre sur la table basse, l’invitant a prendre place en premier pour pouvoir simplement venir me glisser contre lui après. Me faisant une place entre son bras et son flanc comme le ferait un chat. C’est un soulagement inexpliqué que de me fondre de nouveau dans ses bras et de venir finalement poser mes lèvres sur les siennes avec tendresse avant de me pencher pour récupérer mon verre. Impossible de garder trop de distance entre nous trop longtemps, ma tête venant naturellement trouvé refuge contre son épaule, alors que je bois une nouvelle gorgée avant de reposer sur son visage mes yeux emplis d’étoiles.
« Tu sais tu peux pas trop leur en vouloir de prendre soin de toi, ils ont de la chance de t’avoir dans leur équipe. Je suis persuadée qu’ils veulent bien faire. Mais si ça devient trop étouffant, n’hésite pas a leur dire tout simplement. » Je passe ma main dans ses doux cheveux sombre, entremêlant mes doigts dans cette masse brune. « Mais je suis assez rassurée de te savoir bien entouré tu sais ? »
Car oui, même si je refuse de trop en parler, ou même de l’admettre. Je suis terrifiée a l’idée de ce qui pourrait l’attendre. Enfin non… A l’idée de ce qui nous attends. « En tout cas encore merci, pour tout. Cette invitation, ce cocktail, ce début de soirée… merci d’être toi en fait, tout simplement. »
Il en est donc de même pour cette rencontre inattendu avec Gadriel. Je fini par parlé de ce moment comme si de rien n’était. J’ai bien entendu parler de ce cousin avant notre rencontre, mamie l’ayant mentionné quelques fois au téléphone. Et si sa présence en ville est hasardeuse et n’a aucun rapport avec un quelconque envie de consolider les liens familiaux, je reste intrigué par l’idée de sa présence. Une part de mon ayant inévitablement envie d’en savoir plus sur cette partie de la famille dont je ne sais rien. Mais, même si j’en ai parlé, je ne pense pas forcément ressentir le besoin de m’épandre sur le sujet. Je n’ai jamais ressentit de manque particulier concernant cette partie de ma famille, peut-être par ce que j’en ignorais jusqu’à l’existence.
Par contre une fois de plus l’attention que me porte Nate de faillit pas, s’intéressant a cette histoire jusqu’à en demander les causes. Je souris d’ailleurs en repensant a cet épisode aux urgences. Un patient des plus… particulier. « Pour les points de suture… on va dire que ça c’est bien passé, même si je ne m’explique pas pourquoi, mais il semble avoir une aversion pour les aiguilles et le domaine hospitalier. Tu sais genre… Comme si il y avait déjà passé trop de temps. » Je suis un peu songeuse a ce sujet mais passe vite a la réponse suivante. « Un accident de la vie quotidienne. Je crois que c’est un placard de cuisine qui a eu raison de son arcade. Six points en tout ! » Je me tourne en direction d’un des meubles qui nous entoure en le pointant du doigts. « De toute évidence, c’est plus féroce que ce qu’on crois ces petites bêtes là ! »
Des frissons me parcourent de part en part quand a son tour il fait référence a notre rencontre. J’ai toujours du mal a comprendre ce qui s’est réellement passé dans ma tête ce matin là, comme si tout était irréel, hors du temps. L’entendre en parler donne une dynamique plus réel a ce souvenir qui a marqué mon existence a jamais. Cependant j’ai du mal à imaginer représenter le rêve de « beaucoup d’hommes ». Celà dit être le sien représente un compliment au dessus de toute communes mesures, et je me met de nouveau a rougir a cette simple idée. Une nuée de papillon semblant vouloir s’échapper de mon estomac a cette instant. Tant pis pour ma pseudo promesse de ne plus le déranger, mais avec des mots pareils il me rends totalement incapable de résister. Je me rapproche de lui et pose doucement ma tête contre son épaule en le regardant terminer nos boissons avec soin. Quand il mentionne mes parents je me redresse et souris, c’est vrai je ne peux pas dire le contraire mes parents son exceptionnelles. Quand a l’idée de cette rencontre je n’y suis évidement pas fermée même si je découvre tout de même cette sensation désagréable qui dit « pitiés qu’elles ne disent pas de bêtises. » Il faut dire que ma mère et son coté excentrique seraient capable de sortir les albums de famille dès la première rencontre, et peut être même de parler de la même chose que la dernières fois… « Euh mes parents… on peut dire que t’as pas peur toi ! » déclarais-je en riant nerveusement pour le coup. « Enfin, si t’as pas peur d’un accueil digne de ceux réservé a un saint pour être le premier a franchir les portes de leur maison sous l’étiquette de potentiel gendre, que tu craint pas l’excentricité de ma mère et la possible mise a jour de TOUS mes souvenirs d’enfance potentiellement gênant, et que tu n’as pas peur non plus qu’on te parle de mariage et/ou de potentiel petits-enfants au bout de dix minutes, alors oui tu pourrais les rencontrer ! » A vrai dire elles n’ont pas encore entendu parlé de Nate, souhaitant gardé ce bonheur rien que pour moi. Une manière égoïste de découvrir ces sensations sans leur laissé la possibilité de donner leur avis. Mais dans le cas ou c’est lui qui en parle, les choses deviennent évidement plus logiques, et officielle aux yeux du monde. « Mais attention… hors de question que le fait de les rencontrer ne fasse changer ce regard adorable que tu pose sur moi hein ! » Je joins a ces mots une petite moue attendrissante.
On en vient alors a sa semaine, son travail. Et j’avoue que sa réponse correspond a l’identique a ce que j’avais imaginé. Son malaise a eu lieu au travail, et je ne doute pas que ses collègues aient eu vent du service dans lequel il a été transféré après les urgences. Je retiens une petite grimace de désapprobation. Moi aussi je peux comprendre cette réaction, moi aussi je voudrais lui dire de se reposer, de me laisser faire. Mais je sais au fond de moi que ce n’est pas une solution, pas une manière de faire. On empêche pas les gens de vivre pour les protéger, ça ne fonctionne pas comme ça. Alors j’ai choisi de vivre cette histoire comme si de rien n’était, en lui faisant entièrement confiance. J’ai espoir que de cette manière, il n’hésite pas a se confier a moi concernant l’avancé de son ressentit vis a vis de cette saloperie de cancer. Sans me laisser le temps d’ajouter quoi que ce soit il place un verre devant moi et je reste stupéfaite devant sa magnifique couleur laissant apparaître un dégradé de couleurs bleues violines.
« A nous.. » Luis répondis-je avec un sourire pétillant, tellement ces deux simple mots me rappellent a quel point j’ai de la chance de partager ce moment avec lui. Puis je porte le verre a mes lèvres tout en laissant échappé un « mmmmh » de plaisir. « Nathaniel Carter… Il faut que tu arrêtes, si tout ce que tu as fait ce soir et aussi parfait, je vais refuser de passer une soirée de plus hors de cet appartement tu en es bien conscient j’espère ! » J’essaie de faire comme si je le disputais, chose totalement sans crédibilité quand on lit dans mes yeux toute l’admiration que je lui porte. Admiration le mot est faible, appelons un chat un chat, il s’agit purement et simplement d’amour.
Je repense évidement un instant a l’attitude de ses collègues, et hésite donc a lui proposer d’aller s’asseoir, bien que dans ces conditions j’espère simplement en vérité pouvoir passé un moment plus confortable en sa compagnie. Mais finalement je me dit que ne rien dire de cette manière serait un comportement proche du leur alors… « Si tu as fini en cuisine, on pourrait peut-être aller profité du feu dans la cheminée ? » Il y a peut-être aussi une petite part de gène car c’est la première fois que je vis ce genre de soirée et ne voudrait pas paraître impolie en imposant une quelconque suite au déroulement de la soirée. Mais je tente cependant doucement d’attraper sa main qui ne tient pas de verre pour l’entraîner dans ma direction. Très égoïstement je ne serais pas contre l’idée de boire ce délicieux nectar dans ses bras, et profitant du spectacle des flammes qui vacillent dans l’âtre. Je lui souris et dépose un baisé malicieux sur la commissure de ses lèvres, une manière silencieuse de l’invité a me suivre si il veut pouvoir bénéficier de se baisé dans son entièreté.
Arrivé a destination de mon petit jeu, je dépose mon verre sur la table basse, l’invitant a prendre place en premier pour pouvoir simplement venir me glisser contre lui après. Me faisant une place entre son bras et son flanc comme le ferait un chat. C’est un soulagement inexpliqué que de me fondre de nouveau dans ses bras et de venir finalement poser mes lèvres sur les siennes avec tendresse avant de me pencher pour récupérer mon verre. Impossible de garder trop de distance entre nous trop longtemps, ma tête venant naturellement trouvé refuge contre son épaule, alors que je bois une nouvelle gorgée avant de reposer sur son visage mes yeux emplis d’étoiles.
« Tu sais tu peux pas trop leur en vouloir de prendre soin de toi, ils ont de la chance de t’avoir dans leur équipe. Je suis persuadée qu’ils veulent bien faire. Mais si ça devient trop étouffant, n’hésite pas a leur dire tout simplement. » Je passe ma main dans ses doux cheveux sombre, entremêlant mes doigts dans cette masse brune. « Mais je suis assez rassurée de te savoir bien entouré tu sais ? »
Car oui, même si je refuse de trop en parler, ou même de l’admettre. Je suis terrifiée a l’idée de ce qui pourrait l’attendre. Enfin non… A l’idée de ce qui nous attends. « En tout cas encore merci, pour tout. Cette invitation, ce cocktail, ce début de soirée… merci d’être toi en fait, tout simplement. »
Nathaniel Carter
where do we go now ?
Pseudo : Pumpkin
Faceclaim : Logan Lerman
Présence : Présent.e
Âge : 29 ans
Statut civil : Célibataire
Métier : Éducateur spécialisé
Warnings : maladie + drogue
Messages : 85
Je l’écoute attentivement me parler de Gabriel et plus les mots fusent de sa bouche, plus je me sens rassuré. Il semble simplement maladroit mais …Je vais quand même garder l’œil ouvert, au cas où. Cependant, en l’entendant me parler de sa crainte pour les aiguilles, l’hypothèse qu’elle pose fait du sens. Je n’ai pas encore passé beaucoup de temps à l’hôpital… mais disons que si je dois me taper la chimio pendant plus d’un an, je crois que je vais développer ce genre d’aversion aussi. D’autant plus que j’en ressors toujours pire, on dirait… mais je ne veux pas y penser maintenant. Je sais que mon prochain traitement est dans deux jours et je n’ai pas envie de miner mon humeur, pour l’instant.
Je souris donc et dit, sur un ton amusé « Il me semble bien maladroit, ton cousin! Ne serait-ce pas de famille, peut-être…? en souriant en coin. Je la vois bien être plutôt maladroite …et je sens que mes réflexes seront très pratiques pour la rattraper à toute vitesse, par moment. Ça me fait sourire car ce sont des petits détails comme ça qui me font réaliser à quel point je serais prêt à tout pour elle. Si je la voyais tomber en bas des escaliers, je sais que je serais du genre à la rattraper ou à me jeter au sol en guise de coussin pour que la chute soit moins grave pour elle. Miah est devenue, en quelques jours seulement, la personne la plus importante dans ma vie, sans conteste.
Lorsque je la sens se coller contre moi, un sourire vient à nouveau s’afficher sur mon visage et je lui prends doucement la main en déposant un tendre baiser sur celle-ci. Un rire traverse mes lèvres à l’écoute de ses paroles et je dis alors Tu crois que j’ai peur de tout ça? Non, au contraire! Ça me donne encore plus envie de les rencontrer! Elles ont l’air d’être géniales! avant de lui donner un doux baiser et d’ajouter Rien ni personne ne pourrait changer le regard que je porte sur toi, Miah…Rien ni personne …D’accord? puis je caresse tendrement sa joue de mon pouce en collant mon front tout contre le sien pour un moment rempli de douceurs.
Après lui avoir parlé de ma semaine, je sens qu’elle a envie de se ranger du côté de mes collègues …et je la comprends un peu. Je sais qu’ils ont raison! Ce n’est pas le problème! Mais je me connais …Je vais vouloir me pousser à bout jusqu’à ce que mon corps lâche …mais pas avant. Je refuse de laisser la maladie dicter ma vie, c’est tout! Nous finissons par trinquer et ses paroles viennent me décrocher un nouveau rire « Aaaaah… mais c’est peut-être mon but aussi, tu en penses quoi…? » dis-je en haussant un sourcil, léger sourire en coin. En vrai, j’aimerais beaucoup qu’elle reste ici pour toujours. Bon, je nous vois éventuellement déménager dans plus grand …Une belle maison avec des volets aux fenêtres, un grand balcon qui fait le tour complet de la maison… Un grand arbre dans l’entrée où je pourrais installer une balançoire afin que nos futurs enfants puissent s’y balancer … Je nous vois avoir cette vie, un jour …J’espère qu’elle aussi…
À sa demande, nous allons nous poser devant le feu et je l’accueil volontiers dans mes bras. Nos lèvres viennent se retrouver enfin pour un long et tendre baiser qui s’écourte un peu trop vite à mon goût lorsqu’elle se penche pour reprendre une gorgée de son cocktail. Je sens encore mon coeur battre rapidement dans ma poitrine dû au baiser, lorsqu’elle reprend parole. Baissant mes yeux, je ne sais pas pourquoi mais je sens une chaleur monter le long de ma colonne vertébrale. Peut-être la honte de savoir qu’elle s’inquiète pour moi…? Je me sens devenir légèrement étourdi et je hoche non, comme pour garder une constance. Je dis alors « Hey… non tu …Tu n’as pas à t’inquiéter, okay…? Tout va bien …J’ai des bons collègues… puis relève mon regard vers elle afin de lui sourire pour la rassurer.
Lorsque mon cœur ne se calme pas, je sais que quelque chose cloche. J’avale et me replace un peu mieux sans toutefois trop bouger pour ne pas qu’elle se décolle de moi et je l’écoute me remercier. Je hoche à nouveau oui puis lui caresse doucement le bras « Ça me fait plaisir, Miah … et ce n’est pas tout …Le repas principal est dans le four il… Je vais juste devoir le partir bientôt… puis sourit à nouveau mais au même moment, je sens la grande fatigue venir s’emparer de moi et je n’ai d’autre choix de que déposer ma tête contre le dossier du divan en fermant mes yeux. Merde, j’ai si honte! J'espère qu’elle ne va pas s’en apercevoir… que ça va passer! Non, ça va passer. Je suis juste fatigué! Mais je dois dire quelque chose sinon elle va s’inquiéter … alors j’ajoute Ouf… Je suis si bien comme ça près du feu avec toi…C’est agréable, non…? mais comment passer sous silence le fait que je dégage soudainement presque plus de chaleur que le feu lui-même ça… J’en sais rien!
Je souris donc et dit, sur un ton amusé « Il me semble bien maladroit, ton cousin! Ne serait-ce pas de famille, peut-être…? en souriant en coin. Je la vois bien être plutôt maladroite …et je sens que mes réflexes seront très pratiques pour la rattraper à toute vitesse, par moment. Ça me fait sourire car ce sont des petits détails comme ça qui me font réaliser à quel point je serais prêt à tout pour elle. Si je la voyais tomber en bas des escaliers, je sais que je serais du genre à la rattraper ou à me jeter au sol en guise de coussin pour que la chute soit moins grave pour elle. Miah est devenue, en quelques jours seulement, la personne la plus importante dans ma vie, sans conteste.
Lorsque je la sens se coller contre moi, un sourire vient à nouveau s’afficher sur mon visage et je lui prends doucement la main en déposant un tendre baiser sur celle-ci. Un rire traverse mes lèvres à l’écoute de ses paroles et je dis alors Tu crois que j’ai peur de tout ça? Non, au contraire! Ça me donne encore plus envie de les rencontrer! Elles ont l’air d’être géniales! avant de lui donner un doux baiser et d’ajouter Rien ni personne ne pourrait changer le regard que je porte sur toi, Miah…Rien ni personne …D’accord? puis je caresse tendrement sa joue de mon pouce en collant mon front tout contre le sien pour un moment rempli de douceurs.
Après lui avoir parlé de ma semaine, je sens qu’elle a envie de se ranger du côté de mes collègues …et je la comprends un peu. Je sais qu’ils ont raison! Ce n’est pas le problème! Mais je me connais …Je vais vouloir me pousser à bout jusqu’à ce que mon corps lâche …mais pas avant. Je refuse de laisser la maladie dicter ma vie, c’est tout! Nous finissons par trinquer et ses paroles viennent me décrocher un nouveau rire « Aaaaah… mais c’est peut-être mon but aussi, tu en penses quoi…? » dis-je en haussant un sourcil, léger sourire en coin. En vrai, j’aimerais beaucoup qu’elle reste ici pour toujours. Bon, je nous vois éventuellement déménager dans plus grand …Une belle maison avec des volets aux fenêtres, un grand balcon qui fait le tour complet de la maison… Un grand arbre dans l’entrée où je pourrais installer une balançoire afin que nos futurs enfants puissent s’y balancer … Je nous vois avoir cette vie, un jour …J’espère qu’elle aussi…
À sa demande, nous allons nous poser devant le feu et je l’accueil volontiers dans mes bras. Nos lèvres viennent se retrouver enfin pour un long et tendre baiser qui s’écourte un peu trop vite à mon goût lorsqu’elle se penche pour reprendre une gorgée de son cocktail. Je sens encore mon coeur battre rapidement dans ma poitrine dû au baiser, lorsqu’elle reprend parole. Baissant mes yeux, je ne sais pas pourquoi mais je sens une chaleur monter le long de ma colonne vertébrale. Peut-être la honte de savoir qu’elle s’inquiète pour moi…? Je me sens devenir légèrement étourdi et je hoche non, comme pour garder une constance. Je dis alors « Hey… non tu …Tu n’as pas à t’inquiéter, okay…? Tout va bien …J’ai des bons collègues… puis relève mon regard vers elle afin de lui sourire pour la rassurer.
Lorsque mon cœur ne se calme pas, je sais que quelque chose cloche. J’avale et me replace un peu mieux sans toutefois trop bouger pour ne pas qu’elle se décolle de moi et je l’écoute me remercier. Je hoche à nouveau oui puis lui caresse doucement le bras « Ça me fait plaisir, Miah … et ce n’est pas tout …Le repas principal est dans le four il… Je vais juste devoir le partir bientôt… puis sourit à nouveau mais au même moment, je sens la grande fatigue venir s’emparer de moi et je n’ai d’autre choix de que déposer ma tête contre le dossier du divan en fermant mes yeux. Merde, j’ai si honte! J'espère qu’elle ne va pas s’en apercevoir… que ça va passer! Non, ça va passer. Je suis juste fatigué! Mais je dois dire quelque chose sinon elle va s’inquiéter … alors j’ajoute Ouf… Je suis si bien comme ça près du feu avec toi…C’est agréable, non…? mais comment passer sous silence le fait que je dégage soudainement presque plus de chaleur que le feu lui-même ça… J’en sais rien!
Mirah-Jane Lens
membre de la dream team
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Multicomptes : Alyha Jäger / Sohan Law
Présence : Présent.e
Warnings : +
Messages : 62
Je suis tombée amoureuse de lui comme on s'endort, doucement. Puis tout d'un coup.
@Nathaniel Carter @Miah Snows
Il paraît que tous les bons moments ont une fin, que les meilleurs sont les plus courts. Étonnamment ce genre de philosophie ne ma jamais étonnée jusque là. Ça paraissait presque logique même, que les bons moments soient éphémères. Pour autant, il paraît aussi que seuls les imbéciles ne changent pas d’avis. De toute évidence l’arrivée de Nathaniel dans ma vie aura été la cause d’une nouvelle manière de penser. Une nouvelle réflexion, peut être plus égoïste ? Qui me donne l’envie de croire que tout ceci n’est que le début, que demain peut être, cette soirée sera notre quotidien. Demain… Aucuns de nous ne peux réellement savoir de quoi demain sera fait. Et le temps passe tellement vite depuis ce fameux matin dont nous venions de reparler. Alors c’est quoi demain finalement quand les jours passent si vite ? Une bonne raison de profiter de chaque moments.
Des moments comme celui-ci, ou je découvre une partie de son univers, une nouvelle part de lui et de sa vie dont je veux faire partit. Des moments comme celui-ci qui me poussent a être plus attentive a chaque instant pour ne pas en perdre une miette. Son parfums, sa douceur, cette manière que j’ai de trouver une place incroyablement confortable contre lui, comme si cet endroit était fait pour m’accueillir. Alors oui, je le remercie pour tout ça, pour ce nouveau chapitre qui débute a peine. En parfait gentlemen il me rassure, me demande de ne pas m’inquiéter. Une demande vaine j’en ai peur. Pour autant je profite, le laissant se replacer dans le canapé non sans en profiter pour suivre chacun de ses mouvement comme le ferait un chaton. Encore une fois il me parle du repas a venir, me faisant comprendre que je n’ai pas fini de le trouver incroyablement parfait, et pourtant… Dans sa voix, il y a quelque chose qui ne va pas. C’est comme si il était obligé de se concentrer pour répondre. Je mordille la lèvre, honteuse a l’idée qu’il en ai fait autant pour moi. Mais je devine, je comprends… Moi non plus je n’aimerais pas que la terre entière me demande de me ménager. Tout contre lui je ressens son cœur qui bat, le moindre de ses mouvements. Me refusant cependant a quitter son étreinte, au contraire même je tente de glisser mon bras entre le bas de son dos et le canapé pour le serrer contre moi. Je comprends alors assez vite que ce ne sont pas les flammes qui me donnent cette sensation de chaleur.
Alors que je commence a me poser des questions, j’entends de nouveau sa douce voix. Il émet une incroyable vérité. Je me sens incroyablement bien ici a profiter des flammes qui dansent. Cependant je ne suis pas dupe, et je sais, je sens. Mais je ne sais pas, une force intérieur que je ne soupçonnais pas me pousse a vouloir garder mon calme, a me serrer contre lui d’avantage et a répondre sereinement. « On est bien oui… Mieux que nulle part ailleurs même. Mais tu n’as pas besoin de faire semblant avec moi… » Je me serre d’avantage contre lui comme on pourrait le faire contre un ours en peluche géant. Alors oui, j’étais infirmière, et peut être parfois trop conditionnée a poser des diagnostic. Mais je n’ai jamais eu aussi peu envie de cette étiquette. Je souhaite simplement être la pour lui comme le ferait n’importe quelle autre fille pour la personne qu’elle aime. Je laisse passé un soupire silencieux, qui m’aide a gérer la dose d’angoisse qui tente tout de même de prendre le pas sur moi. Je redresse doucement la tête pour venir poser mon nez dans son cou, je garde les yeux fermés. « Tu as le droit, et je serais là tout simplement. Comme maintenant, et toujours. » Je dépose un baisé dans son cou et poussent mes lèvres a s’étirer encore au contact de sa peau. J’ai envie qu’il sache que ça ne change rien. C’est d’ailleurs l’engagement que j’ai pris dès le départ, c’est ce que mon corps tout entier me crie en permanence : ça ne changera jamais rien. Hier aujourd’hui, demain, par ce que j’ai littéralement besoin de faire partit de chaque partie de sa vie. Je redresse finalement la tête pour le regarder, l’observer, l’admirer et viendrait a nouveau jouer avec ces ondulations brunes et en esquissant un sourire. « Et tu es toujours aussi beau! ». Oui il l’était, et s’il avait besoin d’un moment pour lui, alors j’en ferais un moment a nous. Une étincelle décidée vient alors illuminer mon regard. Si la confiance a ce niveau n’était pas inée, alors je lui prouverais simplement qu’il a toutes les raisons de le faire !
Je prends une moue faussement trop réfléchit avant de lui dire : « Tu sais quoi ? Si tu es vraiment prêt a rencontrer ces dames Snows, alors je vais te montrer comment on traite les gens importants chez moi ! » Je me redresse et me faufile a moitié sur ses genoux pour le regarder de face. Je passe une main le long de son visage qui termine sa course dans ses cheveux que j’aime tant. « Déjà ça commence par le fait de prendre soins les uns des autres ! Et si j’en crois les exemples que j’ai eu, je suis également en droit de te forcer a rester tranquillement sur ce canapé si je le souhaite ! Tu sais dans le genre dictature bienveillante ! » Je laisse paraître un demi-rire. Alors oui je suis morte d’inquiétude, mais je sais mieux que personne que paniquer ne servirait a rien. Alors je tente une nouvelle méthode, qui consiste a croire que rendre le moment léger et doux aiderait a apaiser les choses. « Mais je ne suis pas du genre a jouer la dictatrice. Par contre je peux aussi prétendre que ton petit filtre d’amour fonctionne... » Je fait un petit signe de tête en direction du verre que j’ai posé et rougit légèrement en comprenant que c’est bien le terme amour clairement pour la première fois. Une action des plus révélatrice il en va de soit. « Et que je me prépare à faire tout simplement comme chez moi ? » Je passe alors les deux bras autour de son cou et vient déposer un baisé sur ses lèvres, un baisé initialement pensé pour être furtif et doux. Mais il semblerait qu’au dernier moment mon corps ai décidé d’en faire autrement, souhaitant lui faire ressentir toute la tendresse et toute l’affection que je lui porte. « Alors on a plusieurs options, la première étant que j’aille m’occuper de sortir ce plat du four, et qu’on prenne tout notre temps ensuite. La seconde consiste a attendre et prendre un peu de temps pour toi si jamais tu insiste. Je veux pas devenir étouffante, jamais. Mais sérieusement, ça va aller ? »
Des moments comme celui-ci, ou je découvre une partie de son univers, une nouvelle part de lui et de sa vie dont je veux faire partit. Des moments comme celui-ci qui me poussent a être plus attentive a chaque instant pour ne pas en perdre une miette. Son parfums, sa douceur, cette manière que j’ai de trouver une place incroyablement confortable contre lui, comme si cet endroit était fait pour m’accueillir. Alors oui, je le remercie pour tout ça, pour ce nouveau chapitre qui débute a peine. En parfait gentlemen il me rassure, me demande de ne pas m’inquiéter. Une demande vaine j’en ai peur. Pour autant je profite, le laissant se replacer dans le canapé non sans en profiter pour suivre chacun de ses mouvement comme le ferait un chaton. Encore une fois il me parle du repas a venir, me faisant comprendre que je n’ai pas fini de le trouver incroyablement parfait, et pourtant… Dans sa voix, il y a quelque chose qui ne va pas. C’est comme si il était obligé de se concentrer pour répondre. Je mordille la lèvre, honteuse a l’idée qu’il en ai fait autant pour moi. Mais je devine, je comprends… Moi non plus je n’aimerais pas que la terre entière me demande de me ménager. Tout contre lui je ressens son cœur qui bat, le moindre de ses mouvements. Me refusant cependant a quitter son étreinte, au contraire même je tente de glisser mon bras entre le bas de son dos et le canapé pour le serrer contre moi. Je comprends alors assez vite que ce ne sont pas les flammes qui me donnent cette sensation de chaleur.
Alors que je commence a me poser des questions, j’entends de nouveau sa douce voix. Il émet une incroyable vérité. Je me sens incroyablement bien ici a profiter des flammes qui dansent. Cependant je ne suis pas dupe, et je sais, je sens. Mais je ne sais pas, une force intérieur que je ne soupçonnais pas me pousse a vouloir garder mon calme, a me serrer contre lui d’avantage et a répondre sereinement. « On est bien oui… Mieux que nulle part ailleurs même. Mais tu n’as pas besoin de faire semblant avec moi… » Je me serre d’avantage contre lui comme on pourrait le faire contre un ours en peluche géant. Alors oui, j’étais infirmière, et peut être parfois trop conditionnée a poser des diagnostic. Mais je n’ai jamais eu aussi peu envie de cette étiquette. Je souhaite simplement être la pour lui comme le ferait n’importe quelle autre fille pour la personne qu’elle aime. Je laisse passé un soupire silencieux, qui m’aide a gérer la dose d’angoisse qui tente tout de même de prendre le pas sur moi. Je redresse doucement la tête pour venir poser mon nez dans son cou, je garde les yeux fermés. « Tu as le droit, et je serais là tout simplement. Comme maintenant, et toujours. » Je dépose un baisé dans son cou et poussent mes lèvres a s’étirer encore au contact de sa peau. J’ai envie qu’il sache que ça ne change rien. C’est d’ailleurs l’engagement que j’ai pris dès le départ, c’est ce que mon corps tout entier me crie en permanence : ça ne changera jamais rien. Hier aujourd’hui, demain, par ce que j’ai littéralement besoin de faire partit de chaque partie de sa vie. Je redresse finalement la tête pour le regarder, l’observer, l’admirer et viendrait a nouveau jouer avec ces ondulations brunes et en esquissant un sourire. « Et tu es toujours aussi beau! ». Oui il l’était, et s’il avait besoin d’un moment pour lui, alors j’en ferais un moment a nous. Une étincelle décidée vient alors illuminer mon regard. Si la confiance a ce niveau n’était pas inée, alors je lui prouverais simplement qu’il a toutes les raisons de le faire !
Je prends une moue faussement trop réfléchit avant de lui dire : « Tu sais quoi ? Si tu es vraiment prêt a rencontrer ces dames Snows, alors je vais te montrer comment on traite les gens importants chez moi ! » Je me redresse et me faufile a moitié sur ses genoux pour le regarder de face. Je passe une main le long de son visage qui termine sa course dans ses cheveux que j’aime tant. « Déjà ça commence par le fait de prendre soins les uns des autres ! Et si j’en crois les exemples que j’ai eu, je suis également en droit de te forcer a rester tranquillement sur ce canapé si je le souhaite ! Tu sais dans le genre dictature bienveillante ! » Je laisse paraître un demi-rire. Alors oui je suis morte d’inquiétude, mais je sais mieux que personne que paniquer ne servirait a rien. Alors je tente une nouvelle méthode, qui consiste a croire que rendre le moment léger et doux aiderait a apaiser les choses. « Mais je ne suis pas du genre a jouer la dictatrice. Par contre je peux aussi prétendre que ton petit filtre d’amour fonctionne... » Je fait un petit signe de tête en direction du verre que j’ai posé et rougit légèrement en comprenant que c’est bien le terme amour clairement pour la première fois. Une action des plus révélatrice il en va de soit. « Et que je me prépare à faire tout simplement comme chez moi ? » Je passe alors les deux bras autour de son cou et vient déposer un baisé sur ses lèvres, un baisé initialement pensé pour être furtif et doux. Mais il semblerait qu’au dernier moment mon corps ai décidé d’en faire autrement, souhaitant lui faire ressentir toute la tendresse et toute l’affection que je lui porte. « Alors on a plusieurs options, la première étant que j’aille m’occuper de sortir ce plat du four, et qu’on prenne tout notre temps ensuite. La seconde consiste a attendre et prendre un peu de temps pour toi si jamais tu insiste. Je veux pas devenir étouffante, jamais. Mais sérieusement, ça va aller ? »
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