La routine du samedi matin (Andy)
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Scott Matthews
where do we go now ?
Fiche de présentation : https://alldelightedpeople.forumactif.com/t1768-scott-le-frere-bien-aime#16887
Pseudo : Vania
Faceclaim : Andrew Garfield - Moi-même
Présence : Présent.e
Âge : 40 ans
Statut civil : Célibataire
Métier : Sergent de police
Habitation : Somesville
Triggers : Cancer, AVC, Rupture d'anévrisme, accident de voiture, accident avec des enfants et vermiphobie
Warnings : Meurtre de la mère
Rp : J'écris à la troisième personne. Je m'adapte à mon partenaire.
Messages : 144
Le samedi matin, Scott avait sa petite routine. Il se levait entre huit et neuf heures, sans se mettre de pression. Il prenait son temps pour se préparer avant d’aller faire son sport de la semaine. Cela lui permettait d’oublier le stress de la semaine, vider les tensions de ses muscles. Il rentrait ensuite prendre une bonne douche chaude avec son savon à l’huile de coco. Il adorait cette odeur.
Ensuite, il se rendait dans le tea room de sa sœur. C’était sa manière de participer à la prospérité de son commerce. Mais ce n’était qu’une des excuses pour s’y présenter. Il y avait d’autres raisons pour cette routine : ce n’était pas loin de chez lui et il n’avait pas besoin de se prendre la tête pour se préparer le petit-déjeuner. Et la principale : il voyait sa sœur !
Faut-il rappeler à quel point elle est la prunelle de ses yeux. Parfois, il la traite comme une enfant et il sait qu’il ne devrait pas. Elle est devenue une femme accomplie et merveilleuse. Il est d’ailleurs très fier d’elle, mais elle sera toujours la petite sœur, celle qu’il a toujours promis de protéger.
Il entre dans le bâtiment et sourit en entendant sonner la clochette signalant un visiteur. Il pourrait passer par l’entrée des fournisseurs, mais il préférait de loin passer par la porte principale. Cela avait quelque chose de réjouissant d’entendre ce tintement un peu cristallin.
- Bonjour petite sœur ! Je viens t’embêter comme tous les samedis matin !
Il aimait ce genre de routine avec elle. Si elle avait le temps, il discuterait avec elle de tout et de rien. Si elle voulait confier ses amours ou bien ses nouvelles amitiés, il était preneur. Il voulait toujours tout savoir d’elle. Il ne la jugeait pas, il l’écoutait. Il est toujours attentif pour leur discussion. Il laisse son téléphone dans sa poche et passe s'il sonne, il ne répond pas, il n'est pas disponible.
Ensuite, il se rendait dans le tea room de sa sœur. C’était sa manière de participer à la prospérité de son commerce. Mais ce n’était qu’une des excuses pour s’y présenter. Il y avait d’autres raisons pour cette routine : ce n’était pas loin de chez lui et il n’avait pas besoin de se prendre la tête pour se préparer le petit-déjeuner. Et la principale : il voyait sa sœur !
Faut-il rappeler à quel point elle est la prunelle de ses yeux. Parfois, il la traite comme une enfant et il sait qu’il ne devrait pas. Elle est devenue une femme accomplie et merveilleuse. Il est d’ailleurs très fier d’elle, mais elle sera toujours la petite sœur, celle qu’il a toujours promis de protéger.
Il entre dans le bâtiment et sourit en entendant sonner la clochette signalant un visiteur. Il pourrait passer par l’entrée des fournisseurs, mais il préférait de loin passer par la porte principale. Cela avait quelque chose de réjouissant d’entendre ce tintement un peu cristallin.
- Bonjour petite sœur ! Je viens t’embêter comme tous les samedis matin !
Il aimait ce genre de routine avec elle. Si elle avait le temps, il discuterait avec elle de tout et de rien. Si elle voulait confier ses amours ou bien ses nouvelles amitiés, il était preneur. Il voulait toujours tout savoir d’elle. Il ne la jugeait pas, il l’écoutait. Il est toujours attentif pour leur discussion. Il laisse son téléphone dans sa poche et passe s'il sonne, il ne répond pas, il n'est pas disponible.
Andy Matthews
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Pseudo : Meg (elle)
Faceclaim : Taylor Swift (by SMMG)
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Habitation : habite dans un petit appartement à Somesville
Warnings : Décès de sa maman
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La routine du samedi matin
Scott & Andy
Quasiment tous les jours, Andy se trouvait à la boutique. Le Dream and Eat, c'était son bébé, la prunelle de ses yeux. Elle avait tellement bossé dur pour accomplir son rêve, le rêve de sa mère, qu'elle ne pouvait qu'être fière de ce qu'elle avait accompli. Les affaires marchaient bien pour elle, elle s'épanouissait dans son travail. Si bien qu'elle avait même pu engagé son premier employé : Aimery. Un jeune homme qui avait vingt-cinq ans et qui bossait avec elle depuis peu en tant que barista. Elle était contente de l'avoir trouvé. Non seulement il travaillait bien, mais il apportait en plus sa petite touche personnel au café. Ses idées étaient bonnes et ils matchaient bien ensemble de ce côté-là. Il savait lui apporter les idées novatrices dont elle pouvait avoir besoin. Que demander de plus ?
Comme chaque samedi, Andy était présente dès l'ouverture du coffe shop, Aimery la rejoignant un peu plus tard dans la journée. Et comme chaque samedi, son frère venait la voir à la boutique. C'était devenu comme un rituel, une petite tradition en plus comme ils les aimaient tant dans la famille. Andy avait toujours été très proche de son grand frère et ce, même avec les années qui les séparaient. Elle était toujours ravie de l'accueillir, lui qui l'avait tant soutenu. Il l'avait énormément aidé dans les travaux du shop, tout comme son père. Elle leur devait beaucoup ..
« Coucou toi ! J'suis tellement contente de te voir ! Comment vas-tu ? »
Lui avoua-t-elle en venant le prendre dans ses bras, un grand sourire à ses lèvres. Son frère comptait énormément à ses yeux. Chez les Matthews, la famille était une chose des plus sacrées.
« Je te sers la même chose que d'habitude ? »
Demanda la demoiselle en lui montrant sa table habituelle. Pourquoi diable changer la routine ? Mais dans le doute, elle lui apporta quand même la carte. Aimery avait rajouté deux trois choses niveau café dessus. Peut-être qu'il voudrait se laisser tenter par une nouveauté. Côté cupcake, il avait toujours l'embarras du choix. A cette heure-ci, la vitrine était remplie de douceurs à son maximum.
Starseed
Scott Matthews
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Il serra sa sœur dans ses bras en retour, lui rendant son câlin. Elle était tout pour lui. C’était son monde, la chose la plus importante qu’il avait. Depuis sa naissance, il avait veillé sur elle et il le ferait encore jusqu’à sa mort. Ils appréciaient autant l’un que l’autre ce samedi matin. Ce petit passage qui n’appartenait qu’à eux ou presque. Ce moment où il y avait peu de clients, voire parfois aucun. Cet instant où elle pouvait s’asseoir à sa table et discuter de tout et rien. Il n’allait pas jusqu’à dire qu’il appréciait plus que chacun des autres moments avec elle. Tous ces instants avec elle étaient uniques : du repas de famille à ce rituel du samedi matin.
– Moi aussi, je suis ravi de te revoir. Je vais bien, la semaine a été plutôt bonne et je n’ai perdu aucune affaire, donc je suis ravi. Et toi, dis-moi ? Comment vas-tu ? Qu’as-tu à me raconter ? Tu as l’air radieuse, en tout cas.
Il se dirigea vers sa table par automatisme, elle faisait probablement de même en l’y accompagnant. Elle lui tendit la carte et lui demanda s’il prenait la même chose que d’habitude. Cela le faisait toujours. Il la regardait à peine, sauf si elle lui indiquait qu’il y avait une nouveauté à goûter absolument. Elle connaissait ses goûts, heureusement ! Tout comme lui, connaissaient les siens.
Il regarda quand même brièvement la carte et vit qu’il y avait deux ou trois nouveautés en ce qui concernait les cafés. Il se laisserait bien tenter par une des nouveautés. Mais il allait tout de même choisir son cupcake préféré. Il lui sourit en reposant la carte, il allait quand même lui demander son avis concernant les nouveautés. Elle pourrait lui dire ce qui lui correspondrait le mieux.
– Pour la douceur sucrée, oui, comme d’habitude. Je vois que tu as ajouté quelques nouveautés dans les boissons. J’écoute tes suggestions, il faudra que tu m’expliques d’où viennent ces nouvelles idées !
Il était curieux d’en savoir plus sur ses nouveautés. L’idée de goûter à quelque chose de nouveau était attrayante. Il aimait bien quand elle adaptait sa carte, un peu de changement de temps en temps n’avait rien de mal. Surtout si on parle de nourriture et de boisson.
– Moi aussi, je suis ravi de te revoir. Je vais bien, la semaine a été plutôt bonne et je n’ai perdu aucune affaire, donc je suis ravi. Et toi, dis-moi ? Comment vas-tu ? Qu’as-tu à me raconter ? Tu as l’air radieuse, en tout cas.
Il se dirigea vers sa table par automatisme, elle faisait probablement de même en l’y accompagnant. Elle lui tendit la carte et lui demanda s’il prenait la même chose que d’habitude. Cela le faisait toujours. Il la regardait à peine, sauf si elle lui indiquait qu’il y avait une nouveauté à goûter absolument. Elle connaissait ses goûts, heureusement ! Tout comme lui, connaissaient les siens.
Il regarda quand même brièvement la carte et vit qu’il y avait deux ou trois nouveautés en ce qui concernait les cafés. Il se laisserait bien tenter par une des nouveautés. Mais il allait tout de même choisir son cupcake préféré. Il lui sourit en reposant la carte, il allait quand même lui demander son avis concernant les nouveautés. Elle pourrait lui dire ce qui lui correspondrait le mieux.
– Pour la douceur sucrée, oui, comme d’habitude. Je vois que tu as ajouté quelques nouveautés dans les boissons. J’écoute tes suggestions, il faudra que tu m’expliques d’où viennent ces nouvelles idées !
Il était curieux d’en savoir plus sur ses nouveautés. L’idée de goûter à quelque chose de nouveau était attrayante. Il aimait bien quand elle adaptait sa carte, un peu de changement de temps en temps n’avait rien de mal. Surtout si on parle de nourriture et de boisson.
Andy Matthews
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La routine du samedi matin
Scott & Andy
Voir son frère était toujours un réel plaisir. Andy était très portée sur sa famille, depuis toujours d'ailleurs. Elle avait eu la chance d'avoir été entourée d'avoir et ce, depuis sa plus tendre enfance. Bien qu'une ombre ait noirci le tableau familial en emportant la mère de famille, les trois personnes restantes avaient su faire front de cette tragédie. Ils étaient plus unis que jamais. Le fait d'être venu à Bar Harbor avait aussi en quelque sorte réagrandi la famille. Sa cousine Miah vivait dans cette ville, et elle avait été d'un grand soutien pour Andy. Elle l'avait grandement aidé à surmonter cette épreuve. Mais son frère, c'était plus qu'un simple frère. C'était son pilier, une part intégrale d'elle-même. Elle avait toujours pu compter sur lui et elle savait pertinemment que ce serait toujours le cas. Pour eux, il n'y avait rien de plus sacré. Alors le voir dans son coffee shop tous les samedis matins lui faisaient absolument plaisir. Cette petite routine lui faisait du bien et la rendait d'autant plus joyeuse.
« Je vais très bien, merci ! Et je suis super contente pour toi que tout se passe bien ! Tu sais à quel point je suis fière de toi .. »
Lui dit-elle avec un grand sourire en lui apportant la carte et en l'installant à sa table habituelle. Avec l'été qui était arrivée, Andy avait augmenté la carte des boissons avec une gamme de smoothies hautement sympathiques. Même si elle attendait l'automne avec impatience pour y rajouter des boissons à la citrouille, elle avait quand même laissé Aimery la surprendre avec quelques nouveautés dont une qui l'avait agréablement surprise.
« En ce moment, on a un Cappuccino rose, il y a un peu de jus de betterave dedans, ce qui donne la couleur rosée. Le goût est vraiment cool, le côté vanillé de la boisson ressort bien et ça se marie bien avec un lait de soja. On a aussi un café avec une touche de vanille et de lavande dedans. Et mon préféré c'est le Golden latte, il y a une touche de curcuma à l'intérieur. Ça relève pas mal la boisson mais c'est vraiment bon. Aimery a de bonnes idées, j'suis super contente de l'avoir ici. »
Avoua-t-elle en souriant toujours. Elle se disait tous les jours qu'elle avait bien fait de l'embaucher et qu'ils formaient un bon duo au travail. Tous deux se complétaient parfaitement d'un point de vue professionnel. Le temps que Scott se décide, la jeune femme allait lui chercher un cupcake qu'elle posa dans une petite assiette avec une petite cuillère avant de tout disposer devant lui sur la table.
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Scott Matthews
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Scott ne pouvait dire à quel point sa sœur était importante et une part de lui. Il n’irait pas jusqu’à dire qu’il avait fait son éducation à la mort de leur mère. Il devait bien avouer qu’il avait été le plus présent possible, tentant de combler les absences de leur père. Oh, qu’on ne se méprenne pas, il était régulièrement là, mais être parent célibataire n’est jamais simple. Scott était majeur quand le drame est arrivé. Il était donc suffisamment responsable pour prendre soin de sa sœur quand cela était nécessaire. Pour lui, cela n'avait jamais été une corvée, comme certains grands frères ou grandes sœurs avaient pu le vivre. Il avait toujours trouvé qu’Andy était une enfant facile et adorable, même dans ses pires moments.
Il sourit alors qu’elle déclarait qu’elle était contente pour lui et fière. Il posa sa main sur son épaule à défaut d’avoir l’occasion de lui faire un baiser sur le front. Une marque d’affection tendre qu’il avait tendance à faire lorsqu’il lui était possible. Ce geste qu’il lui avait toujours réservé, rien qu’à elle.
– Merci ! Mais je suis certain d’être encore plus fier de toi ! Regarde ce que tu as accompli ! Tu as ton propre commerce ! Même si j’ai bien évolué dans mon travail, je n’irai pas jusqu’à me mettre à mon compte. Trop de paperasse pour moi.
Il eut un petit rire, il avait déjà l’impression de devoir se justifier un peu trop dans ce qu’il faisait. Il n’imaginait pas créer une agence de détective. Il aurait probablement toutes les femmes suspicieuses, les paranoïaques qui imaginaient que leur mari les trompait, ceux qui verraient des complots partout, les exclus de la police… Bien sûr, il y aurait peut-être dans la masse des cas intéressants et des réalités… Mais combien sur l’ensemble ? Non, il n’imaginait pas changer de fonction. Il aimait la police.
Il l’écouta énoncer ses nouveaux cafés, elle avait l’air heureuse et vraiment bien avec Aimery. Cela lui faisait chaud au cœur de la voir si bien. Ils avaient l’air de former une bonne alchimie. Une part de lui se demanda jusqu’où allait cette alchimie. Il y aurait-il une histoire naissante entre les deux jeunes gens ? Cela lui ferait plaisir que sa sœur trouve l’amour.
– Hé bien, je vais goûter la golden latte, si c’est ton préféré ! Je serais curieux de voir ce que donnent tous ces goûts quand même. Même si cela peut paraître surprenant, je fais confiance à tes papilles pour savoir si c’est buvable. Il faudra que tu m’en dises un peu plus sur Aimery. En tout cas, il a l’air de t’être bénéfique.
Il sourit en voyant son cupcake, il lui donnait toujours faim. Il devait avouer que sa sœur était une excellente cuisinière et surtout pâtissière ! C’était un vrai délice de profiter de ses créations ! Oh, bien sûr, s’il venait ici, ce n’était pas pour manger à l’œil ! Il est évident qu’il payait sa part, comme tout le monde. C’était plutôt quand ils s’invitaient l’un l’autre que cela lui profitait. Ou, si par hasard, elle n’avait que lui comme cobaye pour ses nouveautés. Il ne voulait pas qu’elle s’endette à cause de lui. Il se connaissait, il était suffisamment gourmand pour lui créer un trou dans son financement s’il se laissait aller.
Il sourit alors qu’elle déclarait qu’elle était contente pour lui et fière. Il posa sa main sur son épaule à défaut d’avoir l’occasion de lui faire un baiser sur le front. Une marque d’affection tendre qu’il avait tendance à faire lorsqu’il lui était possible. Ce geste qu’il lui avait toujours réservé, rien qu’à elle.
– Merci ! Mais je suis certain d’être encore plus fier de toi ! Regarde ce que tu as accompli ! Tu as ton propre commerce ! Même si j’ai bien évolué dans mon travail, je n’irai pas jusqu’à me mettre à mon compte. Trop de paperasse pour moi.
Il eut un petit rire, il avait déjà l’impression de devoir se justifier un peu trop dans ce qu’il faisait. Il n’imaginait pas créer une agence de détective. Il aurait probablement toutes les femmes suspicieuses, les paranoïaques qui imaginaient que leur mari les trompait, ceux qui verraient des complots partout, les exclus de la police… Bien sûr, il y aurait peut-être dans la masse des cas intéressants et des réalités… Mais combien sur l’ensemble ? Non, il n’imaginait pas changer de fonction. Il aimait la police.
Il l’écouta énoncer ses nouveaux cafés, elle avait l’air heureuse et vraiment bien avec Aimery. Cela lui faisait chaud au cœur de la voir si bien. Ils avaient l’air de former une bonne alchimie. Une part de lui se demanda jusqu’où allait cette alchimie. Il y aurait-il une histoire naissante entre les deux jeunes gens ? Cela lui ferait plaisir que sa sœur trouve l’amour.
– Hé bien, je vais goûter la golden latte, si c’est ton préféré ! Je serais curieux de voir ce que donnent tous ces goûts quand même. Même si cela peut paraître surprenant, je fais confiance à tes papilles pour savoir si c’est buvable. Il faudra que tu m’en dises un peu plus sur Aimery. En tout cas, il a l’air de t’être bénéfique.
Il sourit en voyant son cupcake, il lui donnait toujours faim. Il devait avouer que sa sœur était une excellente cuisinière et surtout pâtissière ! C’était un vrai délice de profiter de ses créations ! Oh, bien sûr, s’il venait ici, ce n’était pas pour manger à l’œil ! Il est évident qu’il payait sa part, comme tout le monde. C’était plutôt quand ils s’invitaient l’un l’autre que cela lui profitait. Ou, si par hasard, elle n’avait que lui comme cobaye pour ses nouveautés. Il ne voulait pas qu’elle s’endette à cause de lui. Il se connaissait, il était suffisamment gourmand pour lui créer un trou dans son financement s’il se laissait aller.
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Scott & Andy
Les propos de son frère la touchaient. Elle avait travaillé dur pour ouvrir son coffee shop, c'est vrai. Mais elle avait eu la chance d'être hyper bien entourée pour ça. Sa famille l'avait grandement aidé à atteindre son objectif, notamment pour tout ce qui était travaux. Son père et son frère avaient mis la main à la pâte, sacrifiant leurs temps libres par moment pour voler à sa rescousse. Ils étaient comme ça chez les Matthews : chacun aidait son prochain quand il le fallait. C'était dans leur philosophie de vie, et ça leur convenait parfaitement. Et puis, tout coup de main donné était rendu au centuple. Scott savait qu'il pouvait compter sur sa soeur pour lui rendre la pareille en cas de besoin. Certains pouvaient envier cette relation unique entre eux, elle en était consciente. Elle savait ô combien elle avait de la chance d'avoir une famille aimante, unie malgré tout et sur qui elle pouvait compter. Ce n'était pas donné à tous mais elle savait s'en montrer reconnaissante. D'ailleurs, elle arrivait très souvent les mains pleines quand elle leur rendait visite. Ça comptait aussi quand elle se rendait chez sa cousine Miah ou chez sa meilleure amie Appoline. Les amis c'est comme la famille : c'est sacré, on n'y touche pas.
« Tout ça c'est aussi grâce à Papa et toi .. Maman aussi, après tout, elle n'est jamais vraiment loin pour nous soutenir .. Et puis, c'est pour elle si j'ai fait tout ça .. »
Avoua-t-elle avec un petit sourire. Sa mère lui manquait chaque jour, mais elle savait très bien que de là où elle se trouvait, elle pouvait toujours veiller sur eux. Elle avait d'ailleurs mis un portrait d'elle et de sa mère dans la boutique, accroché sur le mur derrière le comptoir. Après tout, cet endroit, elle le lui devait. C'était pour poursuivre son rêve qu'elle l'avait lancé. Elle voulait tellement la rendre fière.
Après lui avoir énuméré les nouveautés, elle se hâta de lui préparer sa boisson pour pouvoir passer un peu de temps avec lui, profitant du calme du coffee shop. Elle restait tout de même à disposition des clients en cas de besoin, prête à les accueillir comme il le fallait où bien à gérer leurs commandes. Elle déposa ensuite sa boisson chaude devant lui.
« Aimery est super oui .. J'aime beaucoup sa créativité et l'air frais qu'il ramène ici .. » Elle marqua une petite pause avant de reprendre en tournant rapidement la tête de gauche à droite. « Tu ne t'imagines rien hein ? Mais genre rien du tout okay ? Parce que sinon ce n'est absoooooolument pas ce que tu peux penser ! C'est purement et simplement professionnel hein ! Enfin, on peut aussi passer des soirées en ville à boire un verre, mais ça s'arrête à des confidences et de l'amitié. T'imagines pas plus que ça okay ? »
Andy se mit à rougir doucement .. Entre Aimery et elle, il n'y avait pas la moindre attirance et tout s'arrêtait là entre eux. Aucun sentiment amoureux qui soit. Elle savait que quelqu'un lui plaisait en plus, elle le voyait dans les regards qu'il échangeait au Dream and Eat, et elle trouvait ça tellement mignon. Andy était donc parfaitement célibataire et libre comme l'air. D'ailleurs, elle avait même installé Tinder sur son portable pour faire quelques rencontres et elle avait eu quelques matchs par-ci par-là.
« Et si on parlait un peu de toi ? Ça donne quoi les rencontres dernièrement ? J'veux tout savoir ! »
Lui demanda-t-elle en prenant place sur la chaise en face de lui, les oreilles grandes ouvertes pour l'écouter attentivement.
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Warnings : Meurtre de la mère
Rp : J'écris à la troisième personne. Je m'adapte à mon partenaire.
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Scott aurait tout fait pour sa famille et ses amis, ce sont des choses qu’il a toujours considérées comme sacrées. Ce sont aussi des valeurs retransmises par les parents. Il savait qu’il pouvait compter sur les siens autant qu’il comptait sur lui. Il était reconnaissant que sa relation de famille était unique, qu’ils avaient fait du drame qui les avait touchés une nouvelle force. C’était ça, la résilience. Et leur père avait bien décidé de faire de leur mieux plutôt que de sombrer. Il n’a pas eu à hésiter à sacrifier ses moments de libre pour aider sa sœur. Il aurait même abandonné des possibles rencontres pour elle. La famille, c’était pour toujours, une rencontre, pas nécessairement. Et si c’était la bonne personne, ils auraient l’occasion de se revoir, soit par hasard, soit parce que l’autre aurait compris. Et, puis si le rendez-vous refusait de comprendre que sa sœur était importante, c’est qu’il ne valait pas la peine. Il n’ignorait pas que certains avaient envié leur relation, mais il pensait que c’était un lien qui se travaillait aussi. Il fallait tendre la main et remercier quand c’était dans l’autre sens. C’était aussi la seule qui pouvait comprendre l’épreuve qu’ils avaient traversée. Peu auraient pu comprendre ce que c’était de perdre sa mère.
Il ne put s’empêcher de sourire alors qu’elle déclarait que leur maman n’était jamais très loin. Elle était loin de l’époque où la jeune fille était enfermée dans sa chambre en pleurant. Il hocha la tête tandis qu'elle déclarait avoir fait tout ça pour elle.
– Quoi que tu fasses, tant que ce n’est pas dans le crime, elle aurait toujours été très fière de toi. Je pense aussi qu’elle n’est jamais loin de nous pour nous soutenir. Chaque fois que j’ai un questionnement qui m’aurait tourné vers elle, je pense à ses conseils. Je crois que papa pense encore beaucoup à elle également. Je crois que c’était la femme de sa vie, son âme-sœur.
Il dut rire alors qu’Andy déclarait qu’il n’y avait rien entre elle et Aimery, à part de l’amitié. Elle voulait être certaine qu’il ne s’imaginait pas des choses. La façon dont elle protestait lui faisait bien comprendre qu’elle n’avait aucune vue sur lui. Elle semblait vraiment être une belle amitié.
– D’accord, d’accord. Je te promets que je n’y penserai pas. Mais incontestablement, sur le plan professionnel, ça matche entre vous. Vous faites une équipe d’enfer. Il y aurait de quoi monter une multinationale.
Elle détourna ensuite la conversation sur ses rencontres. Il haussa les épaules comme pour appuyer ses prochains dires.
– Quelques rencontres par-ci par-là, mais rien de bien sérieux pour l’instant. Je ne trouve pas celui ou celle qui me rend fou. Je ne désespère pas, je ne donne pas de faux espoirs non plus. Mais si l’autre est d’accord pour prendre ce qu’on peut prendre, alors on le fait. Ça arrivera bien un jour, je reste persuadé qu’il y a quelqu’un dans ce monde qui me fera chavirer comme papa avec maman. Même avec vingt ans d’amour, ils semblaient s’aimer comme au premier jour… Je ne veux pas le même amour, mais ce qui me fait cet effet. Cette personne qui me met des étoiles dans les yeux à la prononciation de son prénom, qui me donne envie de mettre le monde à ses pieds… Enfin, tu vois ce que je veux dire ? Et toi ? Tu as fait de belles rencontres ?
Il ne savait pas que quelques jours plus tard, il rencontrerait cette personne. Il n’avait pas perdu espoir, mais je ne cherche plus à chaque coin de rue. Sa sœur et son meilleur ami seraient les premiers au courant. Même si ce dernier n’était plus en ville. Les choses allaient bien vite se mettre en place pour lui.
Il ne put s’empêcher de sourire alors qu’elle déclarait que leur maman n’était jamais très loin. Elle était loin de l’époque où la jeune fille était enfermée dans sa chambre en pleurant. Il hocha la tête tandis qu'elle déclarait avoir fait tout ça pour elle.
– Quoi que tu fasses, tant que ce n’est pas dans le crime, elle aurait toujours été très fière de toi. Je pense aussi qu’elle n’est jamais loin de nous pour nous soutenir. Chaque fois que j’ai un questionnement qui m’aurait tourné vers elle, je pense à ses conseils. Je crois que papa pense encore beaucoup à elle également. Je crois que c’était la femme de sa vie, son âme-sœur.
Il dut rire alors qu’Andy déclarait qu’il n’y avait rien entre elle et Aimery, à part de l’amitié. Elle voulait être certaine qu’il ne s’imaginait pas des choses. La façon dont elle protestait lui faisait bien comprendre qu’elle n’avait aucune vue sur lui. Elle semblait vraiment être une belle amitié.
– D’accord, d’accord. Je te promets que je n’y penserai pas. Mais incontestablement, sur le plan professionnel, ça matche entre vous. Vous faites une équipe d’enfer. Il y aurait de quoi monter une multinationale.
Elle détourna ensuite la conversation sur ses rencontres. Il haussa les épaules comme pour appuyer ses prochains dires.
– Quelques rencontres par-ci par-là, mais rien de bien sérieux pour l’instant. Je ne trouve pas celui ou celle qui me rend fou. Je ne désespère pas, je ne donne pas de faux espoirs non plus. Mais si l’autre est d’accord pour prendre ce qu’on peut prendre, alors on le fait. Ça arrivera bien un jour, je reste persuadé qu’il y a quelqu’un dans ce monde qui me fera chavirer comme papa avec maman. Même avec vingt ans d’amour, ils semblaient s’aimer comme au premier jour… Je ne veux pas le même amour, mais ce qui me fait cet effet. Cette personne qui me met des étoiles dans les yeux à la prononciation de son prénom, qui me donne envie de mettre le monde à ses pieds… Enfin, tu vois ce que je veux dire ? Et toi ? Tu as fait de belles rencontres ?
Il ne savait pas que quelques jours plus tard, il rencontrerait cette personne. Il n’avait pas perdu espoir, mais je ne cherche plus à chaque coin de rue. Sa sœur et son meilleur ami seraient les premiers au courant. Même si ce dernier n’était plus en ville. Les choses allaient bien vite se mettre en place pour lui.
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