Secret d'une noix de coco [Teresa]
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Vanille Silverstone
where do we go now ?
Fiche de présentation : https://alldelightedpeople.forumactif.com/t1825-un-nouveau-depart-pour-la-petite-orpheline-vanille
Pseudo : estiaduck
Faceclaim : Lauren Calaway
Multicomptes : Arden
Présence : Présent.e
Âge : 35 ans
Statut civil : Célibataire
Métier : Coiffeuse
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L’après midi s’annonçait radieux, et pas seulement parce que le soleil avait pris pleine possession de la plage. Aujourd’hui je m’étais laissé embarquée dans une aventure au profit d’une association qui s’engage à redonner le sourire aux enfants orphelins. Ça me tenait plutôt à cœur, même si je n’ai jamais eu à me plaindre de grandir sans parents.
La plage accueillait pas mal de monde, mais compte tenu du droit d’entrée, c’était uniquement des donateurs pour l’association. Au programme cocktail hors de prix, bikini et peut être quelques discutions ennuyeuses.
Si j’appréciais dilapider mon héritage au profit de certaine causes, j’avais du mal parfois à me fondre dans la masse de la haute société. C’était d’ailleurs pour ça que je m’étais inscrite à ce concours de Beach volley, en me disant que ça pourrait être sympa et que ça m’éviterait d’avoir à faire la causette avec n’importe qui.
J’avais un verre noix de coco à la main, sirotant ce jus alcoolisé à l’aide d’une paille plutôt épaisse, je me baladais sur la plage, essayant de repérer s’il y avait des habitués du salon, où certaine personne que je connaissais peut-être. Et puis j’aperçois cette femme, que j’avais déjà croisé lors de plusieurs manifestations caritatives.
Son visage ne m’était pas inconnu, peut être parce qu’elle avait un sourire singulier, et que j’étais plutôt physionomiste. En tout cas, nous devions avoir quelques points communs si ce n’est les associations qu’on soutiens. Je m’avance vers la jeune femme en lui souriant, brandissant ma noix de coco vers elle en signe de salutation.
- On se croise régulièrement non ? Je m’appelle Vanille.
Si j’avais remarqué celle-ci à plusieurs reprises, j’avais la prétention de croire qu’elle avait pu me repérer à son tour. Et puis mon interlocutrice avait l’air moins snob que tout les autres, peut être qu’elle serait intéressante à connaitre. Je ne me dégonfle pas, en proposant même à cette inconnue de m’accompagner dans mes frasques de la journée.
- Je cherche une partenaire pour la compétition de volley de tout à l’heure. Est-ce que tu sais jongler avec autre chose qu’une noix de coco ?
La plage accueillait pas mal de monde, mais compte tenu du droit d’entrée, c’était uniquement des donateurs pour l’association. Au programme cocktail hors de prix, bikini et peut être quelques discutions ennuyeuses.
Si j’appréciais dilapider mon héritage au profit de certaine causes, j’avais du mal parfois à me fondre dans la masse de la haute société. C’était d’ailleurs pour ça que je m’étais inscrite à ce concours de Beach volley, en me disant que ça pourrait être sympa et que ça m’éviterait d’avoir à faire la causette avec n’importe qui.
J’avais un verre noix de coco à la main, sirotant ce jus alcoolisé à l’aide d’une paille plutôt épaisse, je me baladais sur la plage, essayant de repérer s’il y avait des habitués du salon, où certaine personne que je connaissais peut-être. Et puis j’aperçois cette femme, que j’avais déjà croisé lors de plusieurs manifestations caritatives.
Son visage ne m’était pas inconnu, peut être parce qu’elle avait un sourire singulier, et que j’étais plutôt physionomiste. En tout cas, nous devions avoir quelques points communs si ce n’est les associations qu’on soutiens. Je m’avance vers la jeune femme en lui souriant, brandissant ma noix de coco vers elle en signe de salutation.
- On se croise régulièrement non ? Je m’appelle Vanille.
Si j’avais remarqué celle-ci à plusieurs reprises, j’avais la prétention de croire qu’elle avait pu me repérer à son tour. Et puis mon interlocutrice avait l’air moins snob que tout les autres, peut être qu’elle serait intéressante à connaitre. Je ne me dégonfle pas, en proposant même à cette inconnue de m’accompagner dans mes frasques de la journée.
- Je cherche une partenaire pour la compétition de volley de tout à l’heure. Est-ce que tu sais jongler avec autre chose qu’une noix de coco ?
En baissant le regard sur le ventre bien arrondi de la jeune femme, je remarquais un peu tard qu’elle abritait le fruit d’une nuit de plaisir passée. C’est tout moi ça, à parler avant de réfléchir, et j’enchéri tout de suite pour essayer de dissiper un malaise naissant.
- Oh, désolé, je n’avais pas fait attention. Ça sera peut-être compliqué de jouer ! Mais tu pourras m’encourager !
@Teresa Stevens
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Teresa Stevens
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Âge : 44 ans
Statut civil : Mariée sur le papier
Métier : Scientifique à la NASA
Habitation : Otter Creek
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Rp : Rp's en cours(5/5):
Helena#1 - Francesco#1 - Charlie#2 - Vanille#1 -Gemma#1
Rps's terminé: Cecilio#1 - Alyha#1 - Charlie#1 - Milo#1
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Messages : 99
Un peu à l’écart, la future maman, savait comment se fondre dans la masse au milieu de personne aisée, mais elle aimait aussi avoir son espace à elle. Assise sur un transat, elle sirotait son cocktail de jus fruit, tout en observant son environnement. Elle connaissait pas mal de monde depuis le temps qu’elle donnait son énergie et une partie son compte en banque à toutes ses associations. D’ailleurs, une femme, dont le visage lui était familier, s’approcha d’elle avec un grand sourire.
« Oui surement, si vous êtes donateurs dans plusieurs associations, c’est probable, puis votre visage me dit effectivement quelque chose. Enchanté Vanille, je suis Teresa. » répondit-elle, avant de lui offrir un sourire amusée lorsque celle-ci lui proposa d’être sa partenaire pour la compétition de volley. Pas qu’elle ne voulait pas, mais elle préférait prendre le moins de risque possible avec sa grossesse qui avançait bien. Elle souleva légèrement son habit de plage, pour laisser la vue sur son ventre rebondit, cachant la vie grandissant en elle. « Ce n’est pas contre vous, même si je sais jongler, ça va être un peu compliqué, mais oui je veux bien être votre supporter tout à l’heure. » Teresa ne disait pas non à un peu de compagnie, ça lui permettait de ne pas penser à ses problèmes, le temps d’un instant.
« Il y a un transat de libre à coté de moi, si vous voulez prendre place. » proposa-t-elle, prenant une gorgé de sa boisson. « Vous faites donc partie des donateurs des associations ? Qu’est ce que vous faites dans la vie ? » demanda-t-elle curieuse, cette jeune femme n’avait pas le profil typique des bourgeoises donatrices que Teresa avait l’habitude de fréquenter dans ces endroits là. La manière familière qu’elle avait utilisée pour l’aborder lui montrait qu’elle n’avait pas été élevée dans une famille riche comme 90% des gens présent ici. Puis, le fait qu’elle soit isolée de tous, montrait que Teresa n’était pas la seule à l’avoir remarqué. Les gens avec de l’argent pouvait se montrer snob, la futur maman avait toujours essayé de faire en sortes de ne pas l’être. Effectivement, grandir dans une famille aisée, n’avait pas que des bons cotés.
« On a eu plutôt de la chance avec la météo aujourd’hui, l’année dernière cet événement avait été annulé à cause de la pluie. Ca ne fait pas si longtemps qui vous êtes parmi nous, je me trompe?» compléta-t-elle histoire d’avoir des renseignements plus précis. Cette question sous-entendait bien évident son statut financier.
Vanille Silverstone
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Âge : 35 ans
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En déambulant sur la plage à la recherche de quelqu’un qui pourrait jouer avec moi cette partie de volley, j’étais tombé sur cette femme au visage qui me laissait quelques souvenir. Avec le salon, je voyais énormément de personnes, et je garde habituellement la mémoire des visages, mais c’était compliqué en dehors de savoir si j’avais rencontré cette femme une fois pour une coiffure ou ailleurs.
Quand j’approchais de la jeune maman, je la laisse me détailler un instant, le temps qu’il fallait pour qu’elle se remémore mon visage. Mais si elle était une cliente du salon, je pense qu’elle m’aurait identifiée autrement. Je me contente de sourire alors lorsqu’elle affirme que je pouvais être une donatrice occasionnelle.
- Ça n’est pas ma première fois, mais je donne à la hauteur de mes moyens.
J’étais consciente que mon héritage ne serait pas éternel, et que je ne rapportais pas suffisamment d’argent avec le salon pour éponger le dixième de ce que les gens dilapidaient dans ce genre d’évènement.
D’entrée j’avais accosté ma voisine en lui demander de m’accompagner sur le terrain de volley, mais c’était avant de visualiser son ventre qu’elle me montre d’ailleurs plus en détail en le découvrant sans aucune gêne. Quand je la vois soulever lentement son vêtement pour afficher un ventre fièrement rempli, je soucis, et me permet même d’avancer mon index comme pour essayer d’avoir un contact avec le bébé.
- Ça a l’air déjà bien engagé ! Je vais avoir 2 supporter alors ?
Je retire mon doigt rapidement et affiche un sourire pour celle qui accepte de venir avec moi pour m’encourager. Participer aux événements ça me permettait de pouvoir récolter aussi des fonds que je ne pourrais pas avancer.
Teresa me propose alors un transat à côté du sien, ce qui nous permettrait d’échanger un peu avant que je ne parte tout donner sur le terrain de volley. Je jette un œil à la place qui semblait n’avoir attendu que moi, le tissu déjà brulant sous le joug d’un soleil qui ne laissait que peu de place à l’ombre.
- J’ai ouvert un salon de coiffure avec l’héritage que ma légué un père inconnu.
En imitant ma voisine, je laisse le liquide venir transiter par la paille et inonder mon palais dans un moment de fraicheur plus que circonstanciel. Un soupire d’aise et de bien être venait trahir mon état d’extase avant de reprendre doucement mon explication.
- C’est une histoire compliquée, je n’ai pas vraiment l’habitude d’en parler. Mais j’essaie de lui rendre hommage en aidant des personnes qui en ont besoin.
Mon histoire était un peu mélodramatique, même si je n’avais pas à déplorer une enfance malheureuse. Dans le fond, quand je lance un regard critique sur mon passé, je n’avais absolument rien à regretter, si ce n’est le fait de ne jamais avoir connu mon père. C’était d’ailleurs la raison pour laquelle j’avais choisi cette association en particulier. Je baisse un peu les yeux, si ce n’était pas l’attaque violente du soleil, ça restait sous le couvert d’une certaine honte envers les autres ici.
- Je ne suis pas riche … J’essaie d’aider comme je peux. D’ailleurs, c’est pour ça que j’ai besoin d’attirer des supporter, je sais ce que c’est que de grandir sans ses parents.
En expliquant ma situation à mon interlocutrice un peu curieuse, j’arrivais à sentir un elle un sentiment franc, sans jugement de moral. C’était peut-être son ventre rond qui la rendait plus joviale, ou juste cette façon simple qu’elle avait de ne pas me dévisager comme une bête curieuse. Si j’aimais attirer l’attention en temps normal avec des couleurs vive, il y avait des regards parfois que je préférais éviter.
- Ça fait quelques années que je suis arrivé sur l’île, j’essaie de me familiariser avec les coutumes locales.
C’était la première fois que je participais à l’événement, mais je ne regrettais pas. J’avais attendu de m’installer comme il faut avant de prétendre à dilapider ce qu’il me restait d’héritage. Aujourd’hui je me sentais plus confiante et forte, d’ailleurs j’étais heureuse d’avoir rencontrer la jeune maman, et je me permettais d’échanger à mon tour sur son passé.
- Vous … tu ? sembles bien connaitre les lieux. C’est une belle ile.
Me demandant pendant un instant si je continuais de la tutoyer, où si j’avais été maladroite en arrivant tout à l’heure. Je laissais ma voisine me reprendre si elle le voulait, et qui sait, peut être qu’elle pourrait m’apprendre à me fondre un peu plus dans ce monde qui avait encore tellement de secret pour moi.
- Peut être connaissais tu mon père ? Il s’appelait Johnny Silverstone, mais j’en doute … son travail, c’était de ne pas attirer l’attention, c’est plutôt ironique quand on y pense !
Quand j’approchais de la jeune maman, je la laisse me détailler un instant, le temps qu’il fallait pour qu’elle se remémore mon visage. Mais si elle était une cliente du salon, je pense qu’elle m’aurait identifiée autrement. Je me contente de sourire alors lorsqu’elle affirme que je pouvais être une donatrice occasionnelle.
- Ça n’est pas ma première fois, mais je donne à la hauteur de mes moyens.
J’étais consciente que mon héritage ne serait pas éternel, et que je ne rapportais pas suffisamment d’argent avec le salon pour éponger le dixième de ce que les gens dilapidaient dans ce genre d’évènement.
D’entrée j’avais accosté ma voisine en lui demander de m’accompagner sur le terrain de volley, mais c’était avant de visualiser son ventre qu’elle me montre d’ailleurs plus en détail en le découvrant sans aucune gêne. Quand je la vois soulever lentement son vêtement pour afficher un ventre fièrement rempli, je soucis, et me permet même d’avancer mon index comme pour essayer d’avoir un contact avec le bébé.
- Ça a l’air déjà bien engagé ! Je vais avoir 2 supporter alors ?
Je retire mon doigt rapidement et affiche un sourire pour celle qui accepte de venir avec moi pour m’encourager. Participer aux événements ça me permettait de pouvoir récolter aussi des fonds que je ne pourrais pas avancer.
Teresa me propose alors un transat à côté du sien, ce qui nous permettrait d’échanger un peu avant que je ne parte tout donner sur le terrain de volley. Je jette un œil à la place qui semblait n’avoir attendu que moi, le tissu déjà brulant sous le joug d’un soleil qui ne laissait que peu de place à l’ombre.
- J’ai ouvert un salon de coiffure avec l’héritage que ma légué un père inconnu.
En imitant ma voisine, je laisse le liquide venir transiter par la paille et inonder mon palais dans un moment de fraicheur plus que circonstanciel. Un soupire d’aise et de bien être venait trahir mon état d’extase avant de reprendre doucement mon explication.
- C’est une histoire compliquée, je n’ai pas vraiment l’habitude d’en parler. Mais j’essaie de lui rendre hommage en aidant des personnes qui en ont besoin.
Mon histoire était un peu mélodramatique, même si je n’avais pas à déplorer une enfance malheureuse. Dans le fond, quand je lance un regard critique sur mon passé, je n’avais absolument rien à regretter, si ce n’est le fait de ne jamais avoir connu mon père. C’était d’ailleurs la raison pour laquelle j’avais choisi cette association en particulier. Je baisse un peu les yeux, si ce n’était pas l’attaque violente du soleil, ça restait sous le couvert d’une certaine honte envers les autres ici.
- Je ne suis pas riche … J’essaie d’aider comme je peux. D’ailleurs, c’est pour ça que j’ai besoin d’attirer des supporter, je sais ce que c’est que de grandir sans ses parents.
En expliquant ma situation à mon interlocutrice un peu curieuse, j’arrivais à sentir un elle un sentiment franc, sans jugement de moral. C’était peut-être son ventre rond qui la rendait plus joviale, ou juste cette façon simple qu’elle avait de ne pas me dévisager comme une bête curieuse. Si j’aimais attirer l’attention en temps normal avec des couleurs vive, il y avait des regards parfois que je préférais éviter.
- Ça fait quelques années que je suis arrivé sur l’île, j’essaie de me familiariser avec les coutumes locales.
C’était la première fois que je participais à l’événement, mais je ne regrettais pas. J’avais attendu de m’installer comme il faut avant de prétendre à dilapider ce qu’il me restait d’héritage. Aujourd’hui je me sentais plus confiante et forte, d’ailleurs j’étais heureuse d’avoir rencontrer la jeune maman, et je me permettais d’échanger à mon tour sur son passé.
- Vous … tu ? sembles bien connaitre les lieux. C’est une belle ile.
Me demandant pendant un instant si je continuais de la tutoyer, où si j’avais été maladroite en arrivant tout à l’heure. Je laissais ma voisine me reprendre si elle le voulait, et qui sait, peut être qu’elle pourrait m’apprendre à me fondre un peu plus dans ce monde qui avait encore tellement de secret pour moi.
- Peut être connaissais tu mon père ? Il s’appelait Johnny Silverstone, mais j’en doute … son travail, c’était de ne pas attirer l’attention, c’est plutôt ironique quand on y pense !
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