Need Fun
Enfin libre ! Deux jours passés dans cet enfer blanc stérile, autant dire que le brun est des plus heureux de sortir de ce lieux maudits. A peine à t’il franchi les portes coulissante et fait deux pas que son bonheur s’expulse de son corps en hurlant et en levant ses deux poings en l’air. Trop de temps précieux pour lui de perdu, et surtout une faim monstrueuse qui tiraille son ventre. Sans attendre, le brun sort son téléphone, Sorin, c’est la première personne à qui il pense pour venir partager avec lui un Burger monstrueux. Ses doigts agile tapotent rapidement son clavier. " Bro, j’ai les crocs ! Ramene ton petit cul, je te paie un burger." Il regarda autour de lui, et failli lui envoyer l’adresse, seulement il se ravisa à temps, beaucoup trop proche de l’hôpital, Sorin et sa fichu empathie allait comprendre la situation et lui taper encore un sermon. Il prit donc un taxi pour rejoindre le centre ville, renvoyant un message au brun pour lui donner adresse et heure.
Dix minutes plus tard, le voici arrivé, il s’installe, se commende un Cuba libre sans Cuba, autrement dit un coca, pas des meileures pour son cœur, mais au moins il épargne son rein. Puis il commence à feuilleté la carte, même si son choix est déjà bien arrêté, jusqu’a voir la bouille de son meilleur ami entre dans le restau. Sans aucune gêne, il place quatre doigts dans sa bouche et sifle pour que Sorin le repère avant de faire de grand geste avec ses bras. Un sourire satisfait se dessine sur son visage, heureux de le voir, mais aussi amusé de savoir que le brun doit être mal à l’aise de toute cette attétien que les clients et personnels ont sur eux. Des années qu’il se fréquente, et pourtant le pauvre ne s’est toujours pas fait à la désinvolture de McNeer, ce qui est loin de déplaire à ce dernier.
Une fois à son niveau, Adriel se lève pour lui en taper cinq. Un enchaînement de mouvement qu’il ne pratique qu’avec lui, un bonjour spécial en quelques sorte. D’ailleurs les deux ont eu tellement de fou rire en le créant qu’il ne peut que les mettre de bonne humeur. " Comment ça va mon lapin ? " Demande t’il en s’asseyant de nouveau. "Quoi de beau ? " Question problématique pour lui si elle lui est retourné, bien qu’il a déjà un million de détournement de vérité à servir, mais il sait pertinemment que si il ne la pause pas, se serait tout aussi suspect. Puis bon, il peut emplement se couvrir avec les multitudes de dessin qu’il a fait lors de son séjour, au moins un point positif à ses derniers, même sous respirateur, il peut laisser ses mains et son imagination travailler, et aliméter ses réseaux sociaux et son porte folio !