repas de famille!
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Lorsqu'ils arrivent, Sharon est déjà là, en compagnie d'un inconnu. Il va se présenter, très intrigué, se demandant si c'est son mec, s'il est là pour passer le test ultime. Supporter les membres de cette famille. Ils ne font pas de grands discours, Elvis se remonte les manches très rapidement pour aider Ronald à porter des choses lourdes. - attention tu vas te prendre le mur là. Plus vers la gauche. les deux frères, les bras chargés. Ils finissent par poser le meuble. - tu veux faire quoi mainte... Il entend une voix qui lui fait tourner la tête automatiquement. Marilyn. les sourcils se froncent quand il voit qu'elle n'est pas seule. - c'est qui ce vieux gars.. qu'il souffle doucement. Des invités surprise, ce repas s'annonce amusant. Ronald n'aurait pas dû proposer de venir chez lui. La tempête Hughes va peut-être montrer le bout de son nez.
@Marilyn Hughes @Ronald Hughes @Sharon Hughes @Ehsan Sayegh @Hadès Saint-James @Juan Alvarez
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tw : mention d'alcool
Si une ville pouvait se reconstruire en un claquement de doigts, ça se saurait. Malheureusement après une tempête comme celle qui leur était passée dessus il y avait plusieurs jours de ça maintenant, il en fallait le double pour se relever. La maison de Ronnie n’avait pas été épargnée même si les dégâts étaient certainement moindres que d’autres logements ou commerces de Cromwell Cove. C’est pour ça qu’elle n’avait pas été la priorité, c’est pour ça que c’était aujourd’hui seulement, avec toute la famille, que les travaux s’achèveraient. En échange de leurs bras, Ronnie payait le repas.
C’est Sharon et un homme de son âge à lui, pas à elle, qui étaient arrivés les premiers. Au moins il avait des bras, le Juan, alors déjà ils avaient pu déplacer quelques trucs lourds à l’extérieur de la maison, qui avaient été emportés par le vent. Quand Elvis arriva avec sa copine, Ronnie commença tout de suite à diriger son frère mais ne donna pas de directives à Ehsan. Disons qu’il ne se sentait pas encore assez à l’aise avec tout ce nouveau monde dans la famille pour jouer au boss avec eux. Avec ses frères et soeurs par contre, ça, Ronnie n’avait aucun mal. « Mais oui je sais, je connais ma maison. » Râla Ronnie alors que son frère faisait juste l’avertir du mur derrière. Ils déposèrent la charge et avant qu’il ne puisse continuer le plan de match, Marilyn arriva, avec une autre tête inconnue. Ronnie soupira. Ce n’était plus des grossesses surprises c’était des love matchs imprévus. « J’sais pas mais prochaine fois qu’vous prévoyez tous des +1 ce serait bien de m’avertir un peu plus tôt. C’est sûr que ça ira plus vite pour finir tous les travaux mais après j’sais pas si j’aurai assez nourrir tout ce monde. » Il passa ses mains sur son jeans pour essuyer la poussière. « Quelqu’un veutune bière ou d’quoi ? » Demanda-t-il en essuyant ensuite son front du revers de son bras gauche.
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tw : alcool, vulgarité
Après la tempête, Marilyn a déserté l’appartement qu’elle partage avec son frère jumeau. Parce qu’elle lui en veut. A mourir. Tellement qu’elle est prête à cette séparation qui lui retourne les entrailles. Juste pour l’emmerder. A taste of his own medecine. Quelque chose comme ça. Et puis elle a été bien occupée à roucouler avec Hadès. Tout fraîchement en couple, ils profitent encore de la phase lune de miel. Version Hadès et Marilyn, bien sûr. Maintenant, il fallait sortir de ce cocon. Mais pas sans lui, son copain. Déjà parce que ça fera royalement chier Elvis, ensuite parce qu’il peut être utile à Ronald. Enfin. Marilyn doute qu’il sache faire grand chose de ses dix doigts mais, ma foi, elle aura l’occasion de le tester. Avant ça, elle n’a pas manqué de lui donner ses directives. « Évite de mentionner que t’es plein aux as sans rien foutre de tes journées, s’il te plaît. Dis… je sais pas, que t’es comptable. Personne te posera de questions. » Si crédible. « Mais surtout… Pas une vague avec Elvis. Peu importe ce qu’il dit. C’est un petit con mais y’a que moi qui aie droit de le dire. » Finalement ça vaut pour le reste de sa famille aussi. Hadès n’est autorisé à baver sur personne, il n’y a qu’elle qui a ce privilège. Sur place, Marilyn a la bonne surprise de voir qu’Elvis est venu avec sa copine. Ça lui file la gerbe mais elle sourit. Sharon est avec un type aussi et ça, ça relève carrément du miracle. Il n’y a que Ronnie qui n’a pas changé. Ce bon vieux Ron. La valeur sûre de la famille. Toujours seul. Et toujours aussi agréable. Elle lève les yeux au ciel. « Wow merci pour l’accueil ! Moi aussi ça me fait plaisir de te voir. » Le décor est planté, bienvenue chezles fous les Hughes, Hadès. « Je m’en charge ! » qu’elle s’exclame en s’éclipsant pour chercher les bières. Elle revient , sert Ron en premier, et profite de la distribution pour se présenter au gars qui accompagne Sharon. Elle sert ensuite son jumeau et sa copine avec le plus grand dédain. Mode full bitch activé. Elle retourne auprès de Hadès et, dans un petit moment de faiblesse, serre rapidement sa main dans la sienne avant de s’attaquer à sa bière.
Après la tempête, Marilyn a déserté l’appartement qu’elle partage avec son frère jumeau. Parce qu’elle lui en veut. A mourir. Tellement qu’elle est prête à cette séparation qui lui retourne les entrailles. Juste pour l’emmerder. A taste of his own medecine. Quelque chose comme ça. Et puis elle a été bien occupée à roucouler avec Hadès. Tout fraîchement en couple, ils profitent encore de la phase lune de miel. Version Hadès et Marilyn, bien sûr. Maintenant, il fallait sortir de ce cocon. Mais pas sans lui, son copain. Déjà parce que ça fera royalement chier Elvis, ensuite parce qu’il peut être utile à Ronald. Enfin. Marilyn doute qu’il sache faire grand chose de ses dix doigts mais, ma foi, elle aura l’occasion de le tester. Avant ça, elle n’a pas manqué de lui donner ses directives. « Évite de mentionner que t’es plein aux as sans rien foutre de tes journées, s’il te plaît. Dis… je sais pas, que t’es comptable. Personne te posera de questions. » Si crédible. « Mais surtout… Pas une vague avec Elvis. Peu importe ce qu’il dit. C’est un petit con mais y’a que moi qui aie droit de le dire. » Finalement ça vaut pour le reste de sa famille aussi. Hadès n’est autorisé à baver sur personne, il n’y a qu’elle qui a ce privilège. Sur place, Marilyn a la bonne surprise de voir qu’Elvis est venu avec sa copine. Ça lui file la gerbe mais elle sourit. Sharon est avec un type aussi et ça, ça relève carrément du miracle. Il n’y a que Ronnie qui n’a pas changé. Ce bon vieux Ron. La valeur sûre de la famille. Toujours seul. Et toujours aussi agréable. Elle lève les yeux au ciel. « Wow merci pour l’accueil ! Moi aussi ça me fait plaisir de te voir. » Le décor est planté, bienvenue chez
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Repas de famille !
Tu avais bravé la tempête pour retrouver ta belle. Tu ne l’aurais pas fait pour tout le monde, mais pour elle, tu l’avais fait. D’ailleurs une fois la tempête finie, vous aviez continué vos escapades ensemble. Ensemble, car vous êtes maintenant en couple, la tempête n’avait finalement pas que du mauvais. Puis vous n’êtes pas un couple ordinaire, vous ne vouliez pas quitter votre ancienne relation, l’idée était maintenant de combiner les deux. Un très bon compromis. Tu avais d’ailleurs été surpris quand elle t’invita en quelques sortes à un diner de famille. Wahou, maintenant ça devenait un peu plus sérieux dans un sens, présentation officielle en quelques sortes. Bizarrement, l’idée ne te déplaisait pas, en même temps, malgré vos forts caractères, tu avais du mal à refuser quoi que ce soit à la belle blonde. Tu avais donc accepté directement. De plus, avant d’y aller, sur le chemin, la demoiselle t’avait donnée quelques directives. Tu les avais bien pris en compte et tu allais faire l’effort de te tenir, en tout cas au maximum et le plus longtemps possible, pour elle. C’est promis, je ne parle pas d’argent. Comptable ? Ça parle d’argent, mais d’accord. Tu lui fis un sourire et lui déposa un bisou sur la joue, comme un enfant. Je ferais mon maximum, mais qu’il ne me cherche pas trop, tu connais mes limites. Tu n’étais pas du genre à mettre le feu aux poudres mais tu étais doué pour faire exploser. Il ne fallait pas déclencher la guerre. Tu n’avais pas envie de faire mauvaise impression non plus, tu allais donc clairement respecter les règles de Marilyn. Vous arrivez enfin sur place, tu regardas autour de toi, pas mal de monde déjà. La liste était longue, tu ne connaissais pas grand monde, enfin pas plus que ça. Tu ne dis rien pour le moment, laissant Marilyn parlait, puis la laissant aller chercher des bières. Tu l’as laissa revenir et pris une bière après la distribution. De retour à tes côtés, la jeune femme te serra la main. Surpris, tu lui rendis en lui serrant toi aussi la main. Tu fixais maintenant son frère, ayant entendu ses paroles à ton égard. Tu fis un petit sourire en coin avant de répliquer. Ce vieux mec, c’est ton nouveau beau-frère.
(c) Dandelion
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Les autres convivent ne tardèrent pas non plus a arriver. « Je suis désolé, j'ai réussis a me libérer au dernier moment et Sharon avait vraiment envie que je vienne pour tous vous rencontrer. » Et ca valait le coup d'œil effectivement. Attentif, il pouvait voir et comprendre quelques regards, quelques mouvements, la synergie entre tous. La brune lui avait fait des résumés rapides, mais il pouvait donc maintenant mettre des visages sur des noms et des caractères sur des personnes. Proche de son +1, il passe sa main derrière son dos pour la poser sur sa hanche et remercie la sœur de Sharon qui rapporte a boire. Il sent directement une sorte de tension dans l'air et décide de faire une petite intervention. « Oh ! Je pensais que c'était pour moi la réplique du vieux ! On est donc tous les deux... trois les petits nouveaux ? » Il va trinquer avec Hades ainsi que Eshan avant de se présenter.
« Vu que la douce Sharon ne veut pas me présenter, je fais le premier pas. Juan Alvarez, je travail avec votre sœur et belle sœur au poste de police. Je viens de la côte Ouest et j'ai une fille. Sharon n'a pour le moment parlé que de vos qualités, je suppose que c'était pour que je ne fuis pas lorsqu'elle m'a proposée d'officialiser les choses en me présentant a vous. Ah ... et je peux te donner un coup de main en cuisine Ronald. Depuis que ma femme est morte, je suis le cuistot en chef de la maison, alors ca me fera plaisir d'aider. » Il se met ensuite en arrière, histoire de pas monopoliser la situation. « Heureux d'enfin vous rencontrer en tout cas ! »
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tw : alcool, vulgarité
Disons les choses telles qu'elles étaient : rares étaient ceux ou celles qui pouvaient prétendre avoir tenu le coup face à un -ou plusieurs- repas de famille chez les Hughes. Alors peut-être, juste peut-être, que je n'avais pas hésité une seule seconde à inviter Juan à venir, juste pour voir comment il se débrouillerait. Il disait pouvoir séduire ma famille ? J'avais franchement envie de le voir essayer. Alors évidemment, j'avais absolument pas été surprise de le voir accepter, la perspective de ce repas devenant d'autant plus intéressante. « Je ne peux que te retourner le compliment. Et ouais, mais faut dire que ça serait pas vraiment le genre de fringues confortables sur le terrain. » Enfin, ça c'était surtout pour les talons que j'avais décidé de porter, malgré le fait que je sache parfaitement qu'on allait devoir filer un coup de main à mon aîné quant à sa maison et aux dégâts causés par la tempête.
Une fois arrivés sur place, tout s'était assez rapidement enchaîné, jusqu'à ce que tout le monde se retrouve sur place. Je m'étais retenue de lever les yeux au ciel face à la remarque de Juan, un sourire malgré tout présent sur mes lèvres. Il en faisait des caisses, et franchement je trouvais ça drôle, surtout vu le changement d'ambiance qui venait de se produire dans le salon. Je m'étais saisie de la bière que m'avait tendue ma Marylin, la remerciant au passage. J'avais relevé la tête vers Juan au moment où il s'était présenté, ne me retenant cette fois pas de lever les yeux au ciel, un air amusé sur le visage. Il était impatient. « Tu m'as pas trop laissé le temps de le faire, ceci dit, faut pas être impatient comme ça mon chéri. » Derniers mots volontairement accentués avant de me retourner vers le reste de ma fratrie et leurs invités. « Apparemment qu'on a tous décidé de ramener quelqu'un en même temps. Désolée, fréro. D'ailleurs, les filles vous passent le bonjour, mais vous vous doutez bien qu'elles n'avaient aucune envie de passer leur soirée avec, je cite, des vieux. » Rien de bien surprenant, en somme, de toute façon c'était clairement de leur âge. En entendant la réponse d'Hadès, j'avais froncé les sourcils, mon regard se portant directement sur Elvis. Bah tiens, voilà qui allait bien tourner. J'aurais bien essayé de faire en sorte de lui faire comprendre qu'il valait mieux qu'il se tienne à carreaux, mais je savais d'expérience que c'était peine perdue, à voir s'il y aurait besoin d'intervenir ou non. Je m'étais penchée vers Juan, ma main trouvant sa place au niveau de son dos, lui chuchotant quelques mots à l'oreille. « Je donne même pas deux minutes à Elvis avant qu'il pète un plomb, à partir de là, on pourra dire que c'est un vrai repas de famille. »
Disons les choses telles qu'elles étaient : rares étaient ceux ou celles qui pouvaient prétendre avoir tenu le coup face à un -ou plusieurs- repas de famille chez les Hughes. Alors peut-être, juste peut-être, que je n'avais pas hésité une seule seconde à inviter Juan à venir, juste pour voir comment il se débrouillerait. Il disait pouvoir séduire ma famille ? J'avais franchement envie de le voir essayer. Alors évidemment, j'avais absolument pas été surprise de le voir accepter, la perspective de ce repas devenant d'autant plus intéressante. « Je ne peux que te retourner le compliment. Et ouais, mais faut dire que ça serait pas vraiment le genre de fringues confortables sur le terrain. » Enfin, ça c'était surtout pour les talons que j'avais décidé de porter, malgré le fait que je sache parfaitement qu'on allait devoir filer un coup de main à mon aîné quant à sa maison et aux dégâts causés par la tempête.
Une fois arrivés sur place, tout s'était assez rapidement enchaîné, jusqu'à ce que tout le monde se retrouve sur place. Je m'étais retenue de lever les yeux au ciel face à la remarque de Juan, un sourire malgré tout présent sur mes lèvres. Il en faisait des caisses, et franchement je trouvais ça drôle, surtout vu le changement d'ambiance qui venait de se produire dans le salon. Je m'étais saisie de la bière que m'avait tendue ma Marylin, la remerciant au passage. J'avais relevé la tête vers Juan au moment où il s'était présenté, ne me retenant cette fois pas de lever les yeux au ciel, un air amusé sur le visage. Il était impatient. « Tu m'as pas trop laissé le temps de le faire, ceci dit, faut pas être impatient comme ça mon chéri. » Derniers mots volontairement accentués avant de me retourner vers le reste de ma fratrie et leurs invités. « Apparemment qu'on a tous décidé de ramener quelqu'un en même temps. Désolée, fréro. D'ailleurs, les filles vous passent le bonjour, mais vous vous doutez bien qu'elles n'avaient aucune envie de passer leur soirée avec, je cite, des vieux. » Rien de bien surprenant, en somme, de toute façon c'était clairement de leur âge. En entendant la réponse d'Hadès, j'avais froncé les sourcils, mon regard se portant directement sur Elvis. Bah tiens, voilà qui allait bien tourner. J'aurais bien essayé de faire en sorte de lui faire comprendre qu'il valait mieux qu'il se tienne à carreaux, mais je savais d'expérience que c'était peine perdue, à voir s'il y aurait besoin d'intervenir ou non. Je m'étais penchée vers Juan, ma main trouvant sa place au niveau de son dos, lui chuchotant quelques mots à l'oreille. « Je donne même pas deux minutes à Elvis avant qu'il pète un plomb, à partir de là, on pourra dire que c'est un vrai repas de famille. »
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