There's nothing I wouldn't do to hear your voice again. Sometimes I wanna call you but I know you wo
:: play and ally, bond. :: what the moon does :: rps
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Tu avais un très mauvais pressentiment. Quelque chose c’était passé. Tu le savais, tu le sentais. Quelque chose de grave. Tu roulais à toute vitesse jusqu’à ton appartement. Tu te gares en trombe dans la rue avant de monter les marchez deux à deux, aussi vite que tu le peux. La porte de ton appartement est ouverte, tu fonces à l’intérieur sans une once d’hésitation, te fichant éperdument de ton propre sort. Tout ce qui t’importe en cet instant c’est Bowen. Ce que tu as entendu au téléphone ne présageait rien de bon. Bowen? Tu l’appelle plusieurs fois, aucune réponse. Les larmes coulent déjà sur ton visage. Quand tu arrives enfin au salon,
Tu appelles les secours sans perdre une minute. Après avoir raccroché, tu te penches tout près de son visage. Il respire encore. Mais tu n’es pas soulagée pour autant. Tremblante, tu tentes de comprimer ses plaies comme tu peux. Tes mains et ton buste sont à présent recouvert de son sang. Tes larmes ne cessent de couler. Tu appelles son nom, encore et encore, mais ses yeux restent clos.
Les secours arrivent à ce moment là. Heureusement ils ont étés rapides. Ils emmènent Bowen et tu montes avec eux. Il est directement prit en charge à l’hôpital. Tu te morfonds dans l’attente, dans l’inquiétude, dans la peur viscérale de le perdre pour toujours. Tu n’imagines pas ta vie sans lui. Quand tu parviens à rassembler un peu tes esprits, tu décides d’informer sa famille. Le mieux est encore de passer par Malia. Tu ne sais pas comment leur grand mère peut réagir, et elle garde votre… sa fille. Tu te souviens alors que vous êtes justement dans l’hôpital où travaille la sœur de Bowen. Tu vas la demander à l’accueil, demandant à la secrétaire de la prévenir d’une urgence familiale. Tremblante, tes pensées ne quittent pas Bowen, cet atroce image de lui allongé au sol.
Ton amie arrive et tu fond en larmes, lui expliquant la situation entre deux sanglots. La jolie blonde pâli a vu d’œil. Elle va immédiatement prendre des nouvelles du bloc opératoire ou les médecins sont entrain de s’occuper de son frère. Elle te rejoint environ une demi heure plus tard. Malia t’annonce que l’opération se passe bien, mais qu’il est extrêmement faible. Vous êtes là, toutes les deux, à vous faire un sang d’encre. Tu lui explique ce qu’il s’est passé, la discussion par sms avec Bowen, son message vocal que tu lui fais écouter. Et puis ce bruit sourd, avant le silence de ton petit ami. Vous vous tenez la main de temps à autre. Puis elle retourne prendre des nouvelles. T’es soulagée d’apprendre que tout s’est bien passé. Soulagement de courte durée quand elle ajoute qu’il n’est pas encore tiré d’affaire et que maintenant, il faut attendre qu’il reprenne connaissance.
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Elle allait bien, c'était le principal. Elle n'avait rien, c'était le principal. Ton coeur tambourinait si fort dans ta poitrine quand tu découvrais la porte de votre appartement forcé. La bile t'était monté dans la gorge, de peur qu'il lui soit arrivé quelque chose. A ta princesse, ta beauté, la seule et unique femme qui fait vriller ta vie, ton coeur, tout ton être. Elle allait bien, c'était le principal. Tandis que toi, t'as pris une raclée. La plus forte, la plus intense de toute ta vie. T'es plus fait pour les bagarres, Bowen. La vieillesse te guette, et les problèmes aussi. Quand t'as franchi le seuil de l'appartement, ils étaient plusieurs. Cagoulés. Vêtus de noir. Mais tu savais qui ils étaient. Tu savais qui venait se venger, une nouvelle fois. Le sang qui éclate dans ta bouche, dans tes veines. La douleur qui t'assène à chaque coup. Tu es faible, face à eux. Depuis combien de temps, ne t'es-tu pas battu, Bowen ? Depuis combien de temps tu es devenu un pauvre type ? L'un d'eux pose le pied sur ton crâne. Ta joue s'arrache sur le bord du parquet abîmé. Tu es incapable de rien. Tu es faible, sans aucunes solutions pour te sortir de là. Tu te mords si fort la lèvre. Si fort la joue. Putain, heureusement, qu'elle va bien. Tu finis par te sortir de leurs griffes et foncer dans la salle de bain. Enfermé, quelques messages, un message vocal, un bruit sourd. C'était un flingue ça non ? Tu sursautes. Ta main tremble, ton portable glisse au sol. Ils défoncent la porte. Et c'est le trou noir.
Son sourire qui s'illumine, la petite Myra dans ses bras. Ton coeur qui s'évanouie de bonheur en les observant. Elles sont heureuses et toi aussi. Vous vivez le parfait amour, la parfaite petite vie rêvé. C'est ce que tu voudrais au plus profond de toi, depuis toujours, Bowen. Le retour de votre amour, cette sensation de plénitude qui t'envahit, t'es aux anges. T'es heureux. Le rêve se transforme en cauchemar, en une fraction de secondes.La voilà gisant dans son propre sang. T'entends les pleurs de ton enfant. Tu ne la trouves pas. Tu ne sais pas qui sauver. Tu ne sais pas qui secourir. Tu hurles le prénom de Myra, suivi de celui de Arrow. Les larmes coulants si fort sur tes joues. Les tremblements sont si intenses que tu restes planté au milieu de la pièce, incapable de rien.
Le bip incessant d'un moniteur, le bip éloigné qui raisonne dans tes tempes. Tu voudrais l'éclater en deux pour avoir la paix, mais t'es incapable de bouger. T'entends les pas de personnes inconnus dans la pièce où tu te trouves. Tu tentes d'ouvrir les yeux sans succès. T'inspires. T'expires. Au moins, tu sembles vivant, Bowen. Tes doigts se serrent tout doucement sur le drap. Tu le froisses si fort, pour tenter de reprendre tes forces et comprendre. Qu'est-ce qu'il t'es arrivé, Bowen ?
Son sourire qui s'illumine, la petite Myra dans ses bras. Ton coeur qui s'évanouie de bonheur en les observant. Elles sont heureuses et toi aussi. Vous vivez le parfait amour, la parfaite petite vie rêvé. C'est ce que tu voudrais au plus profond de toi, depuis toujours, Bowen. Le retour de votre amour, cette sensation de plénitude qui t'envahit, t'es aux anges. T'es heureux. Le rêve se transforme en cauchemar, en une fraction de secondes.
Le bip incessant d'un moniteur, le bip éloigné qui raisonne dans tes tempes. Tu voudrais l'éclater en deux pour avoir la paix, mais t'es incapable de bouger. T'entends les pas de personnes inconnus dans la pièce où tu te trouves. Tu tentes d'ouvrir les yeux sans succès. T'inspires. T'expires. Au moins, tu sembles vivant, Bowen. Tes doigts se serrent tout doucement sur le drap. Tu le froisses si fort, pour tenter de reprendre tes forces et comprendre. Qu'est-ce qu'il t'es arrivé, Bowen ?
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Même si elle tentait de faire bonne figure probablement parce que vous êtes sur son lieu de travail et qu’elle est médecin, tu voyais bien que Malia n’en menait pas large non plus. Elle avait prévenu sa grand-mère mais vous étiez toute d’accord pour dire que pour le moment, il ne fallait rien dire à Myra. Tant que vous n’aviez pas de certitudes sur l’état de son père, il ne servait a rien de faire peur à sa fille. Mais… si vous deviez lui annoncer, serait-ce à toi de la faire ? T’en avais déjà mal au ventre rien que d’y penser.
Une heure plus tard environ, ou deux, tu ne sais plus vraiment, tu perds la notion du temps, Bowen est monté en chambre ou sa sœur et toi l’attentiez déjà.
Hey mon amour… Je ne sais pas si tu m’entends mais… je sais que tu es fort mon chéri. Je sais que tu vas t’en sortir, parce que t’es l’homme le plus fort que j’ai jamais rencontré. T’es mon roc, mon pilier, et… t’as pas le droit de m’abandonner encore une fois d’accord ? Parce que sinon je…
Ta phrase reste en suspend. Tu serres les dents mais les larmes coulent malgré tout sur tes joues. Tu te penches pour déposer un baiser sur son front, puis tu t’assois sur la chaise accolée a son lit, sans jamais lâcher sa main. C’est a ce moment la que tu vois son autre main bouger, tout ton être se remplit alors d’espoir et tu lance un regard à Malia. Tu appelles doucement le prénom de l’amour de ta vie, comme si tu cherchais a le guider, à le ramener à la vie.
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La voix de Arrow raisonne dans ton esprit comme un rêve, d'une douceur, d'une fragilité maladive. T'arrives pas à ouvrir les yeux, au lieu de ça, tu revois ta vie entière défiler comme si c'était le dernier instant de ta vie, Bowen. Tu revois le sourire de ta petite fille. Tu revois la douceur de la peau de Arrow contre la tienne, en ressent toutes les sensations comme au premier jour, à la première fois. Un frisson te parcourt, mais rien n'y parait dans cette chambre d'hôpital. Allongé de tout ton long, inerte, sans vie, relié à un respirateur, tu ne bouges pas. Pas un mouvement prouvant que tu as survécu encore une fois, à la violence d'un passé qui semble ne pas vouloir se défaire de toi. Au contraire, ils te hantent, ils t'enfoncent dans les abîmes de l'enfer. Tu tentes de te remémorer ce qu'il s'est passé, mais encore une fois, au lieu d'en trouver les réponses, seuls les images du sourire de Arrow et de Myra t'apparaissent. D'un certain point de vue, ça t'apaise vraiment. Ca t'apaise si intensément que tu serres le poing, inconsciemment. La voix de Arrow qui raisonne de nouveau, avec un peu plus d'insistance. Le bout de son nez se colle à ta joue. Ses lèvres se mouvent près de ton oreille. Tu frissonnes, elle sait comment te parler, la belle Arrow. Mais les yeux clos, tu n'arrives pas à sortir de ta léthargie, c'est comme si elle t'appelait et que tu n'étais pas capable de lui répondre. Tu serres davantage le poing. Tu sens la main de Arrow qui s'aggrippe à toi. Ton coeur tambourine si fort. L'électrocardiogramme réagit. Le bip t'explose les tympans. Faites que cela cesse non de dieu !
Et sans que tu ne contrôles quoi que ce soit...
Putain faites donc taire ce bruit strident.
Tu grognes, émergeant finalement enfin de ton sommeil et de ta léthargie.
Et sans que tu ne contrôles quoi que ce soit...
Putain faites donc taire ce bruit strident.
Tu grognes, émergeant finalement enfin de ton sommeil et de ta léthargie.
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Tu n’y arrive pas, tu ne peux pas l’imaginer une seule seconde ce que serait ta vie sans lui. Tu ne peux pas respirer sans lui. Ça ne devait pas, ça ne pouvait pas finir comme ça après tout ce que vous aviez déjà traverser. C’était beaucoup trop injuste. T’es là à le regarder, inerte, son corps inanimé, son si beau visage privé de la lumière de son sourire, de son regard. Ton cœur meurtrit se broie encore plus fort. Tu n’y survivra pas. Si il y reste, il t’emporteras avec lui et ça sera tant mieux. Tu respires difficilement. Puis tu relèves les yeux vers sa sœur. Un léger sourire se dessine sur tes lèvres alors que ta main caresse toujours les cheveux de Bow.
Tu sais… il m’a demandé de l’épouser il y’a environ une semaine… Et… j’ai dis oui. Et il… enfin, je voudrais adopter Myra, pour qu’elle soit officiellement notre fille. Il est d’accord, il était même ravi de cette nouvelle. Je… on est fait pour être ensemble, il est mon oxygène tu comprends?
Tu ignorais si Bowen avait mit sa sœur au courant de votre situation amoureuse. Notamment le fait qu’il t’avais demander en mariage. Mais dans la situation actuelle çà t’étais égal. Tout ce qui comptais c’était qu’il ouvre ses beaux yeux bleus. Et, à ton grand soulagement, ce moment ne tarde pas à arriver. Tu lui parles, tu lui dis à quel point tu as besoin de lui. Et c’est à ce moment là qu’il remue doucement, ouvre les yeux et trouves même la force de se plaindre. Tu écarquilles les yeux et sèche tes larmes.
Oh mon amour!Tu t’approches de lui et pose les mains sur ses joues. Tu couvre son visage de baisers. Mon ange! Tu embrasses son front, sa tempe, encore et encore. Tu caresses sa joue et sa mâchoire. Ça va mon amour?
Sa sœur approche à son tour et s’occupe du côté plus médical. Elle surveille les constantes de son frère et règle le moniteur de façon à ce qu’il fasse moins de bruit. T’es tellement soulagée qu’il soit réveillé, t’es folle de joie. Mais il a aussi l’air mort de fatigue alors tu évites de lui parler ou de lui poser des questions pour éviter qu’il ne se fatigue. Tu commences enfin à pouvoir respirer normalement à nouveau. Tu pourrais le regarder toute la nuit. Tu lui souris, caressant ses cheveux.
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Tu sais… il m’a demandé de l’épouser il y’a environ une semaine… Et… j’ai dis oui. Et il… enfin, je voudrais adopter Myra, pour qu’elle soit officiellement notre fille. Il est d’accord, il était même ravi de cette nouvelle. Je… on est fait pour être ensemble, il est mon oxygène tu comprends? La voix douce de Arrow te parvient comme une mélodie douce et légère. Un murmure qui raisonne dans ton coeur et dans tout ton être. Tu vibres d'intensité à chacune de ses paroles, chaque mot qu'elle prononce. Car ce moment indéniablement magique que vous avez partagés lorsque tu as fait ta demande en mariage. Demande surprise, dont tu n'étais pas tout à fait prêt, mais tu as tenté le tout pour le tout, pour elle, pour vous, votre amour, votre couple. Vous êtes solides, et si heureux. Vous étiez... Car te voilà nouveau au fond d'un lit, contusionné, blessé, en convalescence. Tu t'es fait fracasser la gueule. Tu sais très bien qui est derrière tout ça, et ton sang bouillonne, ne fait qu'un tour à cette simple idée. Ton coeur tambourine. Le bruit incessant du cardio qui raisonne dans la pièce.
Quand tu ouvres les yeux, quand tu prononces quelques mots, quand tu décides de te plaindre plutôt que de lui crier ton amour, ta peur, elle s'agrippe à toi comme si c'était une évidence. Elle a les yeux encore emplis de larmes, rouges, gonflées. Elle a le visage si fatigué. Elle semble si démuni par cette situation, ce nouveau drame qui survient dans votre vie. Drame qui aurait pu t'être fatal, Bowen, tu en as totalement conscience. Des baisers pleins la peau. Peau qui te brûle, comme au premier jour, à la première étreinte. Tu échappes un sourire fin, léger, timide à la commissure de tes lèvres.
Je vais bien, je vais bien.
Tu répètes, doucement. Tandis que Malia, ta soeur, vérifie tes constantes et remplit quelques documents, silencieuse, mais le coeur léger. Un sourire et un regard taquin sur son visage, tu sens qu'elle aura beaucoup de questions à te poser quand vous serez seuls tous les deux. Tu n'as pas eu le temps de parler à Malia de ta demander. C'était soudain. C'était prévu, mais soudain. Tu voulais faire ça dans les règles de l'art à la base. Un dîner aux chandelles, une soirée en amoureux, et une demande en mariage avec vue sur le lac un soir de pleine lune. C'est un peu raté pour ça, Bowen, mais tu le feras pour renouveler vos voeux dans quarante ans, si votre couple tient d'ici là.
Ton attention se reporte sur Arrow qui ne te lâche pas d'une semelle. Sa main scotché à la tienne, tu serres doucement sa main. Allongé de tout ton long, tu voudrais te relever mais la douleur dans tes côtes est trop insoutenable pour le moment. Tu grimaces d'ailleurs quand un point de douleur te paralyse littéralement dans un mouvement. Tu soupires. Tu sens que ça va être plus difficile que prévu de sortir de cet hôpital de malheur.
Tu n'es pas aller à l'appartement, hein bébé ?
Le regard effrayé, tu réalises. Tu réalises l'état de l'appartement quand tu t'es effondré, ensanglanté au milieu du salon. Tu réalises ce qui aurait pu lui arriver. A elle... L'amour de ta vie. Tu serres encore plus fort sa main. T'aimerais sortir de ton lit et aller les éclater, mais t'es incapable de tout ça, Bowen. Game Over... comme on dit.
Quand tu ouvres les yeux, quand tu prononces quelques mots, quand tu décides de te plaindre plutôt que de lui crier ton amour, ta peur, elle s'agrippe à toi comme si c'était une évidence. Elle a les yeux encore emplis de larmes, rouges, gonflées. Elle a le visage si fatigué. Elle semble si démuni par cette situation, ce nouveau drame qui survient dans votre vie. Drame qui aurait pu t'être fatal, Bowen, tu en as totalement conscience. Des baisers pleins la peau. Peau qui te brûle, comme au premier jour, à la première étreinte. Tu échappes un sourire fin, léger, timide à la commissure de tes lèvres.
Je vais bien, je vais bien.
Tu répètes, doucement. Tandis que Malia, ta soeur, vérifie tes constantes et remplit quelques documents, silencieuse, mais le coeur léger. Un sourire et un regard taquin sur son visage, tu sens qu'elle aura beaucoup de questions à te poser quand vous serez seuls tous les deux. Tu n'as pas eu le temps de parler à Malia de ta demander. C'était soudain. C'était prévu, mais soudain. Tu voulais faire ça dans les règles de l'art à la base. Un dîner aux chandelles, une soirée en amoureux, et une demande en mariage avec vue sur le lac un soir de pleine lune. C'est un peu raté pour ça, Bowen, mais tu le feras pour renouveler vos voeux dans quarante ans, si votre couple tient d'ici là.
Ton attention se reporte sur Arrow qui ne te lâche pas d'une semelle. Sa main scotché à la tienne, tu serres doucement sa main. Allongé de tout ton long, tu voudrais te relever mais la douleur dans tes côtes est trop insoutenable pour le moment. Tu grimaces d'ailleurs quand un point de douleur te paralyse littéralement dans un mouvement. Tu soupires. Tu sens que ça va être plus difficile que prévu de sortir de cet hôpital de malheur.
Tu n'es pas aller à l'appartement, hein bébé ?
Le regard effrayé, tu réalises. Tu réalises l'état de l'appartement quand tu t'es effondré, ensanglanté au milieu du salon. Tu réalises ce qui aurait pu lui arriver. A elle... L'amour de ta vie. Tu serres encore plus fort sa main. T'aimerais sortir de ton lit et aller les éclater, mais t'es incapable de tout ça, Bowen. Game Over... comme on dit.
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Bowen tente de te rassurer en affirmant qu’il va bien mais tu voit bien que ce n’est pas le cas. Il est dans un sale état. Mais le plus important c’est qu’il soit en vie, rien d’autre ne compte à tes yeux en ce moment. Son petit sourire en coin te donne envie de le couvrir de baisers mais tu as peur de lui faire mal. Il a l’air tellement faible et tellement fragile en ce moment. Tu te contente de prendre sa main et d’y déposer des tonnes de baisers. Tu fronces les sourcils quand il grimace de douleurs. Tu le signales immédiatement à Malia et lui demande si il peut avoir quelque chose pour le soulager. Ça te tue de le voir souffrir. Tu aimerais ressentir la douleur à sa place. Malheureusement c’est impossible.
Tu as été à l’appartement. Évidement que tu as été à l’appartement.
Chuuut… reposes toi mon ange. Je vais t’es bien. Tu dois te concentrer sur toi et sur ta guérison. D’accord?
Tu te penches et embrasses son front. Sa main toujours dans la tienne, tu ne cesses de l’embrasser. Tu ne laissera plus personne toucher à un seul de ses cheveux. Malia va se prendre des informations auprès de ses confrères qui ont opéré Bowen et vous vous retrouvez seuls tout les deux dans la chambre. Tu baisses la tête pour cacher tes larmes, posant le front sur son bras.
J’ai eu tellement peur de te perdre… tellement peur que tu ne te réveilles jamais… j’aurai pas survécu si tu étais…
Tu ne peux pas finir ta phrase. Tu ne peux même pas me imaginer son départ définitif.!
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Putain, Arrow, je t'aime, tu le sais ça ?
C'est sorti tout seul, comme une mélodie douce d'une chanson qui annoncerait tout l'amour d'un homme pour la femme de sa vie. Clairement, tu as bien cru crever, Bowen. Ne plus jamais revoir Arrow, son sourire, sa douceur, sa beauté, son amour. Ne plus partager tout ça. L'observer pleurer votre amour de là haut, ça aurait été insoutenable. Aussi insoutenable que de ne pas avoir l'occasion de voir ton enfant, ta seule et unique fille, grandir, et faire sa petite vie de princesse dans ce monde pleins de noirceur. Elle a eu si peur... Et toi aussi.... Si peur de la perdre définitivement, à jamais. Tu frissonnes à cette simple idée. Arrow à tes côtés, le coeur battant, les tempes chaudes, car, malgré tout l'amour que tu as pour elle, tu te sens mal après une opération délicate. Tu te sens mal après avoir frôler la mort. Tu déglutis difficilement, fermes les yeux.
J'ai cru que t'étais là bas... J'ai cru qu'on allait te faire du mal et... J'ai rien pu faire, Arrow. L'appartement... Nos souvenirs...
Ta voix saccadé, ta respiration se coupe, tu haches les mots car au fond, t'es bouleversé, Bowen. Décontenancé par la maladresse de votre relation, par la tristesse qui vous emplit, par la violence qui n'a pu t'échapper de peur qu'il lui arrive vraiment quelque chose.
Je te promets que plus jamais ça n'arrivera, Arrow, ok ?
Ta main se glisse avec douleur jusqu'à sa joue. Tu grimaces, mais tu t'en fous. T'as besoin d'elle, de la toucher, de sentir qu'elle est près de toi. Tu plantes ton regard dans le sien, en inspirant profondément. Elle est censé devenir ta femme, alors pourquoi pas vous mariez maintenant, hein, Bowen ? Dans ce foutu hôpital, dans ce lit où t'es en train de crever ?
Viens on se marie, maintenant ? Malia peut faire la cérémonie, je m'en fou. Je crèverais de savoir que tu ne t'appelles pas Collins avant la fin de la journée. J'ai... Je suis fou de toi, Arrow, et j'ai conscience que tout ça c'est... J'aurais jamais dû provoquer le gang, j'aurais jamais dû participer à leurs conneries y a des années... Mais, sans ça, je ne t'aurais jamais connue, bébé.
Ca te rend romantique d'être alité, Bowen. C'est assez drôle finalement.
C'est sorti tout seul, comme une mélodie douce d'une chanson qui annoncerait tout l'amour d'un homme pour la femme de sa vie. Clairement, tu as bien cru crever, Bowen. Ne plus jamais revoir Arrow, son sourire, sa douceur, sa beauté, son amour. Ne plus partager tout ça. L'observer pleurer votre amour de là haut, ça aurait été insoutenable. Aussi insoutenable que de ne pas avoir l'occasion de voir ton enfant, ta seule et unique fille, grandir, et faire sa petite vie de princesse dans ce monde pleins de noirceur. Elle a eu si peur... Et toi aussi.... Si peur de la perdre définitivement, à jamais. Tu frissonnes à cette simple idée. Arrow à tes côtés, le coeur battant, les tempes chaudes, car, malgré tout l'amour que tu as pour elle, tu te sens mal après une opération délicate. Tu te sens mal après avoir frôler la mort. Tu déglutis difficilement, fermes les yeux.
J'ai cru que t'étais là bas... J'ai cru qu'on allait te faire du mal et... J'ai rien pu faire, Arrow. L'appartement... Nos souvenirs...
Ta voix saccadé, ta respiration se coupe, tu haches les mots car au fond, t'es bouleversé, Bowen. Décontenancé par la maladresse de votre relation, par la tristesse qui vous emplit, par la violence qui n'a pu t'échapper de peur qu'il lui arrive vraiment quelque chose.
Je te promets que plus jamais ça n'arrivera, Arrow, ok ?
Ta main se glisse avec douleur jusqu'à sa joue. Tu grimaces, mais tu t'en fous. T'as besoin d'elle, de la toucher, de sentir qu'elle est près de toi. Tu plantes ton regard dans le sien, en inspirant profondément. Elle est censé devenir ta femme, alors pourquoi pas vous mariez maintenant, hein, Bowen ? Dans ce foutu hôpital, dans ce lit où t'es en train de crever ?
Viens on se marie, maintenant ? Malia peut faire la cérémonie, je m'en fou. Je crèverais de savoir que tu ne t'appelles pas Collins avant la fin de la journée. J'ai... Je suis fou de toi, Arrow, et j'ai conscience que tout ça c'est... J'aurais jamais dû provoquer le gang, j'aurais jamais dû participer à leurs conneries y a des années... Mais, sans ça, je ne t'aurais jamais connue, bébé.
Ca te rend romantique d'être alité, Bowen. C'est assez drôle finalement.
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Tu relèves les yeux vers lui avant d’acquiescer en hochant la tête. Oui, tu sais qu’il t’aime. Il t’aime à en crever, tu n’as aucun doute la dessus, tu l’as toujours su même quand lui en doutait, même quand à ses yeux tout était terminé, quand il ne voulait plus de toi. Quand pendant 5 ans, il t’as repoussé. Tout ce temps, tu savais qu’il continuait de t’aimer malgré tout. Tu as continuer d’y croire pour vous deux quand lui n’y croyait plus, quand il avait tiré un trait sur toi. Tu poses un doigt sur sa bouche.
Chut…. Hey… hey… bébé c’est rien. Calmes toi mon amour. L’appartement, les souvenirs, ce n’est pas ça qui compte. Tout ce qui compte à mes yeux c’est que tu sois en vie. On se construira d’autres souvenirs. Je te jure que je ne les laisserai pas nous voler l’avenir qui nous attends, le bonheur qui nous attends. On va être heureux, je te le promet. Dans cet appartement ou ailleurs…
Ailleurs… tu avais supplier Bowen de partir plus d’une fois. Même avant la prison. Quand il avait décidé de quitter le gang mais que son chef ne l’entendait pas de cet oreille. Tu avais proposé à Bowen de quitter la ville, de partir loin, de changer d’état, de pays même si il le fallait. Rien que vous trois, lui, Myra et toi. Mais il avait toujours refusé, il avait dit qu’ils nous retrouveraient, il disait sans cesse qu’il avait des choses à régler avec eux, que partir ne servirait à rien. Vous n’aviez jamais trouvé de terrain d’entendre à ce niveau là. Et aujourd’hui encore, un départ définitif était une bonne solution à tes yeux. Mais ce n’est certainement pas le moment de contrarier Bowen.
« Viens on se marie, maintenant? » Tu écarquilles les yeux à mesure qu’il te fait part de son besoin urgent de t’épouser. Puis il fait son mea culpa quant à ses années dans un gang. Tu caresses ses cheveux et souris.
‘Ne regrettes rien. Tout nos choix, les bons comme les mauvais, nous on menés à ce moment. Te rencontrer est la meilleure chose qui me soit jamais arrivé. Malgré les difficultés qu’on a rencontrés toutes ces années, je ne regrette rien. Les épreuves qu’on a traversé ensemble nous ont soudés, nous on fait devenir plus forts. Tu m’as aidé à grandir, à forger la femme que je suis aujourd’hui. Je n’était qu’une gamine de 18 ans quand on s’est rencontré. Et… je suis une femme heureuse aujourd’hui , depuis que tu as ouvert les yeux. Parce que je n’ai besoin de rien de plus que toi et Myra. Ok, on se marie, maintenant. Laisse-moi juste une heure ou deux pour… organiser tout ça.
Tu te penches sur lui pour l’embrasser avec douceur. Tu l’embrasserais bien avec plus de passion mais tu as peur de lui faire mal, son visage est entièrement tuméfié. Tu le regarde en riant.
On va se marier aujourd’hui… à l’hôpital…. Il n’y a que toi pour me faire faire un truc pareil!
Tu éclates de rire, de joie.
C’est complètement fou. Mais je t’aime tellement Bowen Collins… Je suis si fière de devenir ta femme, que tu deviennes mon… mon mari. Tu vas être mon mari Bowen, tu te rends compte? T’es sûr que t’es prêt pour ça ?
Tu ris à nouveau. Tu n’as jamais été aussi heureuse. Tu embrasses son front avant de dégainer ton téléphone pour rechercher les démarches pour un mariage… express.
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Ca te fait un bien fou. Un bien vraiment immense, d'avoir Arrow à tes côtés. La nuit semble se lever. C'est sûrement le petit matin, et Arrow a veillé sur toi toute la nuit durant. Jusqu'à ce que tu te réveilles, que tu ouvres les yeux, que tu découvres son minois empli de larmes. Ca te brise le coeur d'imaginer la femme de ta vie perdre espoir sur votre amour, votre futur, juste à cause de bâtards qui voulaient ta mort, Bowen . Tu soupires, ta main accroché à la sienne, pour toujours et à jamais.
Mon bonheur c'est toi, tu sais...
Tu glisses dans un souffle léger, presque inaudible. Comme un secret que tu ne voudrais pas avouer. Malia a quitté la pièce discrètement, vous laissant une intimité. Vous laissant dans votre bonheur de vous retrouver enfin. T'inspires profondément. Tes côtés te font mal, t'en as rien à faire, car le simple fait de sentir le parfum de Arrow, de la voir là, te remplit de bonheur. C'est comme si elle était ton adrénaline. Comme si elle était la morphine qui évacue la douleur. Au contraire, tes sens sont si aiguisés, que là toute suite, tu serais capable de lui faire l'amour, même avec la tête rafistolé.
Tu éclates un léger rire en découvrant une Arrow excitée à l'idée de devenir ta femme.
Ta femme.
Oui, la tienne.
Pour toujours, Bowen.
Tu frissonnes légèrement. Cette simple pensée ne te laisse pas indifférent, non. Tu voulais l'épouser, il y a cinq ans. L'épouser et faire d'elle une femme comblé, aimée, choyée. L'unique amour de ta vie, jusqu'à la fin de tes jours. Alors, oui, t'es capable de l'épouser toute suite. T'es capable de tout pour elle, Bowen. Même mourir pour elle, tu le ferais.
Myra sera pour toujours ta fille, Arrow. Même si ce n'est qu'un nom, même si ce n'est qu'un ADN. Myra est faite pour être... Avec toi, à toi, notre fille. Je n'ai besoin que de vous.
Te rappeler de la belle Arrow de dix huit ans te fait sourire intérieurement. Oui, mademoiselle a bien changé, a grandi. Elle t'a foutu dans de beaux draps, y a cinq ans, pour mieux rebondir et être la plus intense femme au monde à tes yeux.
Euh... Ouais ouais, tu veux d'un mari estropié alors ?
Tu échappes un léger rire rauque, bien que ta lèvre te fasse mal.
Oh oui qu'elle te veut, Bowen.
Tu l'observes clapoter sur son téléphone, en souriant.
Elle est juste merveilleuse... Vraiment...
Je pense que j'ai besoin d'un peu de repos...
Ta tête te tourne doucement, tu fermes les yeux. Le taux d'adrénaline est sûrement trop fort. La tension est bien trop intense. Après une si forte bagarre, t'aurais bien besoin d'un peu de repos. Mais t'as peur de fermer les yeux, et la perdre à jamais...
Mon bonheur c'est toi, tu sais...
Tu glisses dans un souffle léger, presque inaudible. Comme un secret que tu ne voudrais pas avouer. Malia a quitté la pièce discrètement, vous laissant une intimité. Vous laissant dans votre bonheur de vous retrouver enfin. T'inspires profondément. Tes côtés te font mal, t'en as rien à faire, car le simple fait de sentir le parfum de Arrow, de la voir là, te remplit de bonheur. C'est comme si elle était ton adrénaline. Comme si elle était la morphine qui évacue la douleur. Au contraire, tes sens sont si aiguisés, que là toute suite, tu serais capable de lui faire l'amour, même avec la tête rafistolé.
Tu éclates un léger rire en découvrant une Arrow excitée à l'idée de devenir ta femme.
Ta femme.
Oui, la tienne.
Pour toujours, Bowen.
Tu frissonnes légèrement. Cette simple pensée ne te laisse pas indifférent, non. Tu voulais l'épouser, il y a cinq ans. L'épouser et faire d'elle une femme comblé, aimée, choyée. L'unique amour de ta vie, jusqu'à la fin de tes jours. Alors, oui, t'es capable de l'épouser toute suite. T'es capable de tout pour elle, Bowen. Même mourir pour elle, tu le ferais.
Myra sera pour toujours ta fille, Arrow. Même si ce n'est qu'un nom, même si ce n'est qu'un ADN. Myra est faite pour être... Avec toi, à toi, notre fille. Je n'ai besoin que de vous.
Te rappeler de la belle Arrow de dix huit ans te fait sourire intérieurement. Oui, mademoiselle a bien changé, a grandi. Elle t'a foutu dans de beaux draps, y a cinq ans, pour mieux rebondir et être la plus intense femme au monde à tes yeux.
Euh... Ouais ouais, tu veux d'un mari estropié alors ?
Tu échappes un léger rire rauque, bien que ta lèvre te fasse mal.
Oh oui qu'elle te veut, Bowen.
Tu l'observes clapoter sur son téléphone, en souriant.
Elle est juste merveilleuse... Vraiment...
Je pense que j'ai besoin d'un peu de repos...
Ta tête te tourne doucement, tu fermes les yeux. Le taux d'adrénaline est sûrement trop fort. La tension est bien trop intense. Après une si forte bagarre, t'aurais bien besoin d'un peu de repos. Mais t'as peur de fermer les yeux, et la perdre à jamais...
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