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La vie pas si secrete des soldats du feu
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Robin Purefoy
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Robin Purefoy
Carnet de bord : UC
Pseudo : Corwin
Faceclaim : Sebastian Stan
Présence : Présent.e
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Âge : 36 ans
Statut civil : Celibataire
Métier : Pompier
Habitation : Un appartement pas loin de la caserne (Town Hill) avec encore des cartons pas defaits dedans
Triggers : aucun
Warnings : Ceux liés au metier de pompier + coeur brisé + potentiel langage un peu cru
Messages : 45



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Certes, la caserne n’est peut-être pas très grande mais on n’a rien a envier a celles des plus grandes villes. Spacieuse, bien équipée, avec des effectifs largement suffisants en hiver, je me demande ce que ca donnera en période estivale. Tout le monde a l’air de survendre l’endroit comme « place to be » pour les touristes. Personnellement, même si tout a un petit gout de station balnéaire anglaise, j’ai du mal à imaginer l’endroit pris d’assaut. Dans tous les cas, je me suis déjà inscrit pour mettre le slip rouge et donner de mon corps, si besoin, sur les plages. Mon côté altruiste, évidemment.

Aujourd’hui il y a eu un carambolage important, le gros des effectifs est donc en mission alors que je revenais avec Tsuneo et Jaxon d’un sauvetage de chat. On reste en petite effectif à garder la caserne. C’est un peu le moment de la pause pour nous trois, mais quand on connait le rythme des gardes et comment s’enchainent les alertes, même minimes, on ne sait qu’il faut en profiter.   Je termine de faire réchauffer le plat de pates et la sauce pour l’apporter sur la table ou sont mes deux camarades.

« Bon appétit ! »

Je sers les assiettes et n’attend pas plus pour attaquer la mienne comme un ado affamé. Depuis ce matin que tout s’enchaine, je n’ai même pas eu le temps de manger ce midi. Autant dire que je flippe de devoir partir en intervention le ventre vide. Je vide mon verre d’eau avec la même rapidité et manque de m’etouffer :

« Le prochain chat a aller chercher sur le toit, je passe mon tour pour la grimpette. Celui là, c’était un croisé puma et lion enragé, il m’a presque labouré la main. »

Je montre les petites entailles sur ma main que j’ai eu le malheur de déganter pour rassurer l’animal. Le gentil petit minou en avait profité pour montrer son vrai visage et m’attaquer en traite. Surement que c’était une femelle. Avant de reprendre une bonne fourchette, je tente de demander, un peu amusé :

« Allez, c’était quoi votre intervention la plus pourrie du genre "on en rigole encore" que vous ayez eue ? Promis, ca sortira pas d’ici ! Et celui qui a l’histoire la plus débile gagne un joker au prochain sauvetage de félin belliqueux. »




Tsuneo Montgomery
membre de la dream team
Tsuneo Montgomery
Pseudo : Mag'
Faceclaim : Harry Shum Jr (mag-creations)
Multicomptes : A. Strand, L. Vera, S. Almeida, A. Antonelli
Présence : Présent.e
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Âge : 39 ans (14/11/1984)
Statut civil : Veuf, les années de nos souvenirs ensemble sont gravés en moi et ne disparaîtront jamais, comme un tatouage réalisé au fond de mon âme. Certaines personnes parlent de tourner la page, mais même si je voulais le faire, je ne saurais pas comment m'y prendre.
Métier : Chef adjoint des pompiers. Je n'aurais absolument jamais cru en arriver là quand j'ai décidé de devenir chirurgien, mais abandonner cette formation a été le meilleur choix que j'aurais pu faire.
Habitation : Une petite maison au niveau d'Otter Creek. Je n'aurais jamais pensé pouvoir vivre dans un tel quartier, mais apparemment j'ai eu de la chance.
Triggers : Viol, il peut être discuté mais pas en détail
Warnings : Mort, orphelinat, perte d'un mari, underco
Rp : Français+anglais, 300+ mots, première personne
Dialogue : #339966

En cours : 4/5
Arthur#1 - Ophelia#1 - Robin#1 - Pompiers

Messages : 154
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La vie pas si secrète des soldats du feu




Aujourd'hui, les effectifs de la caserne avaient été divisés. Si une bonne partie de l'équipe était partie depuis un bon bout de temps pour intervenir sur un carambolage, on était quatre à être restés derrière : Jaxon, Robin, Maxim et moi. On avait fait pas mal de petites interventions et la dernière en date était une assez basique : un chat bloqué en haut d'un toit. Rien de bien compliqué en apparence, si on oubliait le fait que Robin s'était fait détruire par le félin en question. On le sait tous les trois, il va falloir qu'on profite de la pause repas parce qu'elle ne sera probablement pas bien longue. A peine arrivés à la caserne, le plat se retrouve sur la table avant que l'on ne s'installe tous les trois autour. « Bon appétit ! » A peine mon assiette servie, je prends ma première bouchée, appréciant la saveur -et la chaleur- de cette dernière. Bordel, ça fait du bien après avoir passé autant de temps dehors.

Un rire s'échappe d'entre mes lèvres alors que Robin commence à parler à nouveau de sa rencontre assez... Mouvementée avec le chat en question. Je lève les yeux au ciel. « Franchement t'abuses, il était adorable ce chat ! Une fois qu'il était chez lui quoi. » Et dans les bras de sa maîtresse, disons les choses. La maîtresse en question, d'ailleurs, avait été paniquée pendant tout le long de l'intervention, non pas parce qu'un homme avait fini sur son toit, mais parce que son chat y était. C'était une de ses femmes un petit peu.. Hystériques, disons. « En vrai, tu parles du chat, mais sa propriétaire était pas mieux. Bon sang, je pensais pas que c'était possible d'avoir une voix aussi aigüe. » Et autant dire les choses, elle nous avait juste pas lâchés d'une semelle, Jaxon et moi. « D'ailleurs Jaxon, respect pour ta patience, elle te lâchait encore moins qu'elle me lâchait moi. » Et clairement, c'était pas peu dire. Si Robin était le sauveur de son félin de compagnie, elle avait décidé que Jaxon serait le sien, ou un truc de ce genre. Au final, Maxim avait clairement celle qui avait été la moins à plaindre, dans cette intervention.

Nouvelle bouchée de nourriture avalée, je réfléchis quelques secondes à la question qu'il nous pose, un léger sourire s'étirant sur mes lèvres alors que je trouve la réponse que je vais donner. « Ok, ok, j'en ai une. » Je prends une gorgée d'eau avant de reprendre la parole. « C'était à LA, j'sais pas où t'étais toi d'ailleurs, je crois que t'étais en congés, quelle idée. » Je m'étais tourné vers Robin quand je m'étais adressé à lui, avant de me retourner vers Maxim et Jaxon par la suite. « On a été appelés dans un strip club en pleine nuit, gros bordel. En plus des gens complètement torchés sur place, t'avais une strippeuse qui s'était blessé. Genre elle s'était foulé un truc je crois, dans mes souvenirs. C'est moi qui me suis occupé d'elle, et autant vous dire qu'elle était hystérique. Genre vraiment, ingérable. Au début elle était ingérable parce qu'elle avait mal, après elle était ingérable parce qu'elle essayait de m'enlever mon alliance. Genre je vous jure, elle voulait pas la voir, d'après elle j'étais, je cite, trop intéressant pour être marié. Autant vous dire que ça m'a jamais lâché, cette histoire. » Elle avait été insupportable, cette intervention, en plus d'être interminable. « Ceci dit, on a fini par réussir à la mettre à l'arrière d'une ambulance, mais bordel ça a pas été facile. »


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I have a wonderful shelter, which is my family.
Tsuneo Montgomery ☽ Not flesh of my flesh, nor bone of my bone. But still miraculously my own. Never forget for a single minute, you didn’t grow under my heart but in it.
Maxim Shepherd
where do we go now ?
Maxim Shepherd
Pseudo : Kiliroy
Faceclaim : Danielle Savre by (SCHIZOPHRENIC)
Multicomptes : Aucun pour le moment.
Présence : Présent.e
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Âge : 35 ans au compteur et l'amer sentiment d'être revenu au point de départ.
Statut civil : Célibataire. Elle a quelques relations d'un soir, mais à son âge, elle cherche à se poser, à trouver du sens et à enfin compter pour quelqu'un. Elle veut se réveiller avec sa partenaire dans ses bras et ne plus rentrer dans un appartement vide et toujours aussi impersonnel que lorsqu'elle a déménagée à Bar Harbor.
Métier : Pompier à Bar Harbor Fire Department Station. Pompier, depuis plusieurs années. Cela a toujours été une évidence pour Maxim. Elle est plus que passionnée par son travail. C'est devenue toute sa vie. Elle a travailler dur pour monter en grade, prendre de l'importance. Tout ça pour recommencer à zéro à son âge en changeant de caserne. Y avait déjà un shérif en ville !
Habitation : Un petit appartement encore impersonnel. Ce n'est pas qu'elle n'a pas eu le temps d'aménager l'intérieur, c'est qu'elle ne se soucie pas de la décoration intérieure.
Triggers : Je n'en ai pas vraiment, mais l'important c'est de discuter des limites avant de RP.
Warnings : Autisme, blessures, SPT
Messages : 11

Bar Harbor Fire Department Team
La vie pas si secrète des pompiers


Maxim avait intégrée la caserne de Bar Harbor à son arrivée dans le coin. Elle s'était intégrée auprès de ses nouveaux collègues pour se faire une place au sein de l'équipe. Elle avait appris à les connaître, même si elle était toujours un peu sur la réserve. Elle n'osait pas parler des raisons qui l'avait pousser à quitter Atlanta pour une cité de plus petite ampleur. Cela faisait un changement radical dans sa vie. La caserne était plus petite et les interventions étaient différentes. Elle n'était plus une bleue, mais elle avait jouer le jeu à son arrivée, avec les taquineries des nouveaux collègues, un genre de petit bizutage, comme à la sortie de l'académie. Néanmoins, la blonde avait noter que la caserne était bien équipée, avec une salle de repos, une salle d'entraînement. Elle entendait ses collègues parler d'un afflux de touristes en été et elle attendait de voir ça. Cela animerait un peu les journées.

Comme celle-ci par exemple où Maxim se retrouvait à garder la caserne et à faire du standard pendant que ses collègues s'occupaient d'un carambolage. Au lieu de sauver des vies, elle répondait au téléphone et accueillait quelques visiteurs pour s'occuper de changer les piles d'une alarme incendie. Une autre partie de l'équipe était sur une mission annexe, un sauvetage de chat. Cela l'avait bien fait rire et elle les avait laisser partir. Ils étaient bien assez de trois pour descendre un chat d'un arbre ou d'un toit. Quand ils étaient revenus, elle avait échangé son poste avec un de ses collègues et rejoint les trois autres dans la cuisine pour dîner. Elle remercie son camarade qui leur sert des assiettes. Elle l'observe se jeter sur son plat et fronce un sourcil.

« JOn dirait que tu n'as pas manger depuis huit jours ! »

Maxim écouta ensuite ses collègues parler de la dernière intervention. Elle esquisse même un sourire amusé en entendant le commentaire de son collègue et laisse échapper un petit rire.

« JTu t'es fait défoncer par un chat ! »

Ensuite, l'équipe parla de la propriétaire du chat rebelle qui avait semblé mener la vie dure à ses collègues. Elle dégustait ses pâtes en écoutant ses collègues. Robin avait lancer un autre sujet, à savoir celui des interventions insolites et elle était curieuse d'en savoir davantage. Maxim aussi doit réfléchir à sa réponse. Des interventions, elle en a des centaines à son compteur. Et elle ne se souvient pas de toutes. Les plus marquantes sont souvent les plus dures. Une en particulier. Et bien sûr, celles durant lesquelles ils perdent les leurs. C'est le risque du métier. Maxim en a toujours conscience. Une part d'elle sait bien qu'elle pourrait ne pas rentrer chez elle un soir, mais elle n'y pense pas. C'était au tour de Max de donner sa réponse et elle sentait bien quelques regards braqués sur elle.

« C'est dur à trouver comme intervention. Mais je me souviens d'une quand j'étais à Atlanta. Disons que c'est bien moins croustillant qu'un club de strip-tease et des paillettes, mais on s'est retrouvés dans une patinoire. La machine pour le sol était devenue incontrôlable. Je crois que le gars dessus avait glissé et était tomber sur le coccyx. On ne savait pas trop comment l'arrêter. Et j'ai jamais su patiner. Mais je pouvais pas ne rien faire. Je me suis jamais sentie aussi inutile. Même en étant coller au standard derrière un bureau. Bref, j'ai passé toute l'intervention sur les fesses, à essayer de me relever pour glisser aussitôt. La légende a raconté que si mes collègues ne m'avaient pas aider, j'y serais toujours. »

Elle avait continué de manger tout en parlant de cette intervention, qui avec le recul, et les années, la faisait maintenant sourire. Mais ça n'avait pas été le cas quand ses anciens collègues l'avaient charriés pendant six mois avec cette maudite histoire. Mais bon, en comparaison à cette attaque de félin, elle ne s'en sortait pas si mal.
AVENGEDINCHAINS
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