La mécanique de l'irish coffee [William Wilson]
2 participants
Morris Woodyard
where do we go now ?
Pseudo : Rusticus / il
Faceclaim : Clive Standen / PP : Lux
Présence : Présent.e
Âge : 43 ans (12/01/1981)
Statut civil : Veuf
Métier : Bucheron au Jefferson’s lumber,
Warnings : alcoolisme, grossiéreté, décés, maladie
Messages : 20
La mécanique de l'irish coffee. × ft. William Wilson
Avant de rentrer, part avant, pour un coup, avant d'arriver dans cette sorte d’accueil. William étant déjà occupé avec une cliente qui viens sûrement récupérer son véhicule, un simple coup de tête en avant pour dire bonjour, avant de patiemment attendre sur le côté, le laissant à son business. Quelques minutes plus tard, la dame part avec les clefs de sa caisse, a ton tour de laisser ta corpulence de mammouth laineux s'appuyer sur le comptoir. '' Salut mon gros.'' que tu viendras dire, un rictus gravé sur le coin de tes lèvres, tendant la main pour lui serrer avant de poser le thermos de café. '' J'me suis dis que t'avais besoin d'un remontant et d'un coup de patte. Ou juste de compagnie.'' Ou du moins... est-ce plutôt toi qui as besoin de compagnie ? Mystère et boule de gomme, comme les jeunes diraient. Tu te décales du comptoir avant de suivre la bête qui règne en maître ici dans son atelier. '' Quoi d'beau d'prévu pour aujourd'hui ? '' |
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William Wilson
where do we go now ?
Fiche de présentation : https://alldelightedpeople.forumactif.com/t2115-i-hurt-myself-today-william-wilson
Pseudo : Rip il et he
Faceclaim : Hugh Jackamn (pinterest)
Multicomptes : Adam le monstre et Charlie le violoniste
Présence : Présent.e
Âge : 49 ans
Statut civil : veuf
Métier : Mécanicien en tout genre (voiture, diesel, électrique et petit moteur)
Habitation : Appartement au second étage de son atelier mécanique
Triggers : Aucun
Warnings : Langage crue, violence, guerre, perte de l'être cher, dépression
Messages : 4
Chaque jour naissait des suites d’une nuit où le sommeil se moquait littéralement du vétéran qui avait vu son univers se faire annihiler par deux fois au même instant par la folie des hommes et de leurs instincts de violence incontrôlable. Chaque fois que Morphée réussissait de peine et de misère à saisir l’esprit traumatisé au-delà de la raison du bellâtre musculeux et devenu autant reclus que grognon, les mêmes images revenaient en boucles pour arracher l’homme du repos qui se voulait être récupérateur dans un sursaut d’horreur et poussa un pathétique cri de terreur. La nébuleuse meurtrière qui zébrait la pureté d’azur du ciel pour percuter la carlingue du véhicule d’évacuation sur ce ce lieu d’escarmouche qui avait naquis lors d’un désaccord pour le partage des ressources primaires entre deux nations. Le regard du couple qui devait quitter ensemble les forces armés des États-Unis pour vivre librement leurs amours qui se croise un instant avant la destruction de l’univers de William. Les lippes sensuelles et qui goûtaient le paradis de celle qui avait conquis le palpitant du robuste briscard qui formaient un « Je t’aime» avant que la faux de la Faucheuse ne coupe le filin de sa vie et broie les rêves de l’homme qui ne voulait que rejoindre son amour dans le brasier qui allait percuter le sol dans une lenteur presque hypnotique qui semblait être issue d’un mauvais rêve. Retour à la base et découverte de ce test de grossesse positif qui aurait illuminer l’existence du musculeux homme au regard de ténèbres.
Pour essayer d’échapper à la souffrance, la tristesse et l’amertume de ce destin moqueur qui lui avait tout arracher, le vétéran de tant de souffrances s’était lancer dans trois actions qui lui permettait de s’arracher quelques peu de ses souvenirs affreux. La mécanique avait ce côté lunatique et familier qui empêchait le débrouillard homme vindicatif et grognon de trop songer au passé tortueux. Quand le garage familiale fermait, le vétéran ayant l’attitude d’un ours mal léché, voir un glouton dont la bestialité latente charmait sans savoir pourquoi bien des femmes, le musculeux homme se lançait dans l’entraînement physique juste à épuisement. La troisième était le fond des bouteilles qu’il nettoyait avec avidité et espoir d’avoir un semblant de repos. Une rencontre s’était produite entre deux âmes qui semblaient avoir vécu la même tragique comédie que le destin semblait friand. Un défi de descente de wiskey du Tennessee qui a fini en une sorte de franche camaraderie qui avait sorti légèrement l’ours grognon et vindicatif de sa coquille. En fait à part quelques parties de jambes en l’air et d’engueulades, William vivait presque en ermite. Mais les deux hommes semblaient autant sur la même longueur d’onde et ils étaient de la même vieille école pour la mentalité.
En ce jour le mécano grognon avait changer la transmission d’une Honda Civic et comme c’était trop souvent de coutume il allumait sans le savoir le désir d’une cliente qui lui faisait du rentre dedans. Le viril et musculeux homme avait regarder la carrosserie de la demoiselle et s’était dit que finalement il pourrait faire un tour d’essais histoire de dégraisser son piston. Donc ils venaient de convenir d’un rendez-vous ce soir au logement de la blonde torride qui allait vivre l’expérience tumultueuse du hors-route et la fougue de l’escalade du mont de l’extase avec une garantie de luxure à la fois prenante et bestiale selon l’inspiration du moment. D’un signe de tête et d’un grognement il salua l’arrivé de l’ours qui travaillait à l’abattage et précipita presque le départ de son coup d’un soir vers l’extérieur. La voix bourru, chaude et traînante du mécano tout en muscles se leva alors quand le battant se referma.
William- Ça va foutrement bien depuis que tu es arrivé mon beau. Bordel je pensais qu’elle voulait plus me lâcher le slip...
Il rigola doucement en serrant la main de manière aussi juste et forte digne de la virilité des deux hommes. Il sorti alors une boite de beignes qui semblait alléchant
William- Un ensemble des trois je dirais vieille branche... J’ai même passé au beignet pour en acheter... J’espère que tu m’as emmener un vrai remontant et pas juste un truc avec un parasol nul dessus?
Il fit un clin d’oeil et pointa son atelier.
William- Aussi j’ai trouver ça hier aux poubelles. Les gens se débarrasse de n’importe quoi... C’est un putain de classique et je l’ai remis en ordre...
Une vieille tronçonneuse qui semblait avoir du vécu se pavanait sur le bois de l’établi.
William- Elle me fait penser à toi. Vieux, brusque du coffrage. Mais elle de la gueule et en plus elle ronronne pour abattre le max de boulot...
Il pointa un moteur en suspension sur une chèvre non loin. Dans le même geste il alluma avec un zippo un cigare et bientôt la fumée bleuté surgis des nasaux du vétéran tel la vapeur des narines du mystique minotaure.
William- Ben si tu veux je dois connecter cette merveille sur cette chiasse de modèle de merde de mes deux pour un client... Tu me file un coup de main?
@Morris Woodyard