All delighted people

out of the forest, i come with my flowers
Mon amour, mon univers...

Comme l’a conseiller cette blouse blanche de mes deux, je t’écris à chacun de tes anniversaires. Il pensait que j’allais t’oublier, mais même si je serais atteint de démence je ne pourrais oublier ton sourire ni ce que nous avons vécu. Déjà quatre ans que nous nous sommes quitter dans la pire des situations possibles, dans la souffrance et le chagrin qui sont devenues mes maîtresses et mon quotidien. Je sais que si je déciderais d’avaler un 9 millimètres de plomb, tu me renierais toi qui aimait tant la vie. Donc je t’attend que tu revienne me chercher quand je devrais payer ma datte à cette saloperie existence que je mène, ce mauvais rêve qu’est devenu ma vie sans toi.

Tu te rappelle de notre rencontre? Nous étions dans ce bar près de la base car je venais d’avoir mon grade de sergent instructeur et de leader de ma section de combat. Tu étais avec des copines et dès que je t’ai vu tu m’as volé mon cœur et mon âme. Ta chevelure d’or, ton regard d’azur, ton sourire qui ressemblait éclipser le soleil même et ton corps parfait et d’une sensualité qui mettait à rude épreuve ma virilité. Après s’être regarder presque une heure et à se sourire, on s’est approcher et sans rien dire on s’est embrasser avec fougue et passion. Comme si les mots étaient superflues et le monde autour de nous n’étais qu’un vague décor ou les gens n’étaient que de la figuration. On n’est pas sorti de la chambre de ce petit hôtel de toute la fin de semaine et on appris à se connaître de la plus belle manière qui soit. Je t'ai parler de mon enfance à apprendre la mécanique avec mon père qui est maintenant décéder. De ma fascination pour le sport et du football que j'ai jouer en devant un demi de sécurité étoile dans mon lycée. De l'appel du devoir pour rejoindre l'armée. Nous savions qu’un sous-officier et une officière de l’aviation ne pouvait se connaître intimement, mais nous n’en avions cure. Notre relation était secrète et d’une pureté qui me fait encore rêver. Il ne restait que quelques années à notre contrat avec nos branches respectives et nous avions convenues  de venir dans mon patelin d’enfance, Bar Harbor, pour s’acheter la maison de nos rêves. Tu voulais devenir pilote d’hélicoptère pour la garde côte et pour ma part je continuerais la tradition familiale dans la mécanique en tout genre. Mon frère et ma sœur t’auraient adorer et ma mère encore plus. Nous avions des projets merveilleux, de fonder une famille et d’avoir des animaux à profusion.

Mais tout à changer il y a quatre ans et seulement le job de mécano est rester de nos discussions. Car le reste à disparu dans les flammes du désespoir à la seconde que tu m’as quitter sans un mot. J’étais pris dans un théâtre d’opération ou l’ennemi nous avait encercler. Le radio de ma section avait réclamer une évacuation et j’ai vu ton appareil arriver. J’ai même vu ton  sourire quand nos regard se sont croiser quand tu t’apprêtait à faire attiré ton appareil. Mais l’horreur est apparut sous le panache d’une traînée de fumée et le brasier qui fut l’instant d’avant le Blackhawk que tu pilotais. Mon cri ne pouvait couvrir la déflagration et je t’ai perdu de vu. J’ai appris plus tard que tu ne devais même pas être là Anna. Que tu avais fini ta mission, mais quand tu as capter l’appel de détresse de ma section, tu es venue pour nous, pour moi... Ce n’est pas la rocket qui t’a tuer ce jour là, mais c’est notre amour secret et ma sale gueule. Si on ne s’était pas connu, tu serais vivante et je suis persuader que le destin nous aurait fait rencontrer en un autre lieu et un autre moment.

La rage et la bestialité m’a gagner. Je ne voyais plus rien et je savais que tu n’étais plus là. Je voulais te rejoindre et tuer le salaud qui t’avait enlever de ma vie de manière aussi brutale. J’ai couru comme un détraquer vers le lieu du tir et je suis tomber sur les deux artilleurs qui semblaient si fier d’avoir descendu ton hélicoptère. La violence de ce moment. Je les ai étriper à main nues. J’ai perdu mon couteau de combat et j’ai continuer à les frapper avec ce qui me passait sous la main juste au moment où les sens me furent redonner et que la fureur fut remplacer par la tristesse. Les deux artilleurs n’étaient que des patins désarticuler, des pulpes sanguinolentes. J’avais deux balles dans le corps, mais j’ai survécu. Même en ce moment ou je pensais te rejoindre, tu m’as signifier que je devais rester. Le soir épuisé et tremblant de colère, je suis revenu à mes quartiers. Une lettre de ta main m’y attendait. Dernier clou dans le cercueil de la souffrance qui se scella sous une nouvelle qui m’aurait remplit de joie. Tu me disais que tu m’aimais et que tu avais hâte qu’on se marie, car notre famille était déjà en préparation en ton sein. Un test de grossesse positif était au fond de l’enveloppe et j’ai craquer. J’ai voulu me flinguer, m’exploser, mais je t’ai vu en vision et comme de raison tu m’as sauver en cet instant tragique. Tu voulais que je vive pour nous, pour que je me rappelle de toi juste au dernier moment de ma vie qui sera un calvaire de par ton absence.  

Je suis revenu au pays en étant l’ombre de moi-même, le torse portant des bout de ferrailles pour signifier la bravoure et le sacrifice de mon geste qui à permis à un nouvel appareil de venir chercher mon unité. Mais la fureur et l’indignation, le chagrin et le désespoir de savoir que tu ne seras plus là m’ont pousser à m’isoler et surtout devenir aigri et grognon. J’ai repris le travail dans l’atelier de ma famille pour m’empêcher de souffrir et d’avoir l’esprit occuper. Je sais que tu m’approuve pas, mais la boisson me permet de tenir le mince fil qui me relie encore en ce monde de ténèbres donc ta lumière a quitter. Je suis vindicatif, direct et surtout amère, mais c’est pour me protéger de ressentir encore plus de douleur en voyant les traîtrises et les faux-semblants qui se bousculent à la limite de mon univers. J’ai bien quelques aventures, comme tu disais en rigolant on doit garder la machinerie en état de marche. Mais c’est juste animal et satisfaire le besoin primaire. Car la passion et l’amour me furent enlever dans cette explosion qui m’empêche trop souvent de dormir. Ne t’inquiète pas mon amour j’ai de la compagnie. J’ai trois vieux cabots et cinq chats errants que j’ai recueilli. Des laissés pour compte que je m’occupe. Leurs donner de la dignité et de l’affection que j’ai trop en stock car tu n’es plus là pour la recevoir. Ma mère s’occupe de l’administration du garage comme elle le faisait avec mon père autrefois. En fait c’est pas mal la seule que j’accepte sa présence et elle me rattache au sol comme tu pouvais le faire.

Je sais que tu n’approuve pas, mais je dois chasser cette colère et cette rage qui m’habite depuis ton départ. Même si c’est provisoire, je dois le faire sinon je pourrais dépasser les bornes. Une fois par mois il y a des combats clandestins de combat de rues. C’est pas trop légale, mais je reçois assez de douleur pour me sentir vivant lors de mes affrontements. Oui je gagne vu mon entraînement, mais je ne pousse pas la violence pour estropier l’autre. Je me dis que lui doit avoir des raisons de vivre au contraire de moi.

Je dois finir cette lettre de cette année mon amour. Anna quand tu veux viens me chercher car je t’attends... Je sais que tu voudrais que je sois heureux et que je refais ma vie, mais je ne crois pas qu’une personne pourra de remplacer sincèrement. À moins que tu trafique le destin et tu m’envoie la perle qui me fera redécouvrir l’amour et que malgré tout que je pourrais aimer autant que toi...

Je t’aime mon univers

Ton Will