A Jamais Sur Ma Peau
Son choix était fait, le rendez vous prit. Il restait le plus dur pour lui, devoir retirer son haut,
Il sort son porte-money de la poche arrière de son jean pour y prendre la photo de Lena, puis déverrouille son téléphone, déjà sur la photo du croquis d'une orchidée fait par sa douce. Il tend l'appareil à son hote tout en s'expliquant. « J'aimerais immortalisé se dessin, mais le colorisé avec les même ton que sa chevelure. » Sur ses derniers mots, il lui donne la photo de la rousse, sans poser ses yeux dessus pour ne pas laisser de larme lui échapper. Il y en aura sûrement, alors autant ne pas craquer inutilement, surtout qu'il enchaîne sur le sujet sensible. « J'aimerais qu'il soit sur ma poitrine, seulement, je...» Il inspire. « Je suis ... marqué par une brûlure.» C'était dis, une vérité et beaucoup d'omission, mais elle n'avait pas besoin d'en connaître l'histoire.
Gadriel sort les deux éléments dont la demoiselle aura besoin. Pas un seul coup d’œil sur son téléphone, sachant que sinon les larmes reviendraient. Un sourire illumine son visage à la confirmation de la faisabilité de son projet. Seulement, il le perd vite quand la brune lui demande l'endroit. Stress, peur, honte, l'instable se reprend tout dans le visage, son cœur s’emballe, se serre, ses propos deviennent plus hésitant, son regard fixe le sol pour ne pas voir de réaction. Le moment qu'il redoute le plus est sur le point d'arriver, il souffle, se rappelle qu'il s'est préparé, que son torse mutilé ne sera pas entièrement à la vus. « Merci.» Répondit-il touché par la douceur et gentillesse de la demoiselle qui doit avoir autre chose à faire que d'attendre qu'il se décide enfin.
Il à juste à tirer sur le zip de son sweet, un geste des plus simple. Sa main se porte sur la fermeture qu'il commence à descendre avant de s’interrompre. « J'ai... découpé un T-shirt. » Avoue t-il dans un murmure.« Mon corps est trop mutilé pour être vue.» Cette fois, il ne peut pas retenir quelques larmes. « Je suis désolé de vous imposer ça. » L’honnêteté est perceptible dans sa voix, si il avait pus, il aurait peut être choisie un autre endroit, mais tout son corps n'est qu’enchevêtrement de cicatrice, alors il à prit l'endroit symboliquement parfait, au dessus de son cœur.
Sa main tremblante fini par ouvrir son pull, son visage se crispe, il tourne la tête sur le coté en même temps que ses yeux de ferment douloureusement quand sa main gauche écarte le pan de vêtement pour dévoiler à travers le carré découpé sa peau bien abîmé. « Pardon.» Nouvelle excuse d'imposer une pareil vision que lui même ne supporte pas. Pour tout dire, il camoufle le miroir de sa salle de bain avant de retirer ses vêtements, et n'ira jamais le retirer avant d'être habiller. Lena à pourtant bien essayé de le réconcilié, mais son dégoût est bien plus persistant, si bien qu'il refuse d'aborder le sujet avec son père.
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Tremblant, il trouve quand même le courage de dévoilé sa peau brûlé par ses soins il y a plusieurs années pour faire disparaître la marque d'encre laisser par un des centre de redressement. Un abandon de plus qui l'avait bouleversé et mis plus bas que terre, mais qui depuis quelques année c'est révélé être la chance de sa vie, puisque c'est ainsi qu'il a rencontré Lena et Nathanael. Il se concentre d'ailleurs sur sa famille pour passé se moment qui l'ecoeur pour la demoiselle, et lorsque sa voix vient brisé le silence, inconsciemment, Gadriel recouvre sa peau. «Je n'en doute pas. » Répondit il timidement, bien qu'il doute de pouvoir regarder le tatouage sans voir sa peau autour, mais il le saurait là, et c'est tout ce qui compte pour lui.
Le jeune redescend de sa rêverie assez brutalement quand la tatoueuse lui demande l'autorisation de le toucher. Une lueur d’effrois marque son regard, l'aiguille ne lui posait aucun problème, mais un contact peau contre peau, c'était une autre histoire, surtout sans s'y être préparer. Pour Lena, il se le répéte mentalement plusieurs fois avant de murmurer « Pas trop longtemps s'il vous plais, c'est...répugnant.» Il sens déjà la nausée lui montant alors qu'il ouvre à nouveau son sweat pour laisser la jeune femme faire. Les yeux clos, il se mord puissamment la lèvres et sursaute avant de se raidir totalement quand le contacte se fait. Heureusement Lorna ne met pas longtemps à juger son épiderme, et à donner sa sentence. Une petite phrase qui change ça grimasse en un sourire illuminant son regard au passage, jusqu'à lui faire oublié sa peau toujours à la vus.
A la demande de la jeune femme, Gadriel s’essaya timidement et légèrement mal à l'aise sur le fauteuil. Cette fois ce n'était nullement la crainte qui le malmenait mentalement, mais plutôt parce qu'il ne savait pas vraiment comment se mettre pour le confort de la tatoueuse. Son regard dans le vide fixait inconsciemment les mouvements de la demoiselle alors qu'il réfléchissait un peu à toute les possibilités de position. Ce qui n'échappa pas à Lorna, qui se montra rassurante.« Je...le plus dur est passer. » Oui, maintenant seul l'aiguille viendrait marteler son corps, et au pire, les gants de la demoiselle ferait barrière à tout contacte. En revanche il ne se sentait pas concerner par le reste de sa phrase, parce que c'est lui même qui avait démolie son corps pour se punir, mais aussi pour adapter sa couverture charnel au démon qu'il était à l'intérieur. « Mon corps est juste se que j'ai été depuis ma naissance. Et si j'ai changé, je ne peux plus faire marche arrière.» Les paroles eurent dut mal à sortir de sa bouche, parce qu'il avait encore du mal à croire pleinement qu'il ne soit plus ce monstre agressif et profondément mauvais, mais elle prouvait toutefois qu'il commençait à accepter l'idée. « Je dois m'instaler comment pour vous ? »
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Les deux finirent par trouver un compromis qui répondait à leur besoin, l'un de rester dissimuler et l'autre de respecter les normes d'hygiènes. Seulement tout cela, et la vision plus large qu'il dut offrir le rendu un peu plus stérile au compliment de la demoiselle, parce que non il n'était pas courageux, puisque incapable de retirer son haut. De même, il lui était impossible d'être réceptif au discourt pourtant bourré de sens de la demoiselle, plus ouvert, il aurait même certainement rie et aurait comparer ses paroles à ceux de son père. Mais pour le coup, il se contenta de hausser les épaules, préfèrent se morfondre mentalement que de contredire la demoiselle qui s'efforçait de le rassurer. Il resta tranquille le temps de la désinfection de l’emplacement, cependant lors de la pose du calque, l'envie de se tortiller pour regarder le titillais, vilaine curiosité, mais il était bien trop docile et resta immobile, essayant de se dire qu'il aurait une belle surprise à la fin. Enfin si il arrivait à se regarder sans dégoût, parce que oui, sa curiosité avait omis se détail sur le coup.
Les choses sérieuses allait commencer, et Lorna lui proposa de s'installer, ne sachant pas comment mieux se positionner, il demanda conseil. Se mettre à son aise, c'était compliqué mais moins que de ne pas se crisper alors qu'un bout de sa peau était exposer ainsi. « Je vais essayer. » Dit il avait d'être invité à découvrir le stylo maintenant sur sa peau. Il inspira avant d'incliner sa tête pour découvrir le dessin. Il se força à ne pas regarder autour, et n'y prêtât que quelques secondes avant que des haut le cœur ne le prenne. « Oui, merci.» Un merci qui avait ici bien de nombreuse signification pour lui, merci d'avoir accepter qu'il ne soit pas torse nu, merci de lui tatoué un bout de Léna, merci de le tatouer sur une partie si abîme de sa peau, merci de ne pas le juger et d'être aussi compréhensive.« Oui.» Répondu t'il avec plus d'entrain et de l'impatience clairement palpable. Il avait hâte de voir le résultat, mais aussi que les aiguille commence à marteler sa peu et lui offre un peu de tranquillité d'esprit.
Lorna se mit à la tâche et le brun eut un petit sourire quand elle lui parla de la symbolique de la fleur et de la couleur. « Je confirme pour la beauté, l'élégance et a grâce, l'enthousiasme aussi, elle en baignait. Quant à l'audace et l'ambition, papa l'aurait réveillé je pense, il a bien réussi avec son enthousiasme.» Faut dire que les deux étaient de petits chatons sauvage et effrayé avant qu'il n'arrive dans leur vie. Ils devaient énormément, si ce n'est tout à Nath, et ils en étaient tous deux pleinement conscient ! « Pour l'aide contre les mauvaises influences naturelles, on verra bien, je vous direz si vous voulez.» Bien que Lorna est parlé de ce tutoyer, pour le moment cela restait difficile pour le jeune adulte, peut habituer à se montrer proche des gens avec qui il parle.
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A jamais sur ma peau
Un tatouage, un hommage, a sa rousse bien entendu. Il le voulait de tout son cœur, pourtant tout failli bien capoter à cause de son dégout pour lui même. Heureusement, la gentillesse et l'empathie de la tatoueuse, ainsi que leur créativité mélangé leur permirent de trouver un compromis. Lui ayant le maximum de son corps dissimulé, et elle avait l'espace nécessaire pour travailler. Légèrement détendu de par ce fait, le travaille put commence, et le brun eut la chance d'apprendre la signification du dessin en cours. il y reconnu beaucoup de trait qu'il trouvait chez la demoiselle, et en informa la tatoueuse avec une énergie nouvelle, de la passion. Faut dire qu'il a presque toujours mis la rousse sur un piédestal, combiné à son amour inconditionnel, il ne peut en être autrement. En revanche, si l'idée de l'avoir perdu commence à faire son chemin dans son esprit, entendre la jeune femme parler d'elle au passée lui arracha le cœur, il se concentra alors sur la légère douleur que provoquais l'aiguille pour retrouver un peu de contenance. "Elle est tout" Déclara t'il d'une voix bien plus mélancolique et surtout incapable de parler au passée. Faut dire que disparu laisse un peu trop de place à l'espoir.
Sentant très certainement la pente glissante dans sa voix, la jeune femme changea de sujet, en venant à parler de son prénom. "Je ne m'y suis pas vraiment intéressé, mais le coté angélique ne m'étonne pas, sachant que se sont des moines qui m'ont nommé." Ses géniteurs ne s'étant pas donné cette peine avant de le déposer devant la porte de l'église en pleine nuit d'avril. "Le votre n'est pas des plus commun non plus ? " Dit il peut sure de lui, parce que si il ne l'avais jamais entendu, peut être était il plus courant de se coté de l'Amérique. Le tatouage repris ensuite le dessus de la conversation, sa symbolique surtout. Et bien que le brun comprenait et pouvait même s'identifier, il eu un léger rire quand elle parla de montrer et garder pour soit. "Je ne pense pas le montrer à autre que vous et mon père, pour, des raisons...évidente. Maintenant je pense qu'il est dur à accepter parce que nous n'avons pas tous la même visions des choses, et surtout les Hommes ne savent pas s'écouter pour la plupart et ne peuvent donc pas comprendre le message d'un tatouage." Les gens ont du mal à ce comprendre, surtout à s'écouter, avec ses différences, Gadriel l'avait vite compris, parce que essayait de voir les choses comme lui, même quand il s'explique. "L'orchidée est pour moi une représentation de Lena, représente tout autre chose pour une poigne de gens, mais elle n'est qu'une fleur pour le reste du monde. On reviens à l'histoire personnel dans un sens." Prit il en exemple pour essayer de mieux s'exprimer. Une difficulté qu'il a toujours eut pour bien faire passer le message qu'il veux.
Puis Lorna lui parle de son tatouage à elle, un phœnix. Evidement il pense directement à Fumseck, combien de fois sa rousse lui a fait regarder se film ? Il pourrait lui aussi connaitre toutes les répliques par coeur, si il s'était concentré sur les films plutôt que sur le petit minois souriant de Lena. Mais il arriva à se concentrer sur la symbolique, et compris que la jeune femme avait du en baver tout autant que lui, à sa manière. D'ailleurs se n'était pas le seul indice qu'il avait pour arriver à cette conclusion, la sagesse de ses propos démontrait tout autant d'obstacle surmonté. "Vous en aves bavez hein ?" Demande t'il timidement sans réaliser sur le coup à quel point sa question était maladroite et extrêmement indiscrète.
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