(jen) do what makes your own soul shine
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Née sur le sol Américain de parents expatriés, Katerina Ivanova ne connaît presque rien de ses origines, et pour cause : son père et sa mère ont préféré construire leur vie de couple loin de la Bulgarie, afin de fuir l'implication de leurs familles respectives dans la mafia du pays.
Mais Katerina finit par apprendre la vérité, et malgré leurs efforts, ses parents échouent à la retenir : à tout juste 19 ans, elle achète un aller simple pour Sofia avec la ferme intention de découvrir ses racines.
Indépendante et ambitieuse, avide de pouvoir et d'argent, elle ne tarde pas à intégrer les activités criminelles des Mihalev et des Ivanov, portée par les liens de sang qu'elle partage avec ces derniers.
Elle revient aux États-Unis cinq années plus tard avec un seul objectif : exporter des stupéfiants Américains à la mafia Bulgare, dans le but d'en faire les plus gros fournisseurs de l'Europe de l'Est.
Ainsi, elle se fait embaucher dans la société d'import/export de son ex petit-ami du lycée, à Tampa. Sa détermination est sans limite, et Katerina sait que d'une manière ou d'une autre, elle arrivera à ses fins.
Car après tout, la mafia Bulgare, sa famille, compte sur elle.
Comme le dit si bien l'expression, je suis née avec une cuillère en argent dans la bouche. Mon père Alec était promoteur immobilier, et ma mère Katerina occupait un poste de cadre supérieur dans une société d'import/export. Mon grand frère et moi n'avons manqué de rien, pas même d'amour. Sans doute un peu d'attention parfois, car nos parents avaient des métiers prenants et à fortes responsabilités, mais ils nous aimaient, à cette époque. Malgré tout ce qui s'est passé, je n'en ai jamais douté une seconde.
En plus d'un frère, j'ai aussi grandi avec Athenais, la fille du patron de ma mère. Nos parents étaient très proches, d'ailleurs nos mères sont tombées enceintes en même temps, et Athenais et moi sommes nées à une dizaine de jours d'écart. Elle était ma meilleure amie, ma sœur de cœur. On s'est toujours connues, avant même de savoir marcher. Au fil du temps, on est devenues inséparables, à l'école comme en dehors, jusqu'aux vacances d'été passées tous les ans dans nos villas voisines de Key West.
J'étais une jeune fille solaire, travailleuse et très sensible aux autres. À un tel point que je voulais consacrer mon existence à sauver des vies. D'ailleurs, peu de temps avant la fin du lycée, j'ai appris que j'avais été acceptée à Harvard pour débuter un cursus de médecine. Je voulais, ensuite, me spécialiser dans la chirurgie thoracique et cardio-vasculaire.
J'avais l'avenir devant moi, et il s'annonçait radieux.
Mais rien ne s'est passé comme prévu.
Afin de décompresser après les examens, Athenais et moi avons rejoint une soirée organisée par l'un de ses cousins - mon frère était là aussi. Je me souviens de notre toute dernière discussion d'adolescentes insouciantes comme si c'était hier. On s'amusait, on riait à gorge déployée, et surtout, on essayait de décider des robes qu'on allait porter pour le bal de promo à venir.
Puis, je suis partie cinq minutes aux toilettes et quand je suis revenue, des policiers ont défoncé la porte et investi les lieux, armes au poing, hurlant sur tout le monde. J'étais terrifiée, je ne comprenais rien à ce qui se passait. L'un d'eux a certainement dû lire la panique dans mon regard, parce qu'il a baissé son revolver et m'a demandé si ça allait. Je ne sais plus exactement ce que je lui ai répondu, mais je me rappelle avoir juste voulu retrouver mes proches dans la foule dispersée.
Le lendemain, on a pris la route direction New York. Un départ aussi inattendu que précipité, et dont la raison m'échappait complètement. Mes parents m'ont parlé d'une urgence familiale à laquelle j'ai eu beaucoup de mal à croire. Je n'ai pas osé les contredire : je ne les avais jamais vu dans un tel état de nerfs jusque-là.
Loin de Tampa, je n'ai finalement eu ni bal de promo, ni cérémonie de remise des diplômes. On me l'a envoyé par lettre recommandée. L'atmosphère était pesante, dans notre nouveau loft à Manhattan. J'avais l'impression que mes parents et mon frère m'en voulaient, sans savoir pourquoi. Ça me rendait folle, je n'en dormais plus la nuit. Alors j'ai fini par les confronter, environ deux semaines avant de commencer mon cursus à Harvard.
« Arrête de faire celle qui ne comprend rien, on a du fuir à cause de toi, parce que t'as joué les balances auprès des flics, parce que tu nous as trahis ! »
Je n'oublierai jamais cette phrase, éructée par mon frère, sa voix pleine de rancœur. Car elle est celle qui a tout déclenché.
Et j'ai enfin su.
Mes parents et ceux de ma meilleure amie étaient mouillés jusqu'au cou dans l'illégalité. Le père d'Athenais et ma mère géraient main dans la main un trafic de drogue à destination de la mafia Bulgare, pendant que mon père, avec l'aide récente de mon frère, usait de ses biens immobiliers pour blanchir l'argent perçu de ces ventes.
Lors de la fameuse soirée, tout le monde m'a vu parler à l'agent de police, même mon frère. Et ils ont tous cru que j'étais à l'origine de cette descente, jusqu'à imaginer que je travaillais avec les autorités pour les faire tomber. Ma propre famille.
Je me suis défendue. Ils ont fini par me croire, mais selon eux, il était trop tard pour revenir en arrière : le père d'Athenais nous avait chassés et retourner en Floride serait du suicide. Alors, ils comptaient rester à New York, et faire profil bas un certain temps, pour reprendre leurs propres mots.
C'est moi qui me suis sentie trahie. Blessée jusqu'au plus profond de mon être. Je n'arrivais pas à croire que l'argent dont je profitais depuis tant d'années était de l'argent sale. Des billets imbibés du sang de celles et ceux qui succombaient à des overdoses, là-bas, en Europe de l'Est. Et j'arrivais encore moins à croire que toute ma famille était impliquée.
Coupable.
J'ai essayé de contacter Athenais à plusieurs reprises. Je n'ai eu aucune réponse.
Mes parents m'ont dit qu'aller à Harvard me ferait du bien. Qu'il me fallait changer d'air, prendre un peu de recul. Mais comment aurais-je pu poursuivre mes études en ayant parfaitement conscience de ce qui les finançait ? J'en étais malade rien que d'y penser.
Je suis partie. Pour de bon. J'ai rassemblé mes affaires, je me suis installée au volant de ma voiture et sans même un au revoir, sans le moindre regard en arrière, j'ai quitté New York pour m'enfoncer dans les terres par la I80W, sans destination précise.
Je n'ai jamais revu mes parents ni mon frère depuis.
J'ai roulé plusieurs jours, me nourrissant de chips des distributeurs et dormant dans des motels ou dans ma voiture selon la météo, afin d'économiser un maximum pour l'essence. J'avais l'impression que je ne fuirais jamais assez vite, assez loin.
Pourtant, il a fallu que je m'arrête. Arrivée à Denver au Colorado, il ne me restait plus que quelques dollars en poche. Je me suis donc fondue dans la masse des anonymes, à enchaîner divers jobs dans tout autant de domaines, à compter le moindre centime, la moindre bouchée de mes repas.
Ça a été une période difficile et, je l'admets, il m'est parfois arrivé de baisser les bras, de vouloir faire demi-tour et retourner à New York auprès de mes parents. Mais dès que je faiblissais, une image s'imposait à mon esprit : celle de familles éplorées après avoir perdu un être cher à cause de la drogue, là-bas, en Bulgarie. Et ça me redonnait assez de force pour continuer, m'accrocher encore.
Un an et demi après mon arrivée à Denver, le hasard m'a fait rencontrer Frances. La sexagénaire s'était perdue dans les rues du centre en allant à son rendez-vous médical. Plutôt que de seulement lui indiquer le chemin, je l'ai accompagnée jusqu'à sa destination et je l'ai attendue pour m'assurer qu'elle retrouve sa voiture en sortant. Touchée, elle a voulu me remercier en m'offrant un café. J'ai appris qu'elle vivait à Idaho Springs, qu'elle tenait un petit motel là-bas, et qu'avec les dernières nouvelles sur son état de santé, elle allait devoir chercher quelqu'un pour l'aider.
Le lendemain, je signais un contrat dans son bureau.
Cet endroit, mais surtout cette incroyable femme, ont été mon salut. Je chéris chaque minute de ces cinq années passées à ses côtés au Silver Lake Motel. Malgré notre différence d'âge, Frances et moi sommes devenues des amies proches. J'avais même fini par lui raconter mon histoire. Elle m'a trouvée courageuse, et ne m'en a aimé que davantage. Je m'impliquais à fond dans mon travail, que j'adorais, et plus encore avec Frances, dont la santé déclinait mois après mois, sans que personne ne puisse rien faire. N'ayant ni conjoint ni enfant, elle ne manquait pourtant pas d'amis et de soutien : on l'appréciait beaucoup en ville. Ainsi, le jour de ses funérailles, tout Idaho Springs est venu rendre un dernier hommage à la grande dame qu'elle était.
Deux jours plus tard, chez le notaire, j'apprenais que j'avais hérité du Silver Lake.
J'ai pris soin du motel. Je l'ai choyé comme Frances le choyait. J'ai fini par faire le prêt qui lui avait été refusé quelques temps plus tôt afin de moderniser l'établissement, dans le respect de ses idées. J'aurais pu le revendre, partir, faire autre chose. Rien de tout ça ne m'a traversé l'esprit, même l'espace d'un instant. Idaho Springs était devenu mon chez-moi, et je ne l'aurais quitté pour rien au monde.
Nous étions le 7 septembre 2020. La pire journée de ma vie.
Jackson illuminait mon quotidien depuis deux ans et demi déjà. Nous étions fiancés, et devions nous marier l'été suivant. J'étais enceinte de presque six mois, d'un petit garçon qui devait pointer le bout de son nez aux alentours de Noël. Le plus beau des cadeaux.
Ce soir-là, Jax nous ramenait à la maison après un dîner entre amis, durant lequel il n'avait évidemment bu que de l'eau. Il était intransigeant sur le sujet : en tant que chirurgien trauma, il opérait - et parfois perdait - bien trop de victimes d'accidents de la route impliquant l'alcool.
Mais dans le véhicule qui fonçait sur notre voie à contresens, la femme installée derrière le volant n'avait pas eu la même considération. Jax n'a rien pu faire pour l'éviter. Je me souviens d'un cri, d'un impact d'une violence inouïe, puis… le trou noir.
Je me suis réveillée à l'hôpital. On m'a dit que Jackson n'avait pas souffert, que le choc l'avait emporté sur le coup. Je n'ai pas eu besoin de demander des nouvelles de mon bébé. J'avais senti dès les premières secondes qu'il n'était plus là, avant même de baisser le regard sur mon ventre beaucoup trop plat, beaucoup trop douloureux.
Et puis ça m'a frappée : j'étais la seule survivante de ce drame. Mon fiancé n'était plus là, et notre fils n'avait même pas eu la chance de venir au monde.
Nous étions le 7 septembre 2020. La pire journée de ma vie.
Celle où j'aurais voulu mourir.
Mourir avec eux, plutôt que de vivre sans eux.
« Bonjour ! Vous avez bien dormi ? Le petit-déjeuner en chambre vous a plu ? »
« Tout était parfait, cet hôtel est un véritable bijou. Nous reviendrons l'année prochaine, soyez-en sûre ! »
« Ça me touche beaucoup, merci. Je vous souhaite une belle visite de Bar Harbor et… on se voit dans un an, alors ! »
J'adresse un dernier sourire à mon adorable couple de touristes retraités, puis enregistre leur départ sur l'ordinateur de la réception. Tous les check-outs du matin sont faits, et il ne reste donc plus aucun client au Bar Harbor Inn. La seule recouche s'est levée aux aurores pour une journée de pêche dans la baie.
Je m'attèle à mes tâches habituelles avec entrain, le temps que le service d'étage passe dans les vingts chambres de l'établissement. À l'heure du déjeuner, je dévore une salade césar tout en me renseignant sur les arrivées du jour : nom, âge, éventuellement raison de leur visite sur l'île, autres notes utiles…
La moindre information m'aide à mieux connaître mes clients, à comprendre ce qu'ils attendent de leur séjour, à savoir ce qu'ils aiment ou non. Ça me permet aussi de laisser des petits cadeaux de bienvenue adaptés à chacun. Je veux qu'ils se sentent comme à la maison.
Il est quatorze heures lorsque ma réceptionniste arrive pour prendre le relais. Comme d'habitude, je bois un café avec elle le temps de lui transmettre les informations importantes, avant de m'éclipser pour rentrer chez moi.
Cette après-midi, j'ai envie d'une balade au grand air. Je rejoins les sentiers de randonnées du parc Acadia et en emprunte un, laissant le hasard choisir pour moi puisque je les connais déjà tous par cœur.
Arrivée à l'altitude la plus haute du trajet, je m'arrête un instant afin de profiter du sublime panorama, qui me coupe toujours autant le souffle que lorsque je l'ai découvert pour la première fois. Je crois que je ne m'en lasserai jamais.
J'ai souvent une pensée pour Mme Miller dans ces moments-là, ma prof d'Anglais du lycée. Elle avait mis une immense affiche de Bar Harbor, sa ville d'origine, dans sa salle de classe, et Athenais et moi l'avions juste en face de nous.
Quatre ans plus tôt, lorsque j'ai décidé de quitter Idaho Springs pour me donner une chance de me reconstruire, je n'avais aucune idée de l'endroit où aller. Et puis, sans savoir pourquoi, le détail de cette affiche m'est soudainement revenu en tête. Je me suis dit qu'il devait y avoir une raison.
L'instant suivant, je tapais "Bar Harbor" dans le moteur de recherche de mon smartphone.
J'ai vendu le Silver Lake à un jeune couple de locaux qui, je le savais, continuerait à en prendre soin. Arrivée dans le Maine, j'ai erré quelques temps sans but, seule avec ma peine et ma douleur, avant de tomber sur un ancien hôtel en plein centre-ville, laissé à l'abandon depuis des décennies. Mes yeux se sont illuminés.
À cette seconde précise, j'ai su que ce lieu était fait pour moi. Qu'il me sauverait, tout comme Frances et son motel m'avaient sauvée dix ans plus tôt.
Il m'a fallu sept mois pour achever les travaux de rénovation, mais à l'été 2021, le nouveau Bar Harbor Inn était prêt pour son ouverture.
Il m'a fallu davantage de temps encore pour me relever et sourire à nouveau, mais ce chaleureux et authentique hôtel, tout comme ma vie à Bar Harbor en général, m'offrent un bonheur que je pensais ne plus jamais pouvoir ressentir.
Aujourd'hui, nous sommes le 7 septembre 2024.
Et si mes larmes continuent de couler et mon cœur se serre toujours lorsque je pense à Jackson et à notre petit garçon, je n'ai plus envie de mourir.
Je veux vivre.
Aurora Mitchell
membre de la dream team
Fiche de présentation : https://viewsbetweenvillages.forumactif.com/t710-nouveau-depart-aurora-mitchell
Pseudo : Tamaraa
Faceclaim : Elizabeth Lail
Multicomptes : Helena/Deagan
Présence : Présent.e
Âge : 32 ans (09/08/92)
Statut civil : Mon cœur est pris par celui en qui j'ai toute confiance, à qui je confie ma vie - Sohan.
Métier : Comptable freelance.
Habitation : cromwell cove - près du port. Ca sent parfois le poisson, c'est un peu bruyant avant le levé du soleil et les mouettes chantent mais j'ai un toit sur la tête.
Triggers : Aucun mais le fera savoir si besoin.
Warnings : Drogue / Trafic / Trahison / Anxiété
Rp : disponibilités variables : 4/7 jours en moyenne; habitudes de rp : écrit en "je", joue au feeling, peu de prévision et beaucoup d'improvisation.
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Je sens qu'on va prendre du fun ensemble avec des soupçons de bons drama
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Follow your heart
Aurora M. ☽ I’ll be your escape. Do you want to try ? Love is calling, don’t hold back. Let’s leave the world behind and follow our hearts. Are you ready to fall ? No need to explain, let’s live for now, just love. Let’s escape together, just the two of us. ღ
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Bienvenue à toi, n'hésites pas si tu as des questions
Iris Quinn
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Pseudo : Dubby (il/he)
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Présence : Présent.e
Âge : Trente trois ans, l'âge du Christ. Santé mon pote !
Statut civil : Célibataire, bien que l'envie de me poser me titille de plus en plus.
Métier : Gérante du Silver Tattoo, et accessoirement tatoueuse dedans.
Habitation : Un appartement pas ouf à Town Hill, mais j'y suis bien.
Triggers : Non ça va, j'suis assez libre.
Warnings : Langage grossier, addictions, alcool, sexe, drogue, abandon, naissance sous x.
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Bienvenue à toi, très bon choix de pl, tu es entre de très bonnes mains
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- Fais pas chier, parce que je suis :
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Bon courage pour ta fiche !
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Christy Cooper
where do we go now ?
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Pseudo : Alexistwister (il)
Faceclaim : Michelle Williams (lux aeterna)
Âge : 43 ans
Statut civil : veuve et mère de trois enfants: un fils et deux filles
Métier : Pédiatre de formation, réorientée dans le domaine de la chirurgie cardio-vasculaire
Habitation : à venir
Triggers : à discuter!
Warnings : sexisme - anxiété - père absent - troubles alimentaires - intimidation à l'école - décès
Rp : Je suis habituée en français mais si vous voulez en anglais, vous pouvez le faire mais traduisez les répliques s'il vous plaît!
Je suis disponible pour les rp, venez m'en proposer en privé, merci
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Messages : 337
Invité
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Aurora Mitchell
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The Mayor
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Pseudo : PNJ
Faceclaim : Jason George
Présence : Présent.e
Warnings : Aucun à ce jour.
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Validation effectuée !
Mon petit doigt me dit que la tranquilité que tu as à Bar Harbor va être rompue par des fantômes du passé. J'espère, que cette rencontre ne viendra pas semer la zizanie
Bravo, tu es officiellement validé.e !
Tu fais maintenant partie du groupe million reasons.
Rassure-toi, le plus gros est fait, mais voici quelques petits liens qui pourraient te paraître importants. N'hésite pas à aller publier ton carnet de bord et à aller voir celui de tes camarades, ça pourra t'aider à intégrer ton petit personnage. D'ailleurs, tu peux consulter le faceclaim du forum où sont répertoriés tous les habitants de Bar Harbor. Il existe également d'autres catégories pouvant t'intéresser : tu peux, dès que tu le souhaiteras, mettre en ligne tes scénarios/pré-liens, ainsi que les pages Instagram et Tinder de tes personnages.
Niveau IRL, sache qu'un Discord existe pour le forum ! Tu y retrouveras de tout : des recherches de liens, de rps, du flood... N'hésite pas à nous rejoindre si tu le souhaites !
Maintenant, tu devrais avoir tout en main pour profiter de l'aventure mais, s'il y a besoin de quoi que ce soit, n'hésites pas à contacter l'équipe administrative par mp ou par le biais de ce sujet !
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