Aimery Fairchild - N'oublie pas que je t'aime
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Aimery Fairchild
where do we go now ?
Fiche de présentation : https://alldelightedpeople.forumactif.com/t1827-cet-air-rend-fou-assis-debout-je-vais-pas-bien-aimery-fairchild
Carnet de bord : https://alldelightedpeople.forumactif.com/t1833-aimery-fairchild-n-oublie-pas-que-je-t-aime
Pseudo : KHall - Il, Lui
Faceclaim : Taylor Zakhar Perez - Maacky
Présence : Présent.e
Âge : Je pense avoir arrêté de vivre à 18 ans. Je ne vois même pas les années passées, parce que ça n'a plus d'importance. Mais si on suit mon année de naissance, alors j'ai 25 ans.
Statut civil : Je suis célibataire. J'ai connu quelques amourettes par le passé, mais j'avoue que ça n'a plus été ma priorité depuis quelques temps. Et si je dois être totalement honnête, alors je crois que je n'ai jamais connu le véritable amour.
Métier : Je travaille au Dream and Eat, un café qui est aussi un bar à cupcakes, en tant que barista et c'est l'une des seules raisons de me lever le matin. Cet endroit est beau, mais également un peu magique. Et les clients sont tellement gentils... C'est un peu un repère.
Habitation : J'habite au Somesville, le quartier nord de la ville. C'est là que se trouve mon boulot, et j'avoue que c'est aussi le seul endroit où j'ai trouvé un appartement dans mes moyens alors... voilà.
Triggers : Violence extrême - Harcèlement - Violence sexuelle
Warnings : Dépression - Suicide - Mort - Alcoolisme
Rp : Disponibilité 4/5
Rp libre 4/5
Motivation 5/5
J'aime assez répondre rapidement à mes rp, je n'aime pas me faire attendre. J'ai pour habitude de faire au moins 10 lignes, j'aime assez décrire les actions. Je peux parler à la première ou à la troisième personne, mais pour Aimery ce sera à la première personne. Je fais habituellement mes rp en français, mais je peux tenter l'anglais (why not, preuve de ma bilinguité).
N'hésitez à me MP pour toute demande (pas toute quand même, modérez-vous)
Rp libre 4/5
Motivation 5/5
J'aime assez répondre rapidement à mes rp, je n'aime pas me faire attendre. J'ai pour habitude de faire au moins 10 lignes, j'aime assez décrire les actions. Je peux parler à la première ou à la troisième personne, mais pour Aimery ce sera à la première personne. Je fais habituellement mes rp en français, mais je peux tenter l'anglais (why not, preuve de ma bilinguité).
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Messages : 123
Il était une fois… Non, je ne vais pas commencer mon histoire par cette formule qui annonce forcément un joli conte, avec une fin digne du « Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants ». J’aurais aimé que ce soit le cas. J’aurais aimé être comme les personnages de ces films à l’eau de rose, de ces comédies romantiques dans lesquels, peu importe les frasques et les mauvais choix, le personnage principale termine toujours par réussir ce qu’il avait entreprit. Je ne suis pas ce genre de personne. Je suis peut-être un simple figurant, le garçon de café, dans la merveilleuse histoire de cette fille qui passe chaque matin. Ou je ne suis peut-être même pas ça. Ce que je sais, c’est que la vie a voulu me faire croire, au début, que je deviendrais quelqu’un ; l’héros de mon propre conte. Un conte magique et fantastique sur un futur pianiste, aidé par sa mère la bonne fée. Tout démarrait pourtant si bien…
Je ne me souviens pas de mon enfance à Bar Harbor. Et pourtant, c’est ici que je ne suis né, un 14 janvier 1999. Cela fait de moi un capricorne, mes amis ont tendance à dire que ce signe me représente bien. Enfin, mes anciens amis. Et sans doute que ça ne me représente plus désormais, j’en sais trop rien. En tout cas, ma mère m’a souvent dit que la vie à Bar Harbor était belle, avant que nous ne déménagions pour l’Angleterre. Mon père avait toujours vécu en Amérique, mais ma mère était Britannique. Elle avait changé de pays pour réaliser son rêve et trouver le boulot de sa vie. Elle n’avait pas réussi, mais avait trouvé l’amour de sa vie en la personne de mon père. Elle ne reparti pas en Angleterre. Je suis né 5 ans plus tard. Elle m’avoua, plus tard, avoir eu le mal du pays. Elle n’avait pas supporté être loin de ses proches, de sa famille, de ses parents. Elle voulait me faire découvrir la culture Anglaise, ses doux paysages et son temps maussade ; c’était ses mots, elle adorait la pluie.
J’avais 3 ans quand nous avons déménagé pour l’Angleterre, sur la terre natale de ma douce mère. Autant dire que je ne me souviens pas de l’Amérique, encore moins de Bar Harbor. Mes premiers souvenirs remontent à la première fois où mes doigts ont foulé ce piano. J’avais 5 ans, et c’était le piano d’un oncle que je ne connaissais même pas. Un piano qui n’avait pas dû être touché depuis des années. Et pourtant il sonnait tellement bien. C’était comme une évidence, comme si le monde autour avait arrêté de tourner l’espace d’un instant. Encore une fois, je n’avais que 5 ans, alors peut-être que mes souvenirs ne sont pas corrects à 100%. Mais pour autant, je me souviens très bien d’un sentiment de sécurité, de bien-être, de sérénité. Je me souviens m’être senti à ma place devant ce piano beaucoup trop grand pour moi. C’était le début, le début de notre histoire. Je me souviens m’être retourné, et avoir vu ma mère avec les larmes aux yeux. Je pense qu’elle aussi, à cet instant-là, avait compris que c’était le début de quelque chose. Et elle décida sans doute de tout faire pour m’aider à réaliser mes rêves, ce rêve.
Qu’on se le dise, la majorité de ma vie fut belle. J’ai eu une enfance heureuse ; j’avais mes deux parents, nous venions d’un milieu aisé, j’ai pu intégrer de bonnes écoles, je n’ai pas vécu un quelconque harcèlement dans ces établissements, et j’ai toujours été soutenu dans mes envies, mes projets. Tous les enfants ne peuvent pas en dire autant. Et en plus, malgré cette jolie vie et ses avantages certains, je n’en ressors pas condescendant ou arrogant aujourd’hui. Mes parents avaient ce désir profond de m’inculquer des valeurs importantes, dont celles du partage, de la générosité, de la modestie. Être reconnaissant pour ce qu’on a, et être assez humble pour ne pas en faire étalage. Dans les écoles dans lesquelles j’étais, la plupart des enfants avaient autant voir plus de moyens que moi. Et certains n’avaient pas peur de le montrer. Je n’étais pas de ceux-là, je n’avais jamais été de ceux-là. Je remercie encore mes parents aujourd’hui pour m’avoir appris à ne jamais regarder quelqu’un de haut. On peut tout avoir, et tout perdre. Une existence ne peut être résumée qu’à cette chose aussi futile que peut être la richesse. Et moi, je n’étais pas un gosse de riche. J’étais un gosse aimée, et soutenu. J’ai pu réaliser certains de mes rêves, en partie grâce à mon père aussi. Sans doute convaincu par ma mère qui continuait à être ma plus grande fan au monde, il m’offrit des cours de piano dès l’âge de 6 ans. Et à 8 ans, j’eu mon propre piano. Chaque fois que j’y jouais, un silence régnait dans la maison, comme si le temps s’arrêtait de tourner à chaque fois. Et ma mère ne manquait pas l’occasion d’applaudir à chacune de mes représentations privées, avec des larmes aux yeux constamment. Je la voyais fière, ça me rendait fier moi aussi. Finalement ce rêve et cette passion, ils avaient commencé avec elle. Et sans elle, je n’aurai rien accompli. Je n’aurais pas réussi à faire mon premier spectacle, très très amateur, à l’âge de 10 ans. Je n’avais pas pu être engagé comme artiste à seulement 15 ans, pour accompagner un orchestre dans l’enregistrement d’un titre. La personnalité n’était pas très connue, mais ma mère l’avait dit à toutes les autres mères qu’elle fréquentait. De ma manière générale, elle retournait la terre, remuait le ciel et arrivait d’une manière ou d’une autre à mobilisait ses troupes. Elle avait même une politique : on met son téléphone en mode avion « pour respecter l’artiste ». Elle me considérait déjà comme ce que j’aspirait à être. Elle venait avec une armée à mes spectacles pour veiller à ce que je sois applaudis et à nouveau fier de moi, de ma performance. Elle était aussi attentionné que ça. Et malgré la foule, malgré les gens, moi je ne voyais qu’elle.
Ma mère. Ma plus grande admiratrice et pour autant, mon idole à moi. Elle était simplement tout ce je voulais devenir, plus tard. Quand j’eu 18 ans, une énorme opportunité se présenta à moi. J’avais la chance de me produire dans une salle de spectacle énorme, sans doute la plus grande des environs. Comme chaque fois, ma mère convaincu l’ensemble de notre petite ville à s’y rendre le soir du spectacle. « Prenons un bus ! » disait-elle, comme si la vie était si simple. Finalement, il ne prit pas de bus, et je réalise désormais que parfois tout une existence ne tient vraiment à pas grand-chose. Juste un bus. Juste un putain de moyen de locomotion. Ce spectacle, je l’ignorais à ce moment-là, serait le dernier. Mes doigts, je l’ignorais à ce moment-là, ne toucherait plus jamais de piano. Et ma mère, je l’ignorais à ce moment-là, poserait ses yeux si doux sur moi pour la toute dernière fois. Dans cette grande salle chaude de soutien et de joie, je cherchais des yeux ma mère. D’ordinaire, elle s’assurait d’être au premier rang pour ne rater aucune miette. Et évidemment le retard était impossible, elle n’avait jamais été en retard. Et pour autant le spectacle se poursuivait, et elle n’était pas là. Et les applaudissements ne venaient pas combler cette absence que je ne comprenais pas. Je fus bon, incroyablement bon. Mais inexistant. L’inquiétude fut remplacée par la crainte qui fut remplacer par la terreur. Je pense que je compris progressivement, sans y croire. Mais lorsque mon père m’annonça la nouvelle après le spectacle, mon corps lâcha. Le stress de la représentation, l’angoisse durant la performance, ou le choc d’avoir perdu la personne la plus importante de ma vie. Je tomba au sol, et les ténèbres m’envahit alors. Elle n’était plus là, sa lumière non plus.
C’était il y a 7 ans. J’appris par la suite qu’elle avait eu un accident de voiture ; alors qu’elle voulait venir en bus. J’appris qu’elle avait glissé sur le sol humide, qu’il pleuvait ce soir-là ; alors qu’elle adorait la pluie. J’appris qu’elle s’était encastré dans un poteau et que les secours n’avaient pas été prévenu tout de suite. J’appris qu’elle avait essayé d’appeler mon père, juste après son accident, mais qu’il avait mis son téléphone en mode avion ; comme elle le demandait systématiquement. Il aurait sans doute suffit d’un choix différent, d’un détail différent et ces 7 années n’auraient pas été les mêmes. Je suis revenu vivre en Amérique, il y a moins d’un an. Je suis revenu à Bar Harbor. Je ne pouvais plus rester en Angleterre, et voir la vie que j’aurais dû avoir avec elle à mes côtés. Je peux le dire : j’ai sombré. Je pense avoir fait une profonde dépression, et je pense que ça me poursuit encore aujourd’hui. Je n’ai jamais voulu mourir, j’ai toujours trouvé ça irrespectueux pour elle qui aurait voulu vivre. Mais pour autant, j’ai souvent souhaité dormir très longtemps, presque à ne pas me réveillé. Parce que j’étais fatigué de vivre. Fatigué d’être seul, dans ce vide constant. Fatigué des ténèbres, d’être dans le noir. Et cette fatigue constante, je ne la supportais plus. Alors je souhaitais dormir, et enfin me reposer. Oh bien sûr, personne ne le savait ; j’étais devenu maitre dans l’art de sourire, de porter un masque constant et de répondre de jolies phrases comme « je vais bien, et toi ? ». En fait, j’ai réalisé que la plupart des personnes ne voit pas au-delà de ces quelques mots, quand bien même on sait pertinemment qu’ils ne sont pas sincères. Parce que ça expose à une certaine vulnérabilité. Parler de ce qui blesse, de ce qui heurte, de ce qui détruit… ça met mal à l’aise les gens. Alors ils ferment les yeux, et préfèrent croire à des mensonges. Au fond, ça me va comme ça. Je ne veux pas être aidé. Même si je sais que c’est impossible, je veux juste que ma mère revienne.
Je veux la voir débarquer dans la salle de spectacle, en retard et s’excusant pour ça. Je veux que ma vie ne soit plus sur pause, comme dans l’attente de la voir arriver dans cette stupide salle de spectacle. Je m’en suis tellement voulu d’avoir fait tout ça, d’avoir été applaudit même ce soir-là. Parce que je savais, désormais, que pendant ce temps elle souffrait seule. Elle avait dû se sentir si seule. Je me détestait de, non seulement, ne pas avoir été là. Mais en plus d’avoir vécu l’une de meilleures soirées de ma vie en tant qu’artiste. Ce n’était pas mérité, ce n’était pas juste. Le pire c’est qu’elle m’en voudrait probablement d’avoir abandonné. Elle me dirait de ne laisser s’éteindre ma lumière, de permettre à son étoile de briller. Elle me dirait de poursuivre ma magie, et de la laisser vivre auprès des autres. Même en sachant tout ça, j’en suis incapable. Aujourd’hui je me contente d’errer. Je ne vis pas. Je ne survis même pas. La journée, je bosse comme barista et je me contente de réussir tant bien que mal à arriver à la fin de la journée. Un jour à la fois. J’ignore jusque quand. J’ignore même pourquoi. Mais je suis là, alors qu’elle non. Alors j’imagine que je lui dois au moins ça : tenter d’aller le plus loin possible, à défaut de mieux. Je vais faire de mon mieux, maman. Et si tu peux me voir, m’entendre, ou me lire… je t’aime, et je suis désolé.
Je ne me souviens pas de mon enfance à Bar Harbor. Et pourtant, c’est ici que je ne suis né, un 14 janvier 1999. Cela fait de moi un capricorne, mes amis ont tendance à dire que ce signe me représente bien. Enfin, mes anciens amis. Et sans doute que ça ne me représente plus désormais, j’en sais trop rien. En tout cas, ma mère m’a souvent dit que la vie à Bar Harbor était belle, avant que nous ne déménagions pour l’Angleterre. Mon père avait toujours vécu en Amérique, mais ma mère était Britannique. Elle avait changé de pays pour réaliser son rêve et trouver le boulot de sa vie. Elle n’avait pas réussi, mais avait trouvé l’amour de sa vie en la personne de mon père. Elle ne reparti pas en Angleterre. Je suis né 5 ans plus tard. Elle m’avoua, plus tard, avoir eu le mal du pays. Elle n’avait pas supporté être loin de ses proches, de sa famille, de ses parents. Elle voulait me faire découvrir la culture Anglaise, ses doux paysages et son temps maussade ; c’était ses mots, elle adorait la pluie.
J’avais 3 ans quand nous avons déménagé pour l’Angleterre, sur la terre natale de ma douce mère. Autant dire que je ne me souviens pas de l’Amérique, encore moins de Bar Harbor. Mes premiers souvenirs remontent à la première fois où mes doigts ont foulé ce piano. J’avais 5 ans, et c’était le piano d’un oncle que je ne connaissais même pas. Un piano qui n’avait pas dû être touché depuis des années. Et pourtant il sonnait tellement bien. C’était comme une évidence, comme si le monde autour avait arrêté de tourner l’espace d’un instant. Encore une fois, je n’avais que 5 ans, alors peut-être que mes souvenirs ne sont pas corrects à 100%. Mais pour autant, je me souviens très bien d’un sentiment de sécurité, de bien-être, de sérénité. Je me souviens m’être senti à ma place devant ce piano beaucoup trop grand pour moi. C’était le début, le début de notre histoire. Je me souviens m’être retourné, et avoir vu ma mère avec les larmes aux yeux. Je pense qu’elle aussi, à cet instant-là, avait compris que c’était le début de quelque chose. Et elle décida sans doute de tout faire pour m’aider à réaliser mes rêves, ce rêve.
Qu’on se le dise, la majorité de ma vie fut belle. J’ai eu une enfance heureuse ; j’avais mes deux parents, nous venions d’un milieu aisé, j’ai pu intégrer de bonnes écoles, je n’ai pas vécu un quelconque harcèlement dans ces établissements, et j’ai toujours été soutenu dans mes envies, mes projets. Tous les enfants ne peuvent pas en dire autant. Et en plus, malgré cette jolie vie et ses avantages certains, je n’en ressors pas condescendant ou arrogant aujourd’hui. Mes parents avaient ce désir profond de m’inculquer des valeurs importantes, dont celles du partage, de la générosité, de la modestie. Être reconnaissant pour ce qu’on a, et être assez humble pour ne pas en faire étalage. Dans les écoles dans lesquelles j’étais, la plupart des enfants avaient autant voir plus de moyens que moi. Et certains n’avaient pas peur de le montrer. Je n’étais pas de ceux-là, je n’avais jamais été de ceux-là. Je remercie encore mes parents aujourd’hui pour m’avoir appris à ne jamais regarder quelqu’un de haut. On peut tout avoir, et tout perdre. Une existence ne peut être résumée qu’à cette chose aussi futile que peut être la richesse. Et moi, je n’étais pas un gosse de riche. J’étais un gosse aimée, et soutenu. J’ai pu réaliser certains de mes rêves, en partie grâce à mon père aussi. Sans doute convaincu par ma mère qui continuait à être ma plus grande fan au monde, il m’offrit des cours de piano dès l’âge de 6 ans. Et à 8 ans, j’eu mon propre piano. Chaque fois que j’y jouais, un silence régnait dans la maison, comme si le temps s’arrêtait de tourner à chaque fois. Et ma mère ne manquait pas l’occasion d’applaudir à chacune de mes représentations privées, avec des larmes aux yeux constamment. Je la voyais fière, ça me rendait fier moi aussi. Finalement ce rêve et cette passion, ils avaient commencé avec elle. Et sans elle, je n’aurai rien accompli. Je n’aurais pas réussi à faire mon premier spectacle, très très amateur, à l’âge de 10 ans. Je n’avais pas pu être engagé comme artiste à seulement 15 ans, pour accompagner un orchestre dans l’enregistrement d’un titre. La personnalité n’était pas très connue, mais ma mère l’avait dit à toutes les autres mères qu’elle fréquentait. De ma manière générale, elle retournait la terre, remuait le ciel et arrivait d’une manière ou d’une autre à mobilisait ses troupes. Elle avait même une politique : on met son téléphone en mode avion « pour respecter l’artiste ». Elle me considérait déjà comme ce que j’aspirait à être. Elle venait avec une armée à mes spectacles pour veiller à ce que je sois applaudis et à nouveau fier de moi, de ma performance. Elle était aussi attentionné que ça. Et malgré la foule, malgré les gens, moi je ne voyais qu’elle.
Ma mère. Ma plus grande admiratrice et pour autant, mon idole à moi. Elle était simplement tout ce je voulais devenir, plus tard. Quand j’eu 18 ans, une énorme opportunité se présenta à moi. J’avais la chance de me produire dans une salle de spectacle énorme, sans doute la plus grande des environs. Comme chaque fois, ma mère convaincu l’ensemble de notre petite ville à s’y rendre le soir du spectacle. « Prenons un bus ! » disait-elle, comme si la vie était si simple. Finalement, il ne prit pas de bus, et je réalise désormais que parfois tout une existence ne tient vraiment à pas grand-chose. Juste un bus. Juste un putain de moyen de locomotion. Ce spectacle, je l’ignorais à ce moment-là, serait le dernier. Mes doigts, je l’ignorais à ce moment-là, ne toucherait plus jamais de piano. Et ma mère, je l’ignorais à ce moment-là, poserait ses yeux si doux sur moi pour la toute dernière fois. Dans cette grande salle chaude de soutien et de joie, je cherchais des yeux ma mère. D’ordinaire, elle s’assurait d’être au premier rang pour ne rater aucune miette. Et évidemment le retard était impossible, elle n’avait jamais été en retard. Et pour autant le spectacle se poursuivait, et elle n’était pas là. Et les applaudissements ne venaient pas combler cette absence que je ne comprenais pas. Je fus bon, incroyablement bon. Mais inexistant. L’inquiétude fut remplacée par la crainte qui fut remplacer par la terreur. Je pense que je compris progressivement, sans y croire. Mais lorsque mon père m’annonça la nouvelle après le spectacle, mon corps lâcha. Le stress de la représentation, l’angoisse durant la performance, ou le choc d’avoir perdu la personne la plus importante de ma vie. Je tomba au sol, et les ténèbres m’envahit alors. Elle n’était plus là, sa lumière non plus.
C’était il y a 7 ans. J’appris par la suite qu’elle avait eu un accident de voiture ; alors qu’elle voulait venir en bus. J’appris qu’elle avait glissé sur le sol humide, qu’il pleuvait ce soir-là ; alors qu’elle adorait la pluie. J’appris qu’elle s’était encastré dans un poteau et que les secours n’avaient pas été prévenu tout de suite. J’appris qu’elle avait essayé d’appeler mon père, juste après son accident, mais qu’il avait mis son téléphone en mode avion ; comme elle le demandait systématiquement. Il aurait sans doute suffit d’un choix différent, d’un détail différent et ces 7 années n’auraient pas été les mêmes. Je suis revenu vivre en Amérique, il y a moins d’un an. Je suis revenu à Bar Harbor. Je ne pouvais plus rester en Angleterre, et voir la vie que j’aurais dû avoir avec elle à mes côtés. Je peux le dire : j’ai sombré. Je pense avoir fait une profonde dépression, et je pense que ça me poursuit encore aujourd’hui. Je n’ai jamais voulu mourir, j’ai toujours trouvé ça irrespectueux pour elle qui aurait voulu vivre. Mais pour autant, j’ai souvent souhaité dormir très longtemps, presque à ne pas me réveillé. Parce que j’étais fatigué de vivre. Fatigué d’être seul, dans ce vide constant. Fatigué des ténèbres, d’être dans le noir. Et cette fatigue constante, je ne la supportais plus. Alors je souhaitais dormir, et enfin me reposer. Oh bien sûr, personne ne le savait ; j’étais devenu maitre dans l’art de sourire, de porter un masque constant et de répondre de jolies phrases comme « je vais bien, et toi ? ». En fait, j’ai réalisé que la plupart des personnes ne voit pas au-delà de ces quelques mots, quand bien même on sait pertinemment qu’ils ne sont pas sincères. Parce que ça expose à une certaine vulnérabilité. Parler de ce qui blesse, de ce qui heurte, de ce qui détruit… ça met mal à l’aise les gens. Alors ils ferment les yeux, et préfèrent croire à des mensonges. Au fond, ça me va comme ça. Je ne veux pas être aidé. Même si je sais que c’est impossible, je veux juste que ma mère revienne.
Je veux la voir débarquer dans la salle de spectacle, en retard et s’excusant pour ça. Je veux que ma vie ne soit plus sur pause, comme dans l’attente de la voir arriver dans cette stupide salle de spectacle. Je m’en suis tellement voulu d’avoir fait tout ça, d’avoir été applaudit même ce soir-là. Parce que je savais, désormais, que pendant ce temps elle souffrait seule. Elle avait dû se sentir si seule. Je me détestait de, non seulement, ne pas avoir été là. Mais en plus d’avoir vécu l’une de meilleures soirées de ma vie en tant qu’artiste. Ce n’était pas mérité, ce n’était pas juste. Le pire c’est qu’elle m’en voudrait probablement d’avoir abandonné. Elle me dirait de ne laisser s’éteindre ma lumière, de permettre à son étoile de briller. Elle me dirait de poursuivre ma magie, et de la laisser vivre auprès des autres. Même en sachant tout ça, j’en suis incapable. Aujourd’hui je me contente d’errer. Je ne vis pas. Je ne survis même pas. La journée, je bosse comme barista et je me contente de réussir tant bien que mal à arriver à la fin de la journée. Un jour à la fois. J’ignore jusque quand. J’ignore même pourquoi. Mais je suis là, alors qu’elle non. Alors j’imagine que je lui dois au moins ça : tenter d’aller le plus loin possible, à défaut de mieux. Je vais faire de mon mieux, maman. Et si tu peux me voir, m’entendre, ou me lire… je t’aime, et je suis désolé.
Aimery Fairchild
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Âge : Je pense avoir arrêté de vivre à 18 ans. Je ne vois même pas les années passées, parce que ça n'a plus d'importance. Mais si on suit mon année de naissance, alors j'ai 25 ans.
Statut civil : Je suis célibataire. J'ai connu quelques amourettes par le passé, mais j'avoue que ça n'a plus été ma priorité depuis quelques temps. Et si je dois être totalement honnête, alors je crois que je n'ai jamais connu le véritable amour.
Métier : Je travaille au Dream and Eat, un café qui est aussi un bar à cupcakes, en tant que barista et c'est l'une des seules raisons de me lever le matin. Cet endroit est beau, mais également un peu magique. Et les clients sont tellement gentils... C'est un peu un repère.
Habitation : J'habite au Somesville, le quartier nord de la ville. C'est là que se trouve mon boulot, et j'avoue que c'est aussi le seul endroit où j'ai trouvé un appartement dans mes moyens alors... voilà.
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Warnings : Dépression - Suicide - Mort - Alcoolisme
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J'aime assez répondre rapidement à mes rp, je n'aime pas me faire attendre. J'ai pour habitude de faire au moins 10 lignes, j'aime assez décrire les actions. Je peux parler à la première ou à la troisième personne, mais pour Aimery ce sera à la première personne. Je fais habituellement mes rp en français, mais je peux tenter l'anglais (why not, preuve de ma bilinguité).
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Puis-je encore t’appeler ainsi ? Ton deuxième passage au café t’a donné le statut d’habitué, et le droit de me tutoyer. Tu m’as intrigué dès le premier jour, et j’avoue que tu m’intrigues encore aujourd’hui. J’ignore pourquoi tu t’intéresses tant à moi, alors que c’est toi qui est si intéressant : tu es gentil, tu es généreux, tu es éduqué, tu es séduisant, tu es charismatique. Oserais-je le dire ? Je te trouve parfait, en tout point. Je me sens bête, à tes côtés, mais comme si tu pouvais lire dans mes pensées tu trouves les mots pour me dire à quel point tu me trouves spécial. Tu parviens à me rassurer dans les moments d’angoisses, et ça me fascine. Je ne comprends pas ce qui se passe, et pourquoi ça se passe. Et je sais que ce n’est qu’éphémère. Mais… je suis brisé, et tu es ma lumière. Et j’ai besoin de ça, de toi.
Je sais que j’ai déconné ce fameux jour, et que j’aurais dû accepter ta main tendue. Je n’étais pas assez fort, je pense. Pourtant je sais que tu le faisais par générosité, tu voulais simplement consoler le l’employé de ton salon de thé préféré que tu venais de trouver en train de pleurer dans la ruelle derrière le bâtiment. Tout ceci ne partait que d’une bonne intention, mais c’était sans compté sur ma manière de tout gâcher, constamment. Je t’ai repoussé, et tu m’en veux pour ça. Je te comprends. Depuis tu continues de venir au café, mais tu ne me laisses plus te servir. Tu ne m’adresses plus la parole. Tu évites mon regard. J’aimerais me faire pardonner, ou au moins t’expliquer. Parce que peu ont voulu m’aider, alors mon système d’autodéfense n’a pas compris. Mais aussi parce que peu ont voulu m’aider, alors ton geste était d’autant plus précieux.
Celle qui m’a donné ma chance, et grâce à qui je suis probablement toujours ici. J’ignore encore pourquoi, puisque je n’avais aucune expérience et que je ne respirais même pas la joie. Je pense que tu as eu pitié de moi, dans un sens. Ou alors tu as vue quelque chose. Toujours est-il que je travaille dans ton café, le Dream and Eat, depuis maintenant 3 mois et je n’aurais pu rêver mieux. C’est ce qui me fait me lever le matin, c’est ce qui me donne la force d’affronter la vie. Notre relation se contente d’être celle entre une patronne et son employé, mais depuis peu tu as remarqué ce garçon qui vient un peu trop au café et qui cherche mon attention… alors tu t’interroges. Se pourrait-il que tu deviennes finalement un peu plus qu’une simple patronne ?
Alors autant mon père et ta mère sont proches, autant nous… je crois qu’on s’est plus vraiment parlé depuis que j’ai eu 15 ans. Déjà à l’époque, on avait pas énormément de points communs. Alors quand je suis revenu à Bar Harbor, je ne te l’ai pas dit. J’avais besoin de solitude, et je ne pensais pas que tu apprécierais forcément de me savoir si proches. Au final, tu as eu besoin d’un babysitter, et mon père m’a proposé à ta mère qui t’a passé l’info. J’ai su que tu avais un fils, tu as su que j’étais de retour dans notre ville natale. Alors on a reprit contact, timidement. Je trouve tout ça très impersonnel, nos conversations. Je ne suis que le garçon qui vient s’occuper de Silas, de temps en temps. En vérité je n’ai pas l’impression que tu es mon cousin. Mais j’aime bien garder ton fils, il est cool. Et je me sens utile, en plus de me faire un peu d’argent. Alors je garde pour moi ces quelques sentiments qui me rappelle que je n’ai pas vraiment de famille, et que le peu que j’ai me visualise que comme un pauvre garçon qui a besoin qu’on lui tende la main. Je me contente de ça, et ça me va bien finalement.
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Ceux qui rêvent ont bien de la chance, et les autres ont des insomnies ✧
Aimery Fairchild
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Pseudo : KHall - Il, Lui
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Âge : Je pense avoir arrêté de vivre à 18 ans. Je ne vois même pas les années passées, parce que ça n'a plus d'importance. Mais si on suit mon année de naissance, alors j'ai 25 ans.
Statut civil : Je suis célibataire. J'ai connu quelques amourettes par le passé, mais j'avoue que ça n'a plus été ma priorité depuis quelques temps. Et si je dois être totalement honnête, alors je crois que je n'ai jamais connu le véritable amour.
Métier : Je travaille au Dream and Eat, un café qui est aussi un bar à cupcakes, en tant que barista et c'est l'une des seules raisons de me lever le matin. Cet endroit est beau, mais également un peu magique. Et les clients sont tellement gentils... C'est un peu un repère.
Habitation : J'habite au Somesville, le quartier nord de la ville. C'est là que se trouve mon boulot, et j'avoue que c'est aussi le seul endroit où j'ai trouvé un appartement dans mes moyens alors... voilà.
Triggers : Violence extrême - Harcèlement - Violence sexuelle
Warnings : Dépression - Suicide - Mort - Alcoolisme
Rp : Disponibilité 4/5
Rp libre 4/5
Motivation 5/5
J'aime assez répondre rapidement à mes rp, je n'aime pas me faire attendre. J'ai pour habitude de faire au moins 10 lignes, j'aime assez décrire les actions. Je peux parler à la première ou à la troisième personne, mais pour Aimery ce sera à la première personne. Je fais habituellement mes rp en français, mais je peux tenter l'anglais (why not, preuve de ma bilinguité).
N'hésitez à me MP pour toute demande (pas toute quand même, modérez-vous)
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Aimery Fairchild
where do we go now ?
Fiche de présentation : https://alldelightedpeople.forumactif.com/t1827-cet-air-rend-fou-assis-debout-je-vais-pas-bien-aimery-fairchild
Carnet de bord : https://alldelightedpeople.forumactif.com/t1833-aimery-fairchild-n-oublie-pas-que-je-t-aime
Pseudo : KHall - Il, Lui
Faceclaim : Taylor Zakhar Perez - Maacky
Présence : Présent.e
Âge : Je pense avoir arrêté de vivre à 18 ans. Je ne vois même pas les années passées, parce que ça n'a plus d'importance. Mais si on suit mon année de naissance, alors j'ai 25 ans.
Statut civil : Je suis célibataire. J'ai connu quelques amourettes par le passé, mais j'avoue que ça n'a plus été ma priorité depuis quelques temps. Et si je dois être totalement honnête, alors je crois que je n'ai jamais connu le véritable amour.
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Invité
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Je te fais un petit résumé d'Erika:
C'est une femme pas comme les autres, sans gènes, avec peu de filtre, extravagante, qui ne passe pas inaperçu, mais qui possède un grand cœur et surtout une grande intelligence. Elle s'est servis de ses capacités cognitives pour devenir médecin généraliste dans son propre cabinet. Elle a vécu dans l'ensemble une vie heureuse, elle est mariée et à une fille (Miah Snows). Dans son adolescence elle a été très marqué par le décès de sa mère lorsqu'elle avait 17 ans (décédé d'un cancer). Il y a quelque mois, elle a appris que elle aussi avait un cancer. Une boucle sans fin finalement.
Ils ont en commun le décès prématuré de leur mère, après comment exploité ça sans qu'ils se connaissent, c'est un peu compliqué. Du coup, j'ai une idée. Je pense qu'Erika pourrait être une cliente habitué du café ou Aimery travail. Après à voir comment ils s'entendraient tout les deux, Erika a un caractère spécial, donc ça ne passe pas forcement avec tout le monde.
N'hésite si tu as des idées, pour approfondir le lien ou des idées de Rp!
Aimery Fairchild
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J'aime assez répondre rapidement à mes rp, je n'aime pas me faire attendre. J'ai pour habitude de faire au moins 10 lignes, j'aime assez décrire les actions. Je peux parler à la première ou à la troisième personne, mais pour Aimery ce sera à la première personne. Je fais habituellement mes rp en français, mais je peux tenter l'anglais (why not, preuve de ma bilinguité).
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Erika Snows a écrit:Hello!!! Je viens te voir, je cherche des liens et RP pour Erika! D'ailleurs au passage, j'adore l'histoire d'Aimery, très touchante! Je pense qu'on va pouvoir trouver quelque chose.
Je te fais un petit résumé d'Erika:
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Ils ont en commun le décès prématuré de leur mère, après comment exploité ça sans qu'ils se connaissent, c'est un peu compliqué. Du coup, j'ai une idée. Je pense qu'Erika pourrait être une cliente habitué du café ou Aimery travail. Après à voir comment ils s'entendraient tout les deux, Erika a un caractère spécial, donc ça ne passe pas forcement avec tout le monde.
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Coucou Merci de t'intéresser à mon petit Aimery, je suis sûr qu'on va pouvoir trouver quelque chose entre Erika et lui
Alors je t'avoue que j'ai déjà un lien similaire avec une cliente qui viendrait régulièrement avec une possible amitié à la fin. Mais je me dis qu'on peut forcément rebondir sur la perte de leur mère à tous les deux, c'est un point commun qu'ils ont dans leurs parcours de vie et on peut creuser de ce côté-là ! En te lisant, j'ai pensé à une réunion pour les personnes endeuillés ? Des réunions hebdomadaires où chacun est libre de venir ou pas, d'intervenir ou pas, et de partager son histoire ou pas. Aimery pourrait y aller pour la première fois, et rencontrer Erika. Il n'oserait pas forcément intervenir, mais elle irait toutefois le saluer après la réunion vu que c'est une nouvelle tête.
Après à toi de me dire si ça peut coller avec le caractère d'Erika ? La direction que prendrait la relation peut se jouer en rp', je ne suis pas forcément contre un lien négatif si on voit que les deux ne s'entendent finalement pas. Mais pour le début du lien, voici ma petite idée
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Gadriel Eldrik-Strausbow
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Fiche de présentation : https://alldelightedpeople.forumactif.com/t1329-nouveau-depart-pour-gadriel-eldrik
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Statut civil : Célibataire
Métier : étudiant vétérinaire/ plongeur au Harmony Heights
Habitation : Appartement à Somesville
Warnings : Maladie mental / addiction / mutilation
Rp : 6/6 RP en cours
Recherches : Il vient d'arriver en ville, je recherche donc de tout !
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Comme promis je passe ici pour un petit lien avec Gadriel ! Du coup comme je te disais, Gad est un accro à la caféine, il va se chercher des breuvages tous les jours donc il peuvent être des connaissances (Gad était un enorme introvertie, si ton loustique entame pas la discution, pas sur que Gad se lance...). Cela dit, la petite amie de gad (porté disparu en avion, il est en deuil de ça) révait de devenir pianiste, donc elle pouvait suivre ton loulou sur les réseaux et Gad peut l'avoir reconnu, se qui fait qu'il arriverait peut être à parler !
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Aimery Fairchild
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Encore une fois, j'ai un lien très ressemblant à ce que tu proposes alors c'est vrai que ça pourrait être cool de trouver autre chose mais en gardant ta base. Gadriel vivait-il avec sa copine avant sa disparition ? Avait-elle un piano ?
Je me dis que le Dream and Eat pourrait proposer aussi un service de livraison de café (bon, je dois voir ça avec le propriétaire j'imagine ). Ainsi Aimery aurait pu, lors d'une ou plusieurs commandes, aller livrer Gadriel à son domicile. Ce dernier ne l'aurait jamais fait entrer, à part une fois parce qu'il ne trouvait pas sa carte bancaire. Aimery découvrit alors le piano.
Immédiatement la joie l'envahit, en même temps que la tristesse profonde dans laquelle il vivait constamment. Quand Gabriel revint, Aimery laissait ses doigts glisser sur l'instrument, avec des yeux emplis de larmes.
Voilà un début d'idée, mais effectivement ça repose beaucoup sur le piano. Et ça peut être aussi une situation de rp' finalement. Le lien en lui-même peut simplement être qu'Aimery est celui qui livre régulièrement du café à Gadriel, mais que les deux n'ont jamais rien échangé d'autres que des banalités. Jusqu'à ce fameux jour.
N'hésite pas à me dire si ça pourrait aller du coup
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Gadriel Eldrik-Strausbow
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Je suis désolé mais il y a rien qui colle, Gadriel ne commande pas, il se force à aller sur place pour vaincre ses démons et se socialiser (même si il y arrive que rarement). Et son appart est une location meublé, ou il a fait attention a ce que rien ne lui rappel Lena, donc pas de piano.
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Invité
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En premier, Luis Vera, chef d'un restaurant étoilé à Somesville. Il est du genre très extraverti, sort beaucoup (drague beaucoup, ahem) et a des chiens qui sont comme ses enfants Il est français d'origine et est arrivé à Bar Harbor (et aux USA) y a un peu plus d'un an. Quand il était enfin, son papa est mort dans un accident de voiture, ça a détruit sa famille. Il s'est retrouvé à devoir s'occuper de sa mère (c'est comme ça qu'il a découvert la cuisine) et, encore aujourd'hui, il en souffre beaucoup, juste différemment. C'est entre autres pour ça qu'il refuse d'aimer qui que ce soit, parce qu'il a vu à quel point l'amour que sa mère portait à son père l'a détruite, à la fin de l'histoire.
En second, @Connor Erickson. Actuellement au chômage, il est arrivé à Bar Harbor il y a quelques semaines (même pas un mois) et est originaire d'Atlanta. Il était militaire, a été déployé plusieurs fois mais la dernière intervention s'est mal passée et il a fini blessé + considéré comme inapte. Sur le long terme, il deviendra éducateur spécialisé (il a le diplôme pour) mais pour l'instant, il est pas encore prêt à sauter le pas. Tous les deux ont un "gros" point commun : la culpabilité. C'est pas la même, dans le sens où Connor passe par le syndrome du survivant alors qu'Aimery passe plutôt par l'apprentissage de vivre sans sa mère (et clairement, les deux doivent être horribles), mais je me dis qu'ils pourraient pas mal s'apporter, tous les deux Le truc c'est que comme Connor s'ouvre pas aux autres, baaah, je bloque un peu x) A part peut-être s'ils sont tous les deux dans le même groupe de paroles (Connor a été envoyé dans l'un d'eux récemment), je bloque un peu x)
Bref, voilà tout ça ! Si tu préfères venir me voir sur Discord ou en MP sur le forum, hésites pas non plus
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